Berbera

la Somali et ils offrait leurs aide aux mouvements dissident de la Somalie qui se trouvait principalement au nord du pays. Les États-Unis offrirent une aide à la fois humanitaire et aussi militaire en échange d’utilisé les installations navales de Berbera, une ancienne base soviétique. Les hostilités avec l’Éthiopie continuèrent jusqu’en 1989, date à laquelle un accord de paix a fut signé. Même avec la réélection du général Barre en 1986, l’opposition de désarma pas et conquît la région du nord de

habitants qui commençaient à vivre dans la panique car il s’inquiétait pour leur santé. « J'ai failli quitter la ville à cause de la très mauvaise qualité de l'eau et j'avais peur pour ma santé et celle de mes enfants, ».[2] « Il y avait à Berbéra des cas de diarrhée très fréquents et des gens qui avait des problèmes de reins. Je conseillais aux gens de faire bouillir l'eau avant de l'utiliser afin d'éviter de tomber malades. » 2 De plus, UNICEF, afin d'amélioration de la gestion du réseau

stratégique qui contrôle l’accès au détroit et donc à la route du pétrole. Général Barré impose un pouvoir dictatorial en Somalie : on a alors la naissance d’un socialisme scientifique. Il est donc proche de l’idéologie de l’URSS à qui il ouvre un port : Berbera. En 1974 une révolution chasse le négus éthiopien : Hailé Sélassié qui était au pouvoir depuis 1930. Incapacité pour réformes politiques et lutte contre les famines : immobilisme. On a donc un coup d’Etat militaire. Les terres sont collectivisées

avaient jusqu’alors pourfendus. Mieux, en 1977-1978, ils soutiennent Siyad Barré contre l’Éthiopie pour la possession de l’Ogaden largement peuplé de Somali (Mogadiscio ne renoncera qu’en 1988!) et obtiennent des facilités militaires à Berbera. Quant à la France, présentée comme le gendarme de l’Occident, elle mène sa propre politique de «containment» au Tchad où la Libye voudrait étendre sa domination pour l’établissement d’un vaste empire du désert. 35 Une 3e guerre mondiale

érythréens qu’ils avaient jusqu’alors pourfendus. Mieux, en 1977-1978, ils soutiennent Siyad Barré contre l’Éthiopie pour la possession de l’Ogaden largement peuplé de Somali (Mogadiscio ne renoncera qu’en 1988 !) et obtiennent des facilités militaires à Berbera. Quant à la France, présentée comme le gendarme de l’Occident, elle mène sa propre politique de «containment» au Tchad où la Libye voudrait étendre sa domination pour l’établissement d’un vaste empire du désert. 35 

alors contre les Gallas et leur infligent une défaite sévère vers 1865. En 1909, la Tana (Kenya) sera atteinte à son tour. L'Égypte réclame les anciens droits turcs et, de 1874 à 1884, occupe différents points de la côte, dont Zeila et Berbera, où elle est remplacée par les Anglais, installés à Aden, qui établissent leur protectorat en 1887 et signent avec la France un accord sur les frontières en 1888. Quant aux Italiens, qui ont déjà pris pied en Érythrée, ils signent des traités de protectorat

ports de Berbera et de Chisimaio.[7] Par la suite, après que les liens avec les soviétiques aient été rompus en 1977, le régime somalien n’a eu comme choix que de se chercher des alliés du côté de l’Occident. Entre 1979 et 1980 seulement, la vente d’armes américaines en Somalie a augmenté plus de 23 fois[8]. En 1980, un autre accord de défense sera signé avec les États-Unis. Celui-ci promet une aide économique et alimentaire substantielle, en échange de l’utilisation des installations de Berbera.[9]

le Nil et la mer Rouge. Tanqaites '■ pays de Taka, arrosé par le Takazzé et PAtbara. Anniné et Mêtiné, tribus de la même région. Dans la région opposée : Contrée de Barbara où croît l'encens; c'est le pays cinnamomifère des Grecs et des Romains. Berbera, port de la côte des Somàls. Extrait 240 est inconnue. SÉANCES DU MOIS D'AOUT. Séséa, lîhausi ; chez les Somals, tribus des Issa des Arousi : Solaté Les Kinédokolpiles d'Arabie, tribu de Kinda, mentionnée sous le nom de χίνδινοι au temps

) sont appelées barbares D, c’est-àdire parlant des langues barbares. - La terre barbarique (adj. barbaricus) des Anciens, comme le golfe barbarique 1) ou la mer barbarique n, à l’exclusion d‘un quelconque Barbaricum emporium d’oiì dériverait la Berbera des Arabes (inconnue des Grecs), sont des noms géographiques, dont l’acception est plus restreinte que l’a ethnonyme barbare. Le Pérzple de la mer Erythrée situe le territoire barbarique à partir de Bérénice, soit à distance de l’aire somalophone

d’Oman ARABES UNIS Océan Indien INDE TCHAD Khartoum Darfour Najran OMAN YÉMEN Sanaag Socotra (Yémen) ÉRYTHRÉE Asmara Sanaa Au cœur des tensions, le Golfe persique et ses ressources SOUDAN Sud-Soudan DJIBOUTI Djibouti Berbera ÉTHIOPIE Hargeisa SomalilandSool Addis-Abeba Puntland Aden Golfe d’Aden Voir aussi cartes p. 124 à 135, et p. 48. Foyers d’instabilité Conflit majeur ouvert Conflit majeur gelé Etats désignés par les Etats-Unis comme ennemis Etats ou territoires