Mme Forestier

lui propose alors l'argent qu'il avait mis de côté pour aller à la chasse pour qu'elle puisse s'acheter une robe. elle accepte, mais souhaite un bijou, pour ne pas laisser transparaître son rang. Elle va alors se tourner vers une de ses amies, Mme Forestier, faisant partie du milieu de la haute bourgeoisie. Elle va lui emprunter sa parure en argent. Elle se rend alors aux bal, ou elles passent une très bonne soirée. Mais, en rentrant, elle s'aperçoit que la parure n'est plus accroché à son cou.

Bel-ami en référence à son charme et sa beauté. Grâce à une rencontre hasardeuse avec un certain Mr Forestier, il réussit à s’intégrer dans la société parisienne et à atteindre la plus haute bourgeoisie. Il devient de plus en plus important dans le métier du journalisme et rencontre de nombreuses femmes qu’il réussit à séduire grâce à un physique avantageux et un charme envoutant. Il se marie avec Mme Forestier, veuve, mais continue cependant à fréquenter ses maîtresses. Il réussit ensuite à accuser sa

parle d’un certain Georges Duroy, qui, faisant partit de la classe modeste veut grimper dans l’échelle sociale et gagner toujours plus d’argent. Pour cela, il va s’aider de certaines femmes, toutes plus ou moins hautes socialement. Un ami à lui, M. Forestier va lui trouver un travail de journaliste à La Vie Française, un journal politique à Paris. Petit à petit, grâce à son charme et son don de manipulateur il va avoir des maîtresses et des femmes qui vont lui permettre chacune de monter d’un cran de

Paris pour réussir et va grâce aux femmes qu’il séduit , Clotilde de Marelle, Madeleine Forestier et Virginie Walter, gravir tous les échelons d’un grand journal parisien et épouser la fille de son directeur. -Forestier, c’est lui qui permet à Georges Duroy de se faire embaucher comme reporter. Il meurt au milieu du roman, ce qui permet à Duroy d’épouser sa femme. -Madeleine Forestier, c’est la femme de Forestier. C’est un journaliste ambitieuse. Elle épouse Duroy après la mort de son mari. Celui-ci

voyait pas par quelle voie il escaladerait les hauteurs où l'on trouve la considération et l'argent. Il se sentait enfermé dans ce métier médiocre de reporter, muré là-dedans à n'en pouvoir sortir. On l'appréciait, mais on l'estimait selon son rang. Forestier même, à qui il rendait mille services, ne l'invitait plus à dîner, le traitait en tout comme un inférieur, bien qu'il le tutoyât comme un ami. De temps en temps, il est vrai, Duroy, saisissant une occasion, plaçait un bout d'article, et ayant

même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : - Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ? Duroy se mit à rire : - Tu ne me reconnais pas ? I 6 Bel-Ami - Non. - Georges Duroy du sixième hussards. Forestier tendit les deux mains : - Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien, et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

quête de fortune et de réussite. Il rencontre un ancien camarade de régiment, Forestier, qui va le recommander au directeur de son journal, la Vie française. Grâce à l'appui de son ami, Georges est embauché comme journaliste ce qui lui permet de doubler son salaire. Le jeune homme découvre les salles de rédaction et les coulisses de la vie parisienne. Il plaît aux femmes et est bien décidé à en profiter . Mme Forestier, la femme de son ami lui donne des conseils et l'aide à rédiger ses premiers

extrait de Bel-Ami « un court billet le prévient […] le cœur débordant da joie » pages 187 et 188, Maupassant montre, une fois de plus, le désir fou que George Duroy à de vouloir charmer les femmes, ici étant Madeleine Forestier qui le fascine depuis leur première rencontre. Mme Forestier, elle, est décrite comme une femme gêné par ces avances et troublé par l’envi que Duroy a de la séduire George Duroy désir possédé cette femme qui le fascine et qui semble charmé par lui « il lui avait plu, depuis

formation morale et sentimentale du héros, pauvre au départ, qui réussit par les femmes. Ayant eu pour maître Flaubert, Maupassant est très influencé. On retrouve ainsi certaines similitudes entre les œuvres de Flaubert et de Maupassant : l’adultère dans Mme Bovary et Bel Ami, la formation morale et sentimentale dans L’Education sentimentale et Bel-Ami. Ainsi l’excipit du roman de Maupassant illustre la réussite du héros, Duroy. Nous assistons ici à la réussite du personnage de Bel-Ami et au dénouement

rédaction de La Vie française dans les chapitres 1 et 3, notamment son odeur caractéristique (l. 238-240, p. 18), et son personnel. Enfin, une allusion à l’ac- tualité de l’époque apparaît dès le chapitre 2, puisque les journalistes invités chez Forestier parlent des colonies (l. 218, p. 35). Georges Duroy, un héros ambitieux � Le héros du roman est présenté dès le début de l’histoire. Identifiez les caractéristiques qui lui sont attribuées dans le premier chapitre (son aspect physique, son statut