Mondialisation Et Tertiarisation

notamment dans les plus grands pays, elle poursuit une tendance ancienne. C’est affaiblissement des syndicats européens s’inscrit dans une tendance mondiale depuis 1998 par le Bureau international du travail3. Insistant sur les effets de la mondialisation, l’organisation internationale du travail (OIT) évoquait alors le caractère désuet des relations entre partenaires sociaux établies dans les vieilles nations industrielles et dont le modèle s’était étendu a d’autres parties du monde. Le constat

restructuration profonde des entreprises (etp). La mondialisation financière correspond à un capitalisme (Ksme) tourné vers la recherche d’une croissance forte qui épuise les ressources nouvelles et l’exigence d’un maximum de profit souvent en contradiction avec les acquis collectifs assurés par les Etats providentiels mis en place depuis 1945, notamment en Europe. Les opinions publiques réagissent à cette évolution en aspirant à une forme différente de mondialisation qui prendrait les exigences du dvpt durable

l’apparition d’une hiérarchie entre ouvriers non qualifiés et qualifiés. Le professeur met l’accent sur les délocalisations avec à l’appui les deux documents suivants et montre ainsi que la fin des Trente Glorieuses et la crise conduisent à une tertiarisation de l’économie déjà amorcée dés les années 1960, et à une nécessité de requalification du monde ouvrier à mesure que les tâches les plus basiques sont effectuées hors des frontières. On pourra aussi évoquer que les conditions de vie et de travail

I) Analyse du texte de Valérie SEGONG Le texte extrait d’un article de la Tribune traite d’un phénomène que l’on peut qualifier de politique et social ; la délocalisation. A l’heure de la mondialisation de nombreuses questions émergent autour de nos perspectives d’avenir en terme économique, de nos industries. Afin d’analyser ce texte, il est intéressant de comprendre le terme de délocalisation qui se définit comme le transfert dans un pays

Pour Laurent Carroué[1], on peut identifier trois mondialisations qui constituent autant de strates géoéconomiques successives. La première est portée par les Grandes Découvertes et le capitalisme marchand naissant. La seconde est issue de la révolution industrielle et démographique du XIXe siècle et du début du XXe siècle qui permet aux puissances occidentales européennes d'intégrer les trois quarts de la planète à leurs grands empires coloniaux à travers la mise en place d'un système économique

dans les anciens Länder d’Allemagne de l’Est. Le SPD doit s’adapter à un nouveau contexte économique et social : le poids et le coût de la réunification, la construction européenne, la tertiarisation continue de la population active allemande, la montée du chômage et les nouvelles contraintes liées à la mondialisation. La gauche dans son ensemble souffre du discrédit lié à l’échec de l’expérience du " socialisme réel "en Allemagne de l’Est". " A partir de 2000, le Chancelier social-démocrate Gerhard

1975 le taux de chômage n’a cessé d’augmenter car la croissance est plus faible et qu’il faut s’adapter à la mutation des technologies. De plus le taux de natalité est très fort et les enfants du baby-boom étaient sur le marché de l’emploi. Cette tertiarisation peut s’expliquer par : une augmentation du niveau de vie (les français consomment plus de services, santé, transports, plus de pouvoir d’achat multiplié par 2,5) à la désindustrialisation qui a entraîné la chute du monde ouvrier, à l’urbanisation

France, quant à elle, se démarque des autres régions de par son poids dans la production, qui n'a d'égal sur le territoire national. Cela tient grâce à son poids démographique et la modernisation constante de son système productif, dominé par la tertiarisation. Cette dissymétrie est-ouest se remarque pour les départements produisant un PIB supérieur à 100 Mds de Francs en 1996 : on en compte une dizaine dans la partie orientale contre 4 dans la partie occidentale. Nous allons maintenant sortir du

s'explique par plusieurs raisons : La dés-industrialisation : la baisse des effectifs ouvriers entrainent la baisse des adhérents aux syndicats. De plus, avec le développement de la société post-industrielle, le phénomène de féminisation, de tertiarisation, les individus sont moins confrontés au choix de se syndiquer ou non. Les principales transformations du marché du travail, à savoir, le chômage et la montée des emplois atypiques. Ces emplois n'incitent pas à la syndicalisation, le lien avec

socialistes associées à la RDA. La coalition de droite, dirigée par le chancelier sortant Helmut KOHL, remporte les élections. b. Les syndicats en déclins 6 Chapitre 3 : Religion et société aux Etats-Unis depuis les années 1890. Avec la tertiarisation de l’économie et le développement des classes moyennes, l’audience des syndicats décline. Les effectifs sont passés de 12 millions en 1991 à 7 millions en 2001. Histoire 2012 B. De l’impopularité du gouvernement social-démocrate au développement