Monocle

clapotis vous voyez lentement agoniser le texte dieux d'airain j'en appelle à vos rictus j'en appelle même à vos socles j'en appelle à Eschyle à Euripide j'en appelle aux astronomes avec leurs lunettes j'en appelle aux bourgeois de vaudeville avec leurs monocles oui j'en appelle à Sophocle surtout dieux d'airain j'en appelle aux hémicycles des amphithéâtres tout autant qu'aux hémistiches absolus du vieux père Corneille un texte se meut ou se meurt et sur la scène aucun acteur ne meurt vraiment tant qu'un

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il n'y a pas dans La Recherche de personnage à clé. Proust se sort de sa mémoire, certes, pour les créer, mais malgré tout, sous le travail du "littérateur" on peut trouver "soixante noms", c'est-à-dire un pour  "une grimace", un autre pour un "monocle" etc. dans le Temps Retrouvé. Néanmoins, s'il y a une source pour un personnage, cette source est bornée à un instant, comme   le montre Proust dans sa correspondance. L'auteur refuse donc les clés, alors que parallèlement les historiens mondains

courts et se maquille de façon agressive. Le tableau représente donc, une femme assise, à une table de bar au coin d’un pièce rouge représentative des années 20, habillée d’une robe style écossaise rouge, fumant une cigarette, buvant, portant un monocle et ayant les cheveux courts. C’est presque la «caricature» de la garçonne libérée que Dix représente ici, mais il l’a peint laide: un corps trop grand, une dentition qui ressort inesthétique ment du visage, un nez presque crochu ect.. La toile

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l'époque essentiellement réservé à la gent masculine, Sylvia von Harden revendique une sorte "d'extraterritorialité" : elle est ailleurs. Sur le plan de la féminité comme sur le plan intellectuel. Elle fume en public, boit en public. Et arbore un monocle  pour le moins surprenant chez une figure féminine. Sans compter qu'elle n'est pas "belle" au sens d'une beauté classique : dentition trop visible, mâchoire chevaline, traits anguleux, coupe de cheveux très masculine, oreilles trop imposantes. Et

tailleur-jupe et même le blazer. Cette dernière ose même renier tous les codes classiques féminins en portant le pantalon, alors interdit pour les femmes. Certaines femmes endossent même l'habit masculin avec des cravates, des noeuds papillons, ou encore un monocle. Les cheveux de la femme sont coupés courts ou rattachés sous des chapeaux. P.9 · Les Munitionnettes La Première Guerre Mondiale va marquer un tournant dans l'histoire comme les femmes remplacent les hommes au front dans les usines elles

puces, vivant de ménages. Mais entre temps la mère d’Édith, a eu un second enfant, Herbert Gassion, né le 31 août 1918 à Marseille. Il dit de sa mère «une grande artiste, mais qui n’a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au chat noir, au Mikado, au monocle… puis part à la dérive» et Arletty dira «Ce n’était pas la mère qui avait la voix de la fille, c’était la fille qui avait la voix de la mère » La grand-mère ne se serait pas bien occupée d’Edith, la laissant dans la saleté, sans eau et hygiène