Molière Femmes Savantes Classicisme

les sous-bassement mortifères d'un trop grand classicisme dans une oeuvre qui est tout aussi classique. N'y a t-il pas la un paradoxe? Quasiment chaque paragraphe rédigé par Lepape s'achève sur une maxime souvent lyrique, comme par exemple « L'utopie est la reine des massacres ». A cela, Pierre Lepape répondit avec amusement qu'il aurait aimé un peu plus de désordre dans son ouvrage. Nouvelle critique à fleuret moucheté : « Vous dites que Molière ne s'attaque qu'aux plus faibles, mais vous oubliez

des pièces profanes (non religieuses) condamnées et désapprouvées par l’église. Ce sont des pièces écrites pour faire rire le public des villes. Elles mettent en scène des personnages de la vie quotidienne : bourgeois, marchands, maris cocus, femmes aux mœurs légères. Elles critiquent les mœurs de l’époque. 3. Le XVIIème siècle : l’âge d’or du théâtre. Le XVIIème siècle est le siècle du théâtre. Il est caractérisé par : - Le théâtre baroque : apparut à la première moitié du XVIIème

la guerre de Cent Ans. Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre à la fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps. Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen 3 Âge, il met en scène les Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et l'Ascension; au contraire

la guerre de Cent Ans. Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre à la fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps. Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen 3 Âge, il met en scène les Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et l'Ascension; au contraire

Neubourg est dans un coin, assise à côté d'une de ses femmes, jeune et jolie fille. La reine est vêtue de blanc, robe de drap d'argent. Elle brode et s'interrompt par moments pour causer. Dans le coin opposé est assise, sur une chaise à dossier, dona Juana De La Cueva, duchesse d'Albuquerque, camerera mayor, une tapisserie à la main ; vieille femme en noir. Près de la duchesse, à une table, plusieurs duègnes travaillant à des ouvrages de femmes. Au fond, se tient don Guritan, comte d'Onate, majordome

quelque usage que ce fût pour notre besoin, et même d'en tirer de la nourriture, comme [le frent] nos ancêtres [quand], assiégés dans la ville d'Alésia, ils se résolutrent à lutter contre la faim due à ce siège en utilisant les corps des vieillards, de femmes et d'autres personnes inutiles au combat. Les Gascons, dit-on, en faisant usage de pareils aliments, prolongèrent leur vie. Les médecins aussi ne craignent pas de s'en servir pour toute sorte d'emplois en faveur de notre santé, soit pour l'appliquer

l’intolérance. Le dix-huitième siècle fut également un siècle de lutte pour l'égalité. Dans la Colonie, Marivaux remet en question la supériorité des hommes sur les femmes. Dans cette utopie, il présente de nouveaux rapports sociaux : les femmes se révoltent et veulent être les égales des hommes. Ce texte a pour but d'amener les femmes qui savent lire à la révolte. Dans L'île aux esclaves, toujours en traitant le thème de l'égalité, Marivaux inverse les règles : les serviteurs deviennent les maîtres

premières pièces entièrement profanes.   Au XIVème et XVème siècle vont se développer les farces, leur but est de faire rire le public, on retrouve de grands thèmes qui faisaient rire à l’époque : - La misogynie, c’est le fait de se moquer des femmes, on va également se moquer des prêtres. - Le trompeur trompé, 2 pièces : ( La farce de cuvier (2ème moitié du XVème siècle), grand bac où la femme allait nettoyer le linge, c’est l’histoire de Jacquinaud qui vit avec sa femme et sa belle-mère,

devez imprimer toutes les pages qui concernent l’histoire littéraire mais vous n’imprimerez que les pages concernant le roman et la nouvelle choisis I. Histoire littéraire : répondez aux questions sur les mouvements suivants : humanisme, classicisme, Lumières, romantisme, réalisme et naturalisme. A/ L’humanisme 1) Définir le mot humanisme • Quel est son sens courant ? • Quel sens spécifique peut-il prendre ? Dans ce cas, quelles sont ses caractéristiques ? (origines du mouvement

grammaire, la rhétorique, l'art du raisonnement; - le IIème le quadrivium, traitait de thèmes comme: l'arithmétique, de la musique, de l'astronomie et de la géométrie. La langue des écoles était le Latin classique qui était consacrée comme langue des savants, séparée de la langue populaire qui évolua vers le Roman. Le IXème siècle produisit: quelques écrivains latins -auteurs de poésie religieuse, quelques théologiens et quelques historiens. La vie artistique L'art romain était depuis longtemps épuisé