Moires

Départ du voyage : New York. II. Sal a une pension d’ancien combattant. Sur sa route il se trompe de chemin et prend le nord au lieu de l’ouest. Il veut aller à Denver (Chicago) retrouver ses amis. III. Il passe par le Mississipi, Des Moires, Nebraska, Grand Island, Gothenberg. Il rencontre un Eddie qui va faire un morceau de chemin avec lui. Puis il partira dans un camion, qui ne pouvait en prendre qu’un des deux, sans rien dire et avec la chemise à Sal. Mais Sal s’en fou. IV. Il

la Perf orm a n ce Fournisseu r – Recher che d’une Méthodologie AVE RTISS E MENT L’école Supérieure des Affaires de l’Un iversité de Grenoble n’entend donner aucune approbation ni im probation aux opinions ém ises da ns les m é moires colle c tif s des can didats au DESS ; les opinions doivent être consid érées comm e propres à leurs auteu r s. Com posant parm i d’autres des travaux de r echerches réalisés, ne comptant que pour un dixièm e de l’évaluation globale

échappatoire à cette peur de la mort, au temps qui passe. Ainsi, dans ce poème, l'auteur déplore la mortalité de l'espèce humaine face au temps. Le temps est perçu comme une souffrance. Crépuscule Victor Hugo L'étang mystérieux, suaire aux blanches moires, Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît ; Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ? Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ? Vous qui passez dans l'ombre, êtes-vous des amants ? Les

d’Amphictyon… On voit donc bien ici que si Apollon était le dieu principal à Delphes, il n’était pas le seul. On voit aussi dans le dernier paragraphe « les statues des Parques » accompagnées de Zeus et Apollon Moeragètes, littéralement qui conduisent les Moires, nom romain des Parques, qui détiennent entre leurs mains le fil de la vie des hommes… Ainsi, Delphes étant le lieu de rencontre de tous les Grecs, c’était véritablement l’endroit idéal pour diffuser le légendes et les cultes propres à chaque cité

|Lumière: soleil couchant sur la mer | Interprétation / observations : Des premiers paysages peints au bord de la seine aux Nymphéas de la fin de sa vie, Monet se passionne pour les métamorphoses du ciel, les moires de l’eau, tout ce qui n’a pas de forme arrêtée. Il tente de rendre le dialogue entre l’eau et la lumière ; D’une composition rigoureuse, l’oeuvre serait presque abstraite si la barque au premier plan et le soleil se reflétant dans l’eau n’ « expliquaient

profond de soi-même Enfin que signifie Ce râle prolongé qu'à tout chant je préfèreA ma prunelle obscure une image suffitA ma gorge un sanglot une ombre à ma mémoirePour tous mes souvenirs cette photographieElle est jaune elle est pâle elle a comme des moires Ma mère y est assise un enfant à ses pieds Quelqu'un qu'on ne voit pas est trahi par l'armoireLe flacon sur la table et le presse-papier Personne ne sait plus aujourd'hui ce qu'ils furent Ni qu'était ce roman Maman que vous coupiezVous veniez de changer

1926: Harper • 1927: Trotter • 1928: Dean • 1929: Halliday • 1930: Watson • 1931: Waring • 1932: Dean • 1933: Bowers • 1934: Bowers • 1935: Drake • 1936: Richardson • 1937: Steele • 1938: Lawton • 1939: Lawton • 1947: Westcott • 1948: Rooke • 1949: Moir • 1950: Davis • 1951: Mortensen • 1952: Robledo • 1953: Wayman • 1954: Glazzard • 1955: R. Allen • 1956: Lofthouse • 1957: Charles • 1958: B. Smith • 1959: Greaves • 1960: Viollet • 1961: Greaves • 1962: Crawford / Kevan • 1963: Greaves • 1964: Greaves

c’est un incipit suspensif qui ne répond pas aux attentes : on ne saura rien du lieu, de l’époque et même les personnages restent énigmatiques. Dans ce corpus manque donc un type : l’incipit dynamique ou « in medias res » comme ceux de L’Assom moir de Zola ou de La Condition humaine de Malraux. L’intérêt du lecteur est tout d’abord suscité par cette entrée dans la fiction, plus ou moins informative, plus ou moins dynamique. Certains textes regorgent d’information, comme ceux de Balzac ou

comme l'un des plus connus: on y voit Oedipe répondant à l'énigme du Sphinx, sauvant ainsi la ville du joug de la divinité (cf. I, b.) puis celui de John Melhuish Strudwick, qui nous présente les trois femmes , divinités du destin. En effet, les trois moires, (en grec ancien Μοῖραι / Moĩrai, littéralement les « portions de destin assignées à chaque homme ») étaient dans la mythologie grecque, les fileuses, maniant le destin de l'homme de leur tissage. Au nombre de trois, chacune se voit déterminer un

reflets Les Ce autour de moi, n'était eaux prairies, \ ives, perte de vue, que montagnes, comme humides qui chatoyaient d'or noyés dans vifs reflets à vagues verdures, molles brumes, Lueurs le plumes forêts pareilles à des touffes de moirés d'ombres où et appelle la — de clartés. l'on croit voir faire la des yeux entr'ouverts, bleu des lointains, magiques roue C'était à ce vertes, horizons un de ces lieux paon magnifique qu'on nature. Le Rhin, Dans plusieurs des I