Mon oncle Antoine

Boitelle Bombard Châli Duchoux Fumerol Harriet Hautot Hortense Husson Jocaste Judas Jules Julie Luneau Marroca Martine Milon Misti Mohammed Moiron Mongilet Morin Parent Paris Parisse Patience Paul Pierrot Roger Romain Rondoli Roque Rosalie Rosier St-Antoine Samoris Schnaffs Sosthène St-Michel Théodule Toine Tombouctou Walter Yveline Yvette Horla Joseph Noël Figure 1 : Les noms propres des titres (ARTFL) Les noms propres ont des degrés différents de spécificité, et un poids interprétatif variable. «

L'Astrée, d’Honoré d'Urfé, et Rabelais, plutôt que Saint Augustin. Il reprend des études de droit et fréquente un cercle de jeunes poètes : les chevaliers de la table ronde, où il rencontre Pellisson, François Charpentier, Tallemant des Réaux, et Antoine de Rambouillet de La Sablière, qui épousera la future protectrice du poète Marguerite de La Sablière. Il obtient en 1649, un diplôme d’avocat au parlement de Paris. Entre temps, en 1647, son père lui organise un mariage de complaisance avec Marie

jusqu'à la fin de l'année. Verne écrit à ses parents : « Je vois que vous avez toujours des craintes en province ; vous avez beaucoup plus peur que nous n'avons à Paris... J'ai parcouru les divers points de l'émeute, rues St-Jacques, St-Martin, St-Antoine, le petit pont, la belle Jardinière ; j'ai vu les maisons criblées de balles et trouées de boulets. Dans la longueur de ces rues, on peut suivre la trace des boulets qui brisaient et écorniflaient balcons, enseignes, corniches sur leur passage ; c'est

qu’on vous expliquera après un court résumé de la pièce : Antigone est la fille d’Œdipe et Jocaste ancien souverains de Thèbes, sœur de Polynice, Etéocle et Ismène. Etéocle et Polynice sont morts en se battant pour le pouvoir se fut donc Créon, leur oncle le roi. Il n’offrit des funérailles qu’à Etéocle faisant ainsi passer Polynice pour le méchant. Créon laissa donc le corps de Polynice se détériorer sur la terre sèche interdisant à quiconque de l’enterrer sous peine de mort. Mais Antigone petite rebelle

Condorcet I. Jeunesse et carrière politique Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet, né le 17 septembre 1743 à Ribemont est le fils de  Laurent de Caritat et de Marie Magdeleine Gaudry. Son père, soldat, meurt quelques mois après sa naissance.  Sa mère, très religieuse, l'élève et l'habille en fille jusqu'à 9 ans, âge auquel elle confie son éducation à un précepteur jésuite à domicile, puis, grâce à l'intervention de son oncle paternel évêque de Gap, Auxerre et Lisieux, le fait entrer

lui en laissait le temps (de plus en plus souvent au fil des années !), il partait à Paris rencontrer ses amis. Là, il se mêlait aux sociétés précieuses et surtout libertines de l'époque. Il y rencontrait Maucroix, Furetière, les frères Tallemant, Antoine de la Sablière. Sa vocation poétique s'éveillait de plus en plus. Il passait de longues heures à lire Malherbe, son préféré, mais il admirait aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. C'était pour lui le moment des petits

Lorsque le travail lui en laisse le temps, il monte à Paris rencontrer ses amis. Là, il se mêle aux sociétés précieuses et surtout libertines de l'époque. Il y rencontre Maucroix (poète) son ami d'enfance, Furetière (poète), les frères Tallemant, Antoine de la Sablière. Sa vocation poétique s'éveille de plus en plus. Il passe de longues heures à lire Malherbe mais admire aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. Il traduit l'Eunuque de Térence (1654), compose une comédie Clymène

reanimé par le baiser de l’amour », fait par un italien , antonio canova en 1792 et actuelement concerve au musée du louvre a paris. En peinture jacques louis david (1748-1825) est l’un des artistes les plus importants. Boucher, son oncle , confit son education artistique à un grand maitre de la peinture : Vien. Après que david eu rétté son prix de romme 3 fois, il part en 1776 a l’accademie de France a rome, il y decouvre un gout tres prononcer pour l’antique, il

auquel il sera toujours très attaché. Ses parents ont choisi un mendiant pour être son parrain pour que toute sa vie il se souvienne que les pauvres sont ses frères. Après ses études de droit, il devient conseiller, puis, il hérite de la fortune de son oncle du parlement et le nom de Montesquieu. Quand il le peut, il s'intéresse au monde et au plaisir. Il se passionne pour les sciences et mène des expériences puis oriente sa curiosité vers les hommes et l'humanité à travers la littérature et la philosophie

lui en laissait le temps (de plus en plus souvent au fil des ann�es !), il partait � Paris rencontrer ses amis. L�, il se m�lait aux soci�t�s pr�cieuses et surtout libertines de l'�poque. Il y rencontrait Maucroix, Fureti�re, les fr�res Tallemant, Antoine de la Sabli�re. Sa vocation po�tique s'�veillait de plus en plus. Il passait de longues heures � lire Malherbe, son pr�f�r�, mais il admirait aussi les �crits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. C'�tait pour lui le moment des petits