Mon beau sapin

Montagnes, vivait un petit garçon turbulent. Il causait bien du soucis à ses parents, à qui il n'aimait pas obéir. Il faut dire que les enfants nés sous le Signe de l'Air sont indomptables. Ses grands yeux bleus et son visage toujours illuminé du plus beau des sourires faisaient de Luki un enfant apprécié de tout le monde au village, malgré ses sottises répétées. L'Élément de l'Eau était né dans la Région des Océans. Cet endroit était réputé pour abriter les magiciens natifs du Signe de l'Eau. Il

y avait déjà ma mère dans la cuisine En train de servir le saumon Quatre pieds carrés de soleil Sur le plancher lavé Mon père était à travailler Ma sœur à cueillir des framboises Et le voisin d'en face et celui d'en arrière Qui parlaient de beau temps Sur la clôture à quatre lisses Et de l'air propre autour de tout cela Aussitôt arrivé en ville j'ai sorti ma maison de ma poche Et c'était un harmonica Gilles Vigneault Conseils donnés par une sorcière (A voix basse, avec un air

à la lettre. On dit bien qu’on peut vivre avec 25 sous par jour ; mais s’empêcher de mourir, ce n’est pas vivre ; et je ne vois pas en quoi une ville organisée utilitairement serait plus agréable à habiter que le Père Lachaise 6. Rien de ce qui est beau n’est indispensable à la vie. — On supprimerait les fleurs, le monde n’en souffrirait pas matériellement ; qui voudrait cependant qu’il n’y eût plus de fleurs ? Je renoncerais plutôt aux pommes de terre qu’aux roses, et je crois qu’il n’y a qu’un utilitaire

P.E. Brins d’eveil Pt-Viau C.P.E. 71 C.P.E. Force vive Duvernay C.P.E. 72 C.P.E. Chez nous c’est chez vous Duvernay C.P.E. 73 C.P.E. Caroline Duvernay C.P.E. 74 Garderie éducative Sarah-Lou St-Rose Garderie Privée 75 Garderie éducative mon beau sapin St-Rose Garderie Privée 76 Garderie éducative au champ fleuri St-Rose Garderie Privée 77 Garderie et centre educ. La bambinerie St-Rose Garderie Privée 78 C.P.E. Le vent dans les Voiles St-Rose C.P.E. 79 C.P.E. Logis-ciel St-Rose C.P.E. 80

precisely at moments of either very low self esteem for Emma or of transition.’(Orr 2000, pg 45) Quand nous découvrons que notre personnage principal attend un enfant, il nous n’étonne pas qu’elle veut tirer parti de la situation et qu’elle rêve d’un beau garçon; ‘Elle souhaitait un fils ; il serait fort et brun, elle l’appellerait Georges’ (pg 146). Emma s’est sans doute rendu compte d’impossibilité de se réaliser dans la forme de femme ; ‘un homme, au moins est libre… mais une femme est empêchée continuellement’

muets ! Grottes ! Forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface

lien privilégié avec le lecteur (revue qu’on garde). On a 1 300 titres de magazines en France incluant les titres professionnels (Capital, l’Entreprise…). On y intègre aussi la presse télé (télé magazine le plus vendus). On fait de belle publicité, beau papier positif pour la marque. Inconvénients : prix beaucoup plus cher, délais de réservation long. • Les gratuits : né dans 60’s, connait un très fort développement. Audience très large mais peu ciblée (ou ciblage géographique). On note 2

Le Rapport de Brodeck.Philippe ClaudelTEMPSDébut de l’automne / la guerre avait cessé depuis 1 an / 3 mois presque jour pour jour après que l’Anderer était arrivé chez nous p23PERSONNAGESBrodeck : a fait des études (petites études et même pas fini), s’est écrire. Possède une machine à écrire (très vieille) qu’il manque des touches mais pas assez de sous pour réparer. Il aurait pu se taire … Menacé d’écrire (poings fermés et main dans les manches qui serrées leur couteau). P14

chambre voisine et se montrait très serviable. Mme Gabin nous avait raconté qu'il se trouvait simplement de passage à Paris, où il venait recueillir d'anciennes créances de son père, retiré en province et mort dernièrement. C'était un grand garçon, très beau, très fort. Je le détestais, peut-être parce qu'il se portait bien. La veille, il était encore entré, et j'avais souffert de le voir assis près de Marguerite. Elle était si jolie, si blanche à côté de lui ! Et il l'avait regardée si profondément, pendant

d’endosser une panoplie “chaîne-en-main” personnalisée fournie par la sphère industrialo-publicitaire. La vie se résume alors à une quête frénétique des meilleures affaires, du produit original “qui me va à merveille”. Les hommes se transforment en sapins de Noël, ils se décorent de guirlandes clinquantes pour masquer qu’ils sont mourants et que leurs aiguilles sont déjà en train de tomber. Il faut sans cesse s’étourdir pour effacer l’horreur et se faire des plaisirs pour oublier l’ennui. Toutes les