Mixité

va apporter une aide pour les besoins en nourriture,...) toutes ces aides vont permettre aux gens de se ré-intégrer dans une vie sociale convenable (accompagnement scolaire et animation périscolaire,...). Des tensions règnent dans ce quartier, "la mixité sociale" peut parfois être un sujet tabout ("certains parents français préfèrent trouver une solution scolaire dans une autre partie du 18ème arrondissement [...] où le taux d'enfants immigrés est moins élevé") . Dans ce quartier où la vie est souvent

principale solution reste les transports en communs, ils sont privilégiés. Au Sud, les faibles moyens économiques augmentent le taux de motorisation. Pour avoir une mobilité durable il faut repenser l’organisation de l’espace urbain (créer une plus grande mixité fonctionnelle et ainsi limiter des déplacements) et densifier celui-ci (en reconvergeant, les espaces centraux non utilisés et en organisant l’agglomération autour de pôles denses). III Villes du Nord et villes du Sud : des villes durables ?

consiste en des mesures prises par l’Etat ou les collectivités territoriales. Elles cherchent principalement à s’attaquer aux ZUS en les rééquipant en services publiques, en aidant les entreprises avec la création de zones franches. La loi SRU prône la mixité sociale en imposant aux communes de créer 20% de logement sociaux. Les grands ensembles de tours sont rénover et reconstruit sous forme de petits immeubles. Les banlieues ont des difficultés à se munir de moyens de transport efficaces. Néanmoins,

naturels ( objectif de développement durable). -Un deuxième objectif qui est celui d'une diversité des fonctions urbaines ( il faut essayé d'éviter qu'il y est des zones résidentiels dans lesquelles il n'y est aucun commerce aucun service) et de la mixité sociale. -Un troisième objectif qui est un objectif de préservation des équilibres des populations et des espaces en terme de risque en terme de nuisance en terme de pollution La question très importantes des déplacements ( objectif de limiter

double enjeu, le premier concernant la pénurie des logements sociaux et le second celui de la réduction des inégalités spatiales (effets ségrégationnistes). La loi SRU qui a pour objectif d’augmenter l’offre de logements sociaux avec une logique de mixité sociale répond au mieux à ses deux enjeux : alors pourquoi donc la crise du logement persiste elle encore ? Défendue et en même temps attaquée de toute part, la loi Solidarité et Renouvellement Urbains a toujours dû affronter des controverses sur

place pour aider ses habitants. Elle peut choisir de réduire le coût d’accès aux bâtiments publics tels que les bibliothèques ou encore celui des transports en commun et doit respecter la loi SRU qui impose un quota de logements sociaux pour créer une mixité sociale. Puis, cette même politique propose des mesures pour les quartiers en difficulté comme une rénovation urbaine réalisée par l’ARNU avec par exemple la démolition des tours Mon-dor à Argenteuil en 2010 pour reconstruire de nouveaux logements

grand rôle dans le processus de la socialisation. Tandis qu'une classe bourgeoise et riche se retrouvera dans quartier aisé ou la socialisation est faible puisque les relations de voisinage sont faibles aussi. Par ailleurs, on peut trouver une forte mixité sociale dans certains quartier, voire des personnes de différentes fonctions vivant ensembles. Ceci peut être expliqué à partir de deux ongles différent. Le premier considère le quartier comme étant un lieu où le processus de la socialisation s'accentue

et enfermante. On peut noter que le sentiment d'appartenance au quartier à changé de par le fait que les habitants ne le connaissent plus. Les habitants cherchent des personnes semblables à eux, c'est à dire appartenant à la même classe sociale. La mixité sociale est assez présente est semble être à l'origine de ce changement. Des groupes se forme et la mobilité sociale semble être compliquée. Les habitants ne trouve plus de vie de quartier. Les occupants du quartier reconnaissent vivre d'avantage

d’inverser les processus ségrégatifs de la politique urbaine d’avant, et veulent renforcer la « cohésion sociale » en mettant en place une répartition « équilibrée » des populations. Cela vient d’une politique de peuplement volontariste assurant une « mixité sociale » par la redistribution des populations considérées par leur position sociale mais aussi par leur origine ethnique. Enfin dans ce contexte on peut aussi observer une médiatisation du débat sur l’immigration et la montée en visibilité des

populations. Cette forme de mixité résidentielle imposée est loin d’être préférable à la mobilité. L’auteur affirme qu’il préfère la mobilité à la mixité. Or le problème aujourd’hui c’est que les gens ne sont pas mobiles. Soit à cause du prix des logements en centre-ville soit par choix personnel. Si tous les gens pouvaient être mobiles, il y aurait forcément plus de mixité sociale. Une des solutions serait peut être de favoriser la mobilité au lieu d’imposer la mixité. Il existe 3 leviers