Molière Héritage

évocateur d’érotisme. Evocation de la nature « aux arbres, aux nuages, au vent » (Chateaubriand) Conclusion : L’examen de ce texte nous a donc permis de voir l’importance de la scène. En effet, cette scène rapide, brillante et écrite au rythme de Molière, avec la malice de Marivaux et avec la tendresse de Musset, nous expose la menace du Conte et nous permet ainsi de découvrir le personnage de Chérubin. L’attitude de ce dernier ainsi que sa description que nous donne Suzanne, nous laisse apercevoir

mode ( tinso de molina au XVI siecle). - le libertin, Dom Juan est menacé par dieu a cause de ses provocations multiples. Ici, scene d’exposition le valet sganarelle fait le portrait de son maitre. - Quel portrait de Dom juan nous propose ici moliere ? Lecture : de « je n’ai pas grande peine » à « que tu aurais manti » Commentaire : I) Un mecreant les idées les procèdés Dj est athée « qui ne croit… ni loup

capitale, elle complète et enrichit l'oeuvre écrite. Il est nécessaire que les costumes et les accessoires des acteurs prolongent les rôles et les actions des personnages sur la scène, une bourgeoise du 17e siècle, comme dans Les Femmes Savantes de Molière par exemple sera vêtue d'un ensemble soyeux et riche avec une coiffure élaborée montrant qu'elle est la maîtresse de maison, tandis que sa fille portera une robe et une coiffure plus simple la plaçant au rang d'enfant dans la maisonnée. Ainsi les

filles « sans cérémonie » (mœurs libertine). C’est justement d’un homme que se méfie Silvia, la querelle est donc lancée. II. Une querelle entre maîtresse et suivante a) L’enjeu de la dispute En faisant référence à « Les femmes savantes », de Molière, acte I, scène 1, Marivaux donne un sens différent à la querelle puisque maîtresse et suivante s’entretiennent et s’opposent dans leurs jugements. Silvia met en querelle l’idéal stéréotypé du mari physiquement aimable. Ses réticences sont expliquées

principes même de la vie. Le second argument est que l'infidélité, c'est la justice. C'est dans l'intérêt des femmes qu'il est infidèle, toutes les femmes ont le droit d'aimer Don Juan, ce serait une injustice de le réserver à une seule d'entre elles. Molière prend plaisir à inverser la morale, en faisant du donjuanisme une forme supérieure de charité. Le troisième argument est qu'il ne fait que céder aux lois de la nature. Il suit la nature, voila encore un argument dans cet éloge paradoxal. Don Juan

Les grands genres du classicisme • L’épopée qui met en scène l’héroïsme (le Moïse sauvé de Saint-Amant). • La tragédie, genre par excellence du classicisme français (Pierre Corneille, Jean Racine). • La comédie fait appel au jugement moral (Molière). • La poésie officielle, composée pour fêter les grands événements du royaume (Malherbe), la poésie burlesque (Scarron), la poésie mondaine (Boileau), le portrait (La Bruyère), les maximes (La Rochefoucauld), la fable (La Fontaine), le roman (Mme

problématique: " Quelles sont les différentes fonctions de la comédie et du comique ? " Le plan détaillé: I) La comédie est un moyen de divertissement A) La farce vise à faire rire le lecteur: - comique de gestes crée un effet comique: ex. Molière dans son oeuvre L École des femmes , dans la scène 2 de l acte 1 ou Alain, le valet d Arnoplphe qui est un bourgeois mène une dispute avec Georgette, la servante d Arnolphe et le valet est très fâché envers elle et veut lui mettre une gifle mais par

Sganarelle – Molière 1. Référence de l'œuvre: Titre: Sganarelle ou le cocu imaginaire Auteur: Molière Date de la 1ère publication: 1660 2. L'auteur: Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière est né en 1622 à Paris. Fils de tapissier, il perd sa mère à 10 ans. Après avoir suivi des études dans un collège jésuite, il se destine à une carrière d’avocat. Mais, depuis tout petit il est fasciné par le théâtre, il décide de monter une troupe de comédiens, « L’illustre-Théâtre », qui s’inspire

La Fontaine sont des petites comédies. L’élément le plus évident est que les Fables sont écrites pour êtres lues, tandis que les comédies au XVIIème siècle étaient écrites strictement pour être jouées. Un clair exemple ce sont les comédies de Molière, qui étaient jouées même dans la cour de Louis XIV (par exemple, Tartuffe ou L’imposteur). C’est à cause de cette différence que l’écriture de ces deux genres est disposée d’une manière différente : tous les deux sont constitués par un ensemble

semble détaché des contraintes de la réalité. Monde de conventions, il n'a dès lors d'autre fin que d'être un divertissement.L'univers est purement esthétique et le spectateur apprécie le caractère festif de l'oeuvre. Ainsi, la comédie-ballet de Molière, "Le Malade imaginaire" se termine par un délire carnavalesque. La tragédie même n'enseigne parfois aucune morale contre la fatalité: le public y trouve le plaisir de la terreur et de la pitié. Quand le théâtre est sa propre fin, les spectateurs