Bel-ami
George Duroy désir possédé cette femme qui le fascine et qui semble charmé par lui « il lui avait plu, depuis longtemps peut-être » (l.29), il va jusqu’à ce soumettre à Madeleine pour la séduire: « j’aurais fait tout ce que vous m’auriez ordonné » (l.11), « tombant à ses genoux il se mit à lui baiser passionnément les mains » (l.25-26). D’ailleurs, il pense qu’elle lui fait des avances « Il crut comprendre, il crut trouver dans son sourire, dans le ton de sa voix, dans ses paroles elles-même, une sorte d’invitation » (l.16-17) lorsqu’elle se mit à parler de sa passion pour le journalisme, ce qui le conduisit à remettre en avant sa volonté de l’épousé « pourquoi ne le reprendriez-vous pas… ce métier… sous… sous le nom de Duroy ? » (l.20-21) ». En effet George Duroy est persuadé qu’elle sera d’accord de l’épousé « il devina qu’elle acceptait » (l.25) et il en était heureux « le cœur débordant de joie » (l.36).
Mme Forestier « lui tendit les deux mains, en souriant de son joli sourire aimable » (l.5-6), mais elle est fort troublé par George Duroy. En effet, à chaque tentative de séduction que cette homme lui fait, elle se trouva fort gêné. Lors de la relance de Duroy à leur l’éventuel union « Elle redevint brusquement sérieuse » ce qui montre sa volonté de cacher sa gène. Lorsqu’il tomba « à ses genoux » et « se mit à lui baiser passionnément les mains » (l.25-26) elle fut troublée : « elle était fort pâle » (l.28) elle essaye même de se « dégagée » gêné de se contacte et elle lui avoua qu’il « se pourrait que ce fut « oui » »(l.33-34).
George Duroy aime