Monarchie De Juillet Rupture Ou Continuité

réduit à la fonction de maintien des règles et des traditions, d'arbitrage suprême entre les différents pouvoirs qui émanent de lui, mais qu'il n'exerce pas lui-même, sauf la justice et la conduite de la guerre. Elle n'est donc pas équivalente à la monarchie, qu'Aristote ou Montesquieu définissent comme le régime politique dans lequel tous les pouvoirs sont exercés par un seul : le monarque peut porter le titre de roi, mais également celui d'empereur, de tyran, de dictateur, de consul, de Premier secrétaire

La Révolution Française est paradoxale, on peut relever deux paradoxes. Le premier est que la RF se fait au nom de la liberté mais aussi de la légalité, ce qui signifie donc que la monarchie était une monarchie tyrannique et inégalitaire, or il se trouve qu'au regard d'autres pays européens, la monarchie française à la fin du XVIIIè siècle, est l'un des Etats où règne la plus grande liberté et qui de surcroit a fait d'importants progrès en matière d'égalité. Le règne de Louis XVI a été

« arnarchique », selon Vedel du mécanisme de dissolution. Politiquement, cela aboutit à une mise en jeu anarchique de la responsabilité ministérielle, d’où l’instabilité. Mécanismes vont devenir des moyens pour les Chambres, d’asservir l’exécutif. Cette rupture de l’équilibre traduit le dévoiement du régime parlementaire. B] Un exercice du pouvoir dévoyé La 3ème République se caractérise par un régime d’assemblée mais il faut montrer que ce légicentrisme de l’Assemblée doit être aussi tempéré puisque

institutions polit. A l’appel de la Révolution fr, les institutions sont de nature monarchique. Pour se protéger contre des contestations de plus en plus radicales, le roi Louis 16 a refusé tout partage et tout contrôle de son pouvoir. Il s’agit d’une monarchie absolue de droit divin. Souveraineté: Jean Bodin explique pour la première fois ce qu’est la souveraineté dans son ouvrage. Il l’a défini comme une puissance perpétuelle et absolue. Elle est pleine et entière. (C’est le ciment qui permet aux

gouvernementales qui essayent de s’organiser ; exemple : monarchie, république), en 1789 c’est la « quête du régime idéal ». Même dans un même régime politique l’organisation des institutions évolue. Chapitre 0: La crise de l’Ancien Régime La France avant 1789 est un « Autre monde » dans toutes ses structures : politiques, économiques, sociales. Il y a un fondement radicalement différent. C’est une rupture mais beaucoup plus car il n’y a pas de continuité, c’est un séisme, anéantissement de l’ancienne France

l’effondrement de la monarchie absolue qui est remplacée par des institutions et structures politiques nouvelles. Or, ses nouvelles institutions sont fondées sur nouvelle conception du pouvoir, en effet, les idées qui dominent cette même année sont : le transfert de la souveraineté du roi à la nation le principe de représentation La séparation des pouvoirs Ordre nouveau Rejet du passé On peut dire que la révolution française est un processus (mouvement en plusieurs étapes) de rupture avec l’ancien régime

civile et d’intervention étrangère. Les puissances démocratiques d’Europe voyaient d’un très mauvais œil les bolchéviques. Bibliographie : Manifeste du parti communiste, 1847, Marx et Engels II) Lénine, le parti de l’Etat Il s’inscrit dans une rupture théorique, conceptuelle et pratique par rapport à Marx et Engels. L’Etat et la Révolution, Lénine. PARTIE III : L’EVOLUTION DES FORMES ETATIQUES EN FRANCE Dans la mesure où l’Etat français, indépendamment des régimes politiques, est le produit

Henri de Navarre (protestant donc problème). Août 1572 = en pleine guerre de religion. Oppositions entre protestants/catholiques. Les sujets doivent avoir la même religion que les autres. Lois limitées. 1614 = dernière convocation des EG Monarchie Absolue installée par Louis XIV (prend le pouvoir en 1661). F s'impose comme la Première Puissance Continentale car pays riche, prospère au sein duquel ses classes actives = artisans, entrepreneurs.. Mais, des revendications naissent au XVII et

apparemment contradictoires. D'un côté, nombre d'auteurs insistent sur son «insularité» géographique - doublée d'une histoire originale due à la persistance à travers plusieurs millénaires de la culture et de la langue berbères - et sur la continuité d'une monarchie qui remonte au VIIIe siècle. D'un autre côté, le Maroc apparaît comme le point de rencontre des mondes africain, oriental et européen. Véritable creuset de civilisations, il a réagi avec son caractère à la formation des empires phénicien

constitutionnel. Cicéron traduit ce dialogue au 1er siècle avant JC « De re publica ». Cela aboutit au terme République. Progressivement, nous passons au terme d'Etat. Aux XIVème et XVème siècles, la République prend un sens actuel. Elle est différente de la monarchie. L’État est une organisation politique. La République est une forme de gouvernement d'un État. En conséquence, la République est différente de l’État. En 1515, Machiavel écrit Le Prince et emploie le mot État dans son sens moderne. Ce terme existe