Monarque

senatus-consulte qui le proclame empereur des Français, 18 mai 1804 Huile sur toile Cambacérès s’avance vers celui que le sénatus-consulte vient de désigner comme empereur des Français. L’instant est solennel. Sont présents aux côtés du nouveau monarque, son épouse Joséphine (1763-1814), accompagnée de ses enfants Eugène (1781-1824) et Hortense de Beauharnais (1783-1837), ainsi que sa sœur Caroline (1782-1839. Remarquons que Caroline, à l’arrière-plan, est ici encore seule : elle ne sera « rejointe

masculine. Les Valois vont répondre qu’isabelle ne peut pas transmettre ce droit tout simplement car elle ne l’a jamais possédé, on estime qu’elle n’a jamais détenut un eventuel droit a succédé. Le deuxième argument est que l’on ne veut pas d’un monarque étranger sur le trône de France et la encore la querelle est tranché par une assemblée et l’assemblée tranche en faveur de philipe de Valois qui accède au trone sous le nom de philipe 6, il est donc le premier roi de la branche des Valois. L’assemblée

retrouver à contredire la doctrine chrétienne. Ils ont cependant ouvert une porte que d’autres vont s’empresser de franchir, et ces auteurs sont les Monarchomaques Les Monarchomaques sont des auteurs de la fin du XVIe. Le terme signifie « ennemis du monarque ». Ils s’inscrivent dans la guerre de religions qui déchire l’Europe à cette époque. Ils vont prolonger les idées de l’Ecole de Salamanque. Ils sont très intéressés par l’idée du gouvernement qui manquerait à ses obligations contractuelles. Les Monarchomaques

faisant de la France la première puissance politique, économique et surtout culturelle du monde européen (le « temps des cathédrales », mais aussi des universités, de la théologie et du droit canon…). Philippe IV le Bel (1285-1314), est le premier monarque prenant avec autorité des initiatives dans les domaines les plus divers : il innove en réunissant les États généraux, pour appuyer sa politique par l’assentiment des population, met en place pour des raisons militaires un impôt royal bientôt permanent

dépositaire de la souveraineté qu’il exerçait au nom de l’Etat. Ainsi à cette époque, la notion d’état servait à assurer la continuité du pouvoir et elle donnait un fondement à l’autorité de l’empereur romain. À l’époque franque, sous les mérovingiens, le monarque considère le pouvoir royal comme sa propriété. On a donc une confusion entre les notions de propriété privée et la notion de souveraineté de pouvoir royal. En conséquence, il n’y a plus de pouvoir public. Le pouvoir c’est le roi. Le mot « publicus »

Reims qui, au IXe siècle, avait déjà l’idée de ce que nous appelons « la collégialité épiscopale ». Le siège romain a en effet le privilège d’être le « premier siège », mais tous les évêques sont les successeurs des apôtres. Le pape n’est pas un monarque autoritaire, comme le voudrait le « parti des moines », mais il doit obéir aux canons de l’Eglise. Lorsque Gerbert écrit : « L’Église catholique doit reposer sur l’Évangile, les apôtres, les prophètes, les canons promulgués sous l’inspiration du

962 ou la dignité impériale est relevé en faveur de Othon soit Othon le Grand qui est le roi de Germanie. l’Empire s’appelle le Saint Empire romain de nation germanique il a vraiment une vocation hégémonique ca signifie que l’Empereur veut être le monarque universel de tout l’ancien Empire d’occident. Il veut soumettre tous les rois. Sur un plan juridique ces prétentions sont renforcées par la renaissance du droit romain. La situation des capétiens par apport a ces prétentions. Ils sont dans une situation

FICHE DE LECTURE MACBETH Les personnages Duncan, Roi d’Ecosse Malcolm, fils de Duncan Macbeth, seigneur, cousin et général de l’armée d’Ecosse Banquo, seigneur, cousin et général de l’armée d’Ecosse Macduff, Cousin seigneur et baron d’Ecosse Lennox, Cousin seigneur et baron d’Ecosse Ross, Cousin seigneur et baron d’Ecosse Angus, Cousin seigneur et baron d’Ecosse Fléance, Fils de Banquo Siward, Général de l’Armée anglaise Seyton, ordonnance de Macbeth au château de Dunsinane Le fils

L'Eglise et le roi, XVIIe XVIIIe siècles « La France fille aînée de l'église » cette acception remonte à l'origine de la royauté en France. Clovis, roi Franc salien, fut le premier roi de premier plan en Europe occidentale à se convertir à la religion catholique, apostolique et romaine. Il fut surnommé le fils aîné de l'église, d'où cette qualification pour la France. Dès lors, (le cas Henri IV étant spécial) le roi de France se doit d'être catholique. La France ne transigera jamais sur cette condition

Commentaire du texte n°5 : L’exaltation du pouvoir royal par les évêques Atrium : Cour intérieure d'une maison romaine dans l'Antiquité. Clotaire II, dit le Jeune, né en mai 584, mort le 18 octobre 629, est roi de Neustrie de 584 à 613 et roi des Francs de 613 à 629, après la conquête du royaume d'Austrasie et du royaume de Bourgogne. Sa victoire de 613 sur la reine Brunehilde (Brunehaut) met fin à la longue période de guerres entre rois francs, commencée en 570, et dont deux protagonistes