Mitt Romney

« candidats déloyaux » (en Caroline du Nord par exemple, l'amende s'élève à 10 000 dollars). Actualité L'élection présidentielle américaine de 2012 aura lieu le mardi 6 novembre 2012. L'élection oppose le président démocrate sortant Barack Obama à Mitt Romney, son adversaire républicain. Le président élu entrera en fonction le 20 janvier 2013. Ne pourront se présenter, selon l'article II section première de la Constitution, que les citoyens américains : -nés sur le sol américain ; -âgés d'au moins

premier président américain de couleur. En terme de chiffre, pour l’élection de 2008, 67% des Hispaniques en possession de la carte électorale ont voté pour Obama. Un pourcentage assez similaire en 2012 lui avait permis de prendre le dessus sur Mitt Romney, le candidat républicain. Minorité aujourd’hui, majoritaire demain Que les candidats et plus généralement les partis se tournent vers la population hispanique n’a rien de surprenant. Il faut bien comprendre que depuis maintenant 15 ans, les hispanophones

certaines régions, la pénurie de main d'œuvre. -Le "made in America" est un combat politique : largement discuté pendant la campagne électorale présidentielle, Obama a mis en avant son "sauvetage" de General Motors et accusé son concurrent Mitt Romney d'avoir poussé des entreprises à délocaliser massivement dans les années 1980 et 1990. -Le coût du transport a augmenté en importance dans le prix de revient des produits manufacturés(gazole, avion..). -Enfin, les Etats-Unis sont en train

d'Oussama Ben Laden, tué par les forces spéciales américaines à Abbottabad au Pakistan le 1er mai 2011. Le 4 avril 2011, Barack Obama annonce qu'il est candidat à un second mandat lors de l'élection présidentielle de 2012. Opposé au républicain Mitt Romney, il est réélu le 6 novembre 2012 pour un second mandat présidentiel en remportant 332 voix du collège électoral contre 206 à son rival et 51 % des suffrages au niveau national.

sont en conséquence une cause supplémentaire d'éviction des partis tiers et un risque de corruption très réel des élus. C'est encore le cas aujourd'hui, aux élections de 2012. Les médias du monde entier avaient les yeux rivés sur Barack Obama et Mitt Romney mais on a presque pas entendu parler des candidats dits « indépendants ». Parmi eux, on pouvait noter Jill Stein du parti vert, Rocky Anderson, le représentant du parti de la justice, Gary Johnson du Parti Libertaire ou le conservateur Virgil Goode

n’existe ni la volonté de mener une telle politique, ni les moyens pour la financer du fait de la faiblesse du budget européen qui, par ailleurs, doit rester en équilibre. Annexes Which one? America could do better than Barack Obama; sadly, Mitt Romney does not fit the bill FOUR years ago, The Economistendorsed Barack Obama for the White House with enthusiasm. So did millions of voters. Next week Americans will trudge to the polls far less hopefully. So (in spirit at least) will this London-based

Hamilton, Le Fédéraliste n°68 Introduction Le 6 novembre 2012, a eu lieu l’élection présidentielle américaine. Elle a opposé le Parti Démocrate avec le Président sortant Barack Obama, et le Parti Républicain en la personne de Mitt Romney. Ce dernier est sorti vainqueur de primaires, lesquelles proposent aux électeurs relevant d’un parti de choisir un délégué à la convention nationale du parti, laquelle a désigné ledit candidat à l’élection présidentielle. Le texte en question est un

président me paraissait insensé, et j’essayais vainement d’imaginer une pareille chose en France. Après nous être bien enseignés sur ces généralités, nous devions chercher les noms de quelques candidats. John Edwards, Rudolph Giuliani, Fred Thompson, Mitt Romney… Il n’y avait guère que Hillary Clinton et Barack Obama qui me disaient quelque chose, Hillary pour son illustre mari, et parce que tout le monde voyait en elle la Présidente toute désignée, et Barack parce qu’il était le sujet de toutes les conversations

Jackson, lors de la campagne présidentielle de 1828. Une caricature de 1837, représentant Jackson chevauchant son parti figuré sous la forme d'un âne, serait la première transcription graphique de ce jeu de mot. Pour le Parti Républicain, c’est Mitt Romney. La couleur est le rouge et l’animal est l’éléphant. La naissance de l’éléphant comme symbole du parti Républicain fut plus complexe que pour celui du parti Démocratique. Le Général Grant avait été réélu président un an plus tôt lorsqu’au printemps

de grands espoirs dans le monde et le 9 octobre 2009 il reçoit le prix Nobel de la Paix. Le 4 avril 2011, Barack Obama annonce qu’il est candidat à un second mandat lors de l’élection présidentielle de 2012. Opposé au républicain Mitt Romney, il est réélu le 6 novembre 2012 pour un second mandat présidentiel en remportant 332 voix du collège électoral contre 206 à son rival et 51% des suffrages au plan national. L’élection d’un Africain-Américain est la preuve que sans un idéal