Mogadiscio

après la reconquête de Mogadiscio par le gouvernement intérimaire appuyé par les troupes éthiopiennes. 8 000 hommes devaient être positionnés, avec un mandat onusien, et les premiers éléments de l’Amisom (force de paix de l’Union africaine en Somalie) sont arrivés fin février. Toutefois, les lenteurs à obtenir de nouvelles contributions des États de l’Union africaine devaient retarder le retrait éthiopien, dans un contexte de dégradation sécuritaire de la situation à Mogadiscio. De fait, l’UA peine

les pirates torturent leurs otages et les utilisent comme boucliers humains35. Jusqu’en 2007, les bases de départ de la piraterie somalienne se concentraient essentiellement dans la région côtière de Mogadiscio. Un rapport des Nations Unies indique même que des responsables du port de Mogadiscio auraient transmis à des pirates des informations visant à faciliter des abordages de navires. Mais il semble que les combats continus dans cette région nuisent à leur activité. D’où un déplacement de l’activité

étape cruciale pour le processus politique, qui doit se poursuivre vers l’établissement d’institutions démocratiques. Nom officiel : République fédérale de Somalie Chef de l’Etat : Sheikh Hassan Mohamoud Superficie : 637 657 km² Capitale : Mogadiscio Taux d’alphabétisation : 37,8% Population (estimation) : 10085 638 d’habitants (juillet 2012) Religion : islam sunnite (99 %)Le 1er août 2012, l'Assemblée constituante somalienne adopte à l'unanimité un projet de nouvelle Constitution

suivant leur fonction principale. * Les villes portuaires Ce sont les plus nombreuses et importantes, elles comportent les comptoirs lacustres, fluviaux ou maritimes comme les villes de Saint louis, Dakar, Conakry, Accra, Dar es Salam, Zanzibar, Mogadiscio, Brazzaville, Bamako, Lomé, Abidjan, Lagos, Douala, Libreville, Luanda, Capetown… * Les villes ferroviaires Ces villes sont les terminus de chemins de fer ou des points de rencontre privilégiés comme Nairobi, Kampala, Yaoundé, Huambo, Tabora

équatoriale) • São Tomé (Sao Tomé-et-Principe) • Ndjamena (Tchad) Afrique de l'Est Bujumbura (Burundi) • Djibouti (Djibouti) • Asmara (Érythrée) • Addis-Abeba (Éthiopie) • Nairobi (Kenya) • Kampala (Ouganda) • Kigali (Rwanda) • Victoria (Seychelles) • Mogadiscio (Somalie) • Hargeisa (Somaliland) • Djouba (Soudan du Sud) • Dodoma (Tanzanie) Afrique australe Pretoria (Afrique du Sud) • Luanda (Angola) • Gaborone (Botswana) • Moroni (Comores) • Maseru (Lesotho) • Antananarivo (Madagascar) • Lilongwe (Malawi)

multipliant les échanges. Entre VIIIème et le XIème siècles, après la conquête de l’Inde, les Arabes vont développer des relations commerciales avec les populations du littoral africain de l’océan Indien et établissent des comptoirs à Zanzibar, Mogadiscio, Kismayou, Mombasa... Ils prennent pied également dans l’archipel des Comores et sur les rives Madagascar. Leurs comptoirs sont alors concurrents et indépendants les uns des autres. On y échange de l’or, de l’argent, des esclaves, des animaux exotiques

d’actions militaires ouvertes couronnées de succès lors de la guerre civile somalienne dès 2008, les Shebabs contrôlaient plusieurs villes importantes dans le sud du pays. Délogés par l’armée Somalienne appuyée par l’Union Africaine, ils sont chassés de Mogadiscio en 2011 et rentrent dans la clandestinité en 2012. Aux abois, ne pouvant plus mener de guerre conventionnelle, ils se tournent vers les stratégies terroristes standards à partir de cette date (attentats suicides, enlèvements, assassinats ciblés)

débuté comme reporter à l’agence GAMMA en suivant la crise au Kosovo en 1999. Il couvre depuis l’actualité internationale, la seconde Intifada, le conflit en Irak où il retourne régulièrement depuis 2003, la crise Haïtienne en 2004, la prise de Mogadiscio par les tribunaux islamiques en 2006, ou encore  la guerre du Liban qu’il couvre intégralement.  Son travail, tant sur l’actualité internationale qu’à travers les faits de société qu’il traite, met l’accent sur la condition humaine confrontée

fragmentation, dont l’essentiel échappe au contrôle du gouvernement actuel. Actions violentes quotidiennes Risque d’extension du chaos Territoires échappant plus ou moins à l’autorité centrale ou ayant des velléités autonomistes CENTRAFRIQUE SOMALIE Mogadiscio RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO OUGANDA KENYA Présence militaire américaine et britannique Bases et facilités Etats ayant accepté de collaborer avec les Etats-Unis dans la « guerre contre le terrorisme » Zone de haute fréquence

Bonn, Bruxelles, Bucarest, Copenhague, Genève, Helsinki, la Haye, Lisbonne, Londres, Luxembourg, Madrid, Malte, Moscou, Oslo, Paris, Prague, Stockholm, Strasbourg, Varsovie, Vienne. En Afrique : Abidjan, Addis-Abeba, Alger, Dakar, le Caire, Mogadiscio, Nairobi, Rabat, Tripoli et Tunis. En Asie : Ankara, Beyrouth Damas, Hong Kong, Nouvelle Delhi, Pékin, Rangoon, Téhéran, Tel Aviv et Tokyo. En Amérique du Nord : Montréal, New York, Washington. En Amérique Latine : Asunción, Bogota, Brasilia