Mondialisation Et Progres Technique

La Mondialisation I- L’explosion des flux mondiaux a/ La mobilité croissante des hommes *Le flux des travailleurs migrants alimentés par les inégalités socio-économiques croissants entre les pays : 1965 : 45M // 2005 : 300M + 50M illégaux. *Un transfert de fond des migrants : 270Mds $ (2006) = 75% vers sud * Nombre de réfugiés de guerre, répression politique = 10M (mais réticence pays d’accueil : Politique de fermeture) * Tourisme de masse = 810M (2005) contre 25M en 1950 mais

développer. Il convient cependant d’évoquer : • les facteurs traditionnels, mis en avant par les économistes classiques, comme le travail, le capital et les ressources naturelles ; • l’innovation, facteur souligné par Schumpeter, qui par le progrès technique qu’elle engendre, impulse des phases de croissance économique ; • le développement de la concentration dans le système de production économique ; • l’amélioration de la qualification et du capital humain dans la population active ; • le développement

société en France Introduction: Depuis 1994 la bioéthique est autorisée en France malgré la modification de la loi et n’autorise que certaines recherches comme celle sur l’embryon qui n’est pas autorisée sauf s’il est elles peuvent permettre des progrès thérapeutiques majeurs. Les recherches sont donc effectuées à titre transitoire (cinq ans) et dérogatoire. Le législateur qui a pour rôle d’arbitrer entre ce qui est permis et ce qui ne l’est pas et les limites de l’intervention de l’homme sur lui-même

MONDIALISATION ET INTERDEPENDANCES v Définition : ® La mondialisation est un processus multiséculaire d’internationalisation des échanges – qu’ils soient économiques, financiers, politiques, culturels ou d’informations - qui engendre une mise en relation des différentes composantes territoriales du monde, d’acteurs différents - Etats, FMN, institutions internationales, ONG - d’ensembles géographiques divers - villes et régions puissantes - qui s’organisent en réseau ou en archipel interdépendant

trimestre 2002 Inégalités : faits et débats Pierre-Noël Giraud Le débat sur les inégalités et sur le rapport entre mondialisation et inégalités, encore confidentiel au milieu des années 90, s’amplifie régulièrement depuis. Qu’entend t-on par inégalités et peuton les mesurer de manière rigoureuse ? Les inégalités économiques sont-elles croissantes ? La mondialisation est-elle coupable de l’accroissement de certaines inégalités ? Lesquelles et par quels mécanismes ? Ou bien sont-ce les technologies

Le progrès technique nous encourage t-il vers une société de surveillance et de contrôle des individus ? Le progrès est l'action d'aller de l'avant , de s'accroître, d'être meilleur. Le progrès serait donc l'accroissement technique, c'est à dire l'amélioration du processus de fabrication dans plusieurs domaine, informatique, militaire, médecine dans un but de faciliter et d'améliorer la vie des individus. Une société de surveillance et de contrôle des individus est une société dans laquelle tout

MONDIALISE I Explosion des flux Le développement des transports La variété des flux II Les acteurs de la mondialisation Les firmes internationales et transnationales Le rôle paradoxal des Etats Le rôle des grandes organisations internet III La mondialisation recompose l’espace mondial Des espaces dominants : la Triade Des espaces divers en voie d’intégration Les exclus La mondialisation : Expansion et harmonisation des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et

Le première Mondialisation. C'est à la mondialisation que l'on attribue une uniformisation du monde, mais aussi le « village planétaire », ainsi que la prise de conscience de valeurs communes et d'un patrimoine de l'humanité. En réalité, ce mot désigne au fond une accélération des changements, inédite dans l'histoire de l'humanité. Nous pouvons alors nous interroger sur la place que les Etats et territoires occupent dans le contexte de la première mondialisation? Nous verrons

développer. Il convient cependant d’évoquer : • les facteurs traditionnels, mis en avant par les économistes classiques, comme le travail, le capital et les ressources naturelles ; • l’innovation, facteur souligné par Schumpeter, qui par le progrès technique qu’elle engendre, impulse des phases de croissance économique ; • le développement de la concentration dans le système de production économique ; • l’amélioration de la qualification et du capital humain dans la population active ; • le développement

augmentation de la recherche et du développement peut se traduire pas des innovations qui vont nourrirent la croissance en créant par exemple de nouvelles façon de produire. La productivité favorise aussi la croissance grâce à l’emploi : Un progrès technique, lorsqu’il se traduit par des gains de productivité, peut induire des suppression d’emplois là où il se produit, mais la baisse des coûts de production unitaire rend possible une hausse de la croissance (par la baisse des prix et la hausses des