Mobilité spatiale

celle-ci sur le plan économique, mais également sociologique, ce qui se traduit par des difficultés d’ascension sociale et des conflits sociaux. A l’inverse, une vision de la société en terme de strates instaure une vision continuiste, avec de forte mobilité sociales. Nous verrons donc en premier lieu en quoi la société française peut être qualifier de société de classe pour ensuite chercher a comprendre pourquoi la société française peut être considéré comme une société de strates. De nombreux

Articles : - «  L’école et la déstabilisation des classes moyennes », Louis Chauvel, Education et Sociétés, (http://www.cairn.info/revue-educatoin-et-societes-2004-2-page101.htm). « L’évitement scolaire et les classes moyennes à Paris », Jean-Christophe François et Franck Poupeau, Education et Sociétés, (http://www.cairn.info/revue-education-et-societes-2004-2-page-51.htm La société est fondée sur des rapports sociaux qui sont en grande partie des rapports entre groupes sociaux. Les groupes

STRUCTURE SOCIALE ET MOBILITE SOCIALE C’est un texte de William Foote Whyte. C’était un sociologue américain surtout connu pour son étude ethnologique de sociologie urbaine, Street Corner Society. Pionnier de l'observation participante, il a vécu quatre ans dans une communauté italienne de Boston, dans Norton street qu’il nome Cornerville. Pendant ce temps, il étudiait également à Harvard dans le but d'analyser l'organisation sociale des gangs du North End. Bill Foot Whyte va réussir à être

méritocratique), la mobilité sociale est parfaite. L'origine sociale de quelqu'un renvoie à la position qu'occupaient ses parents dans l'espace social. Le plus souvent, on utilise la PCS du père pour caractériser l'origine sociale. Enjeu : Dans une société démocratique comme la France, les positions sociales sont ouvertes à tous en fonction du mérite et des capacités de chacun. C'est le principe même d'une société méritocratique. L'école joue alors un rôle essentiel dans la mobilité sociale, car c'est

la mobilité sociale : - Méritocratie : Une société est qualifiée de méritocratique si la réussite scolaire et/ou sociale est fonction du mérite de l’individu, notamment de son travail, et non pas de ses origines sociales. - Mobilité horizontale : Un fils exerce une profession différente de celle de son père, mais au même niveau de la hiérarchie sociale (instituteur dont le fils devient « cadre moyen »). Le statut d’une profession peut cependant varier d’une génération à l’autre. - Mobilité intragénérationnelle :

conditions ne signifie pas la suppression des inégalités économiques. Pour Tocqueville, cela veut dire que la démocratie, par l’égalité politique et juridique qu’elle apporte, permet à chaque citoyen de réussir sa vie professionnelle et d’améliorer sa mobilité sociale. Les inégalités économiques traduisent les différences de revenus provenant des salaires, des capitaux ou des patrimoines des individus dans une société. Elles sont mesurées par : • la courbe de Lorenz, appelée encore courbe de concentration

TD- Le calcul de la mobilité sociale L’objectif de ce TD est de vous montrer comment les sociologues calculent la mobilité sociale intergénérationnelle dans un pays. Pour ce faire, on va calculer des « tables de mobilité ». Le principe de ce calcul est le suivant : savoir ce que sont devenus les « fils de ». Ainsi, si un fils de cadre devient cadre, il y a immobilité sociale ; si un fils d’ouvrier devient cadre, il y a mobilité sociale (ascendante ici). Donc, le principe va être, dans un tableau

CHAP 7 : ENJEUX ET DETERMINANTS DE LA MOBILITE SOCIALE | I-Les sociétés modernes sont-elles des sociétés mobiles ?A-Définir et mesurer la mobilité sociale *MS = Chgt position sociale ds vie de qqn par rapport sa génération précédente (Rôle de famille ; structures éco et école) et se mesure par le chgt de PCS par rapport à c parents. *M structurelle = imposé par l’évo de la structure des emploies d’une période à une autre.*M nette = c la M réelle, indépendante des mutations éco * M brute = % de

d’expérimentation ?) ne pourra-t-on réimpliquer dans la vie de la cité les populations immigrées (qui, souvent, notamment quand elles habitent en banlieue, subissent aussi des handicaps socio-économiques) qu’en leur montrant que le modèle républicain de « mobilité sociale » n’est pas qu’un vain mot, et peut aussi leur profiter (ce qui passe peut-être par la mise en place de quotas). L’accès de certains membres de ces groupes ethnoculturels à des études de niveau supérieur ou à des postes à responsabilité dans

dégradation progressive de la réussite (M) - travail précaire et mal rémunéré chez les jeunes (T) - Tanguy effectue des petits boulots 2. - 1955 : augmentation progressive du chômage (M) - diplôme = meilleure solution contre le chômage (T) 3. - mobilité sociale descendante (M) - emplois précaires empêchent les jeunes de prendre leur indépendance (T) 4. - chômage omniprésent à la sortie des études (M) - insertion professionnelle plus difficile (T) - quête de l’autonomie (P) En définitive