Moliere L Amour Medecin

un théâtre de « pur amour ». Son « théâtre » est étranger aux débats qui vont bientôt chercher à renouveler les genres dramatiques. Elle commence par écrire des « comédies » ou « moralités » sacrées dans la tradition des Mystères. Destinées à la représentation (cour ou cercle encore plus restreint). Suivent 7 comédies « profanes » (1535-1549) traitant d’amour et de religion. Utilisation de personnages proches de l’allégorie. Explore souvent le monde du « pur amour » (expérience quasi mystique

Boileau (L’Art poétique), Racine (Phèdre), La Fayette (La princesse de Clèves) Don Juan, une pièce classique ou baroque ? A – Les règles classiques Mélange des genres (que ne tolère pas le classicisme) : farce, comédie, tragi-comédie (conflit amour/honneur avec Elvire et ses frères), et tragédie avec la scène du Pauvre et la mort de DJ. ) 1) Les trois unités non respectées. Aucune des trois unités n’est respectée. Tout d’abord l’unité de lieu. On change de lieu à chaque acte, voire deux ou

Des Grieux à Manon Lescaut dans l'oeuvre de Prévost => il se fâche avec son père, part en Amérique avec la jeune femme qui, pourtant, l'a plusieurs fois trompé. Ou encore les passions des héros tragiques : Phèdre qui se suicide à cause de son amour impossible pour Hyppolite.     C- La nécessité de l'exemplarité • Le romancier a besoin que ses histoires soient lues. Faire rêver + fonction de Catharsis (c’est-à-dire que le lecteur vit des aventures extra ordinaires par l’intermédiaire du

théâtre d’aventures par le théâtre psychologique et donc s’en suit la disparition des effets spéciaux. • En 1658, Molière arrive à Paris et s’installe au Petit Bourbon et 3 ans plus tard il joue au palais royal où il fusionne avec des Italiens. A la mort de Molière en 1673, sa troupe fusionne avec la troupe des Marais. En 1680 Louis XIV officialise la fusion de la troupe de Molière (italiens et troupe des Marais) avec L’hôtel de Bourgogne => Comédiens Français. Louis fait cela car le théâtre est

Oscar est : un personnage avec un grand cœur (il partage du temps avec les autres enfants malades ; il épargne ses parents de sa mort ; il vit un amour avec Peggy Blue) un personnage un peu philosophe car il aide les autres, notamment ses parents à comprendre la mort et la vie un personnage avec un grand courage comme il le montre à ses médecins. Malgré sa souffrance, il essaie de se battre contre la maladie Au début de l’histoire, il est seul et enfermé dans sa maladie. Et au fur et à mesure

Introduction. En 1775, lors des premières représentations du « Barbier de Séville », cette pièce connaît très vite un succès triomphal. En effet, Beaumarchais étonne par son originalité, son esprit et sa gaieté, au point d’être surnommé « le fils de Molière ». Le caractère intrigant de ce dramaturge, est mis en parallèle par Jean-Pierre de Beaumarchais avec l’ambivalence de la notion de plaisir à cette époque. Il énonce ainsi qu’ « au XVIIIème siècle, le plaisir est à la fois une valeur et un crime »

(conflit amour/honneur avec Elvire et ses frères), et tragédie avec la scène du Pauvre et la mort de DJ. DJ et Sganarelle sont baroques : difficiles, voire impossibles à cerner. Toujours en mouvement, en métamorphose, même les statues bougent ! Sganarelle se donne en spectacle à Gusmann dès l’Acte I, scène 1 ; puis, c’est Dom Juan qui se pavane (le Paon) devant Sganarelle dès la scène 2. Les deux personnages jouent d’ailleurs l’un pour l’autre en permanence. Ils jouent des rôles, l’un est médecin, l’autre

Molière, Dom Juan, Acte I, sc. 1 – Éloge du tabac. Commentaire littéraire. ⇨ En quoi cette scène d’exposition est-elle une illustration du double libertinage de Dom Juan – libertinage philosophique et libertinage moral – qui va dominer toute la pièce ? Et, partant, en quoi annonce-t-elle la pensée des Lumières ? ← Axes de lectures : o Une scène d’exposition à la fois classique et atypique. o L’inscription de la scène dans une idéologie. Introduction - Le

une machinerie permettant de faire apparaître un dieu récitant une tirade – d'où l'expression « deus ex machina ». Le théâtre romain comporte surtout des comédies pour distraire le peuple. Plaute et Térence ont écrit de nombreuses comédies, dont Molière s’est parfois inspiré. Il y a aussi, datant du IVe siècle av J-C, l’atellane, un genre de farces bouffones où des personnages traditionnels connus de tous jouent en s’appuyant sur un canevas qui laisse une grande part à l’improvisation : elle préfigure

dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de Cinna (1640) de Corneille : Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste, conspire contre celui-ci afin de venger son père. Cinna, son amant, doit tuer Auguste. Mais Cinna est partagé entre son amour pour Emilie et son estime pour Auguste. Le complot sera dévoilé par un conjuré jaloux, mais Auguste sera magnanime. Le nœud de l'action : Le point culminant du conflit qui oppose les protagonistes, la crise. Moment où l'intrigue se complique.