Mon Rêve Familier

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Eléna Leleu LES RÊVES (inconscients) 2e activité sciences 2011 Préface J'ai choisi de faire mon dossier sur un sujet assez méconnu, qui pourtant nous est familier. Il s'agit des 'rêves'. Non pas les rêves que nous faisons éveillés, mais bien ceux que nous faisons quand nous dormons. Ce qui m'attire, c'est certainement le côté mystérieux, caché que ce thème revêt, mais aussi la possibilité de mieux me connaître

l'assommoir, Gervaise songeait », à « elle agissait dans un vilain rêve » Texte étudié : Plantée devant l’Assommoir, Gervaise songeait. Si elle avait eu deux sous, elle serait entrée boire la goutte. Peut-être qu’une goutte lui aurait coupé la faim. Ah ! Elle en avait bu des gouttes ! Ça lui semblait bien bon tout de même. Et, de loin, elle contemplait la machine à soûler, en sentant que son malheur venait de là, et en faisant le rêve de s’achever avec de l’eau-de-vie, le jour où elle aurait de quoi

urbain transfiguré : 1) Mouvement amorcé dans la 1ère strophe, nettement dans la 2ème Idéalisation du paysage Tuyaux, clochers assimilés à des "mats". Implicitement, la ville est assimilée à un avenir (évasion, découverte, aventure). Les bruits familiers sont évoqués de manière idéalisée : clochers -> cloches ; "L'atelier qui chante" -> les ouvriers qui chantent au travail. Bruits (qui rythment la journée) valorisés -> sonnerie des cloches distinguées comme "hymnes solennels", idée de grandeur

Deux poubelles avec drap sur celles-ci/ un escabeau et un fauteuil à roulettes + sifflet. Tableau retourné (obligation selon la règle traditionnelle d’y faire allusion or on en parle pas)  Décor sordide, qui effraye le spectateur mais qui semble familier aux personnages. B) Une action minime Aucune intrigue n’est mise en place, pourtant c’est le principe d’une scène d’exposition. Une gestuelle répétitive avec les verbes de mouvements dans les didascalies : D’abord avec l’escabeau et les fenêtres

éprouve envers Cassandre, cette jeune femme qui pour lui est à l’égale d’une rose. Il fait preuve de romantisme avec des mots doux, l’atmosphère de son poème est chaleureuse comme l’amour. Verlaine (1844-1896), dans Mon rêve familier, lui aussi exprime son amour pour une femme dont il rêve, mais il s’en souvient vaguement et elle le comprend. Mais certains auteurs évoquent aussi l’amitié, l’enfance, la famille, et tout ce qui touche au cœur. b) Mais dans une part de poésie du cœur on peut aussi y trouvé

milieu naturel Oregon : ours de cirque qui parle, il rêve de retrouver sa liberté. Spike : homme noir exclu de la société, chauffeur de camion qui les conduit. le voyageur de commerce, la starlette, le chef indien déplumé, renvoient aux clichés sur les USA, minorités, marginalités, rêves déçus. Ils vont contribuer à faire prendre conscience à Duke qu’il n’est pas le seul à être sur la touche, à faire partie des « loosers », des victimes du « rêve américain ». Le schéma actanciel : Oregon

production. L’effet de réel que suscite la description réaliste permet de créer un cadre spatio-temporel familier du lecteur. En effet, par exemple, dans le père Goriot de Balzac, la description de la pension Vauquer donne l’impression au lecteur d’assister à une visite guidée de la pension. La multiplication de détails procure au lecteur un lieu familier. La description se fait par un «zoom». On comprend d’abord que le rez de chaussé a deux pièces, et l’auteur fait

3. Ma Boheme : Rimbaud Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; A Mon paletot aussi devenait idéal : B J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal  ; B Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! A Mon unique culotte avait un large trou. C − Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course D Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. D − Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou C Et je les écoutais, assis au bord des routes, E Ces bons soirs de septembre

c’était l'heur ou il y avait très longtemps je me sentais content » > répétition des même mots. Bonheur qui débouchait toujours sur un sommeil léger et sans rêve. Meursault insiste sur sa connaissance profonde d’Alger à cette heure : « j'ai reconnu, j'ai retrouvé, bruits familier, ville que j'ai aimé,que je connaissais bien, chemin familier » Meursault prend conscience de la fin de ce bonheur et souligne le coté absurde de son destin dans la dernière phrase «  pouvait mené aussi bien » «prison =/sommeil