Monk

de 1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à son

1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à

1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à

de 1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à son

de 1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à son

de 1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à son

1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à

1640 et 1688. La première, bien qu'elle ait abouti à la proclamation de la République par Cromwell et à l'exécution de Charles le, n'eut pas de conséquences décisives sur le plan des institutions : après la mort de Cromwell en effet, le général Monk restaura la monarchie au profit des Stuart en 1660. La seconde Révolution, en 1688, devait au contraire marquer le triomphe définitif du Parlement. Jacques II est chassé du trône; pour l'y remplacer, le Parlement fait appel à sa fille Marie et à

inspiratrice La Légende de la nonne, p. 535 : entretient lui aussi un lien d’intertextualité évident : mode qu’il y avait alors de ces romans noirs anglais. La France se toc de toute une série de textes à cette époque, dont un roman appelé « le moine » (the monk) de Lewis. Il reprend un épisode du moine, qui est celui de « la nonne sanglante » : une nonne dont le fantôme ère dans les couloirs du couvent et s’est rendu coupable d’amour pour un brigand de grands chemins. (Georges Brassins l’a mis en musique)

compatibles? Peut­on Deval, batterie, avec leur invitée admirer autant une escapade Lynn Cassiers au chant. Quark, de Miles Davis qu’une autre de c’est leur nom, n’a rien de parti­ George Best? Une anicroche de cules élémentaires mais tout Thelonious Monk et un crochet des subtilités et de l’expérimen­ de Franz Beckenbauer? Un riff tation electro. de Duke Ellington et un arrêt Alors que les T­shirts rouges définitif de Lev Yachine ? Au et polos noirs s’agglutinent au coup de sifflet final du match