Monologue Femme

bruns, moustache roulée, insolent, fameux chroniqueur d’actualité, gagne beaucoup d’argent pour des potins Norbert de Varenne : Petit, long cheveux, aspect malpropre, gros, poète, chroniqueur fantaisiste, n’a pas de sympathie envers les débutants, monologue sur la mort Père Walter : Patron du journal La Vie Française, homme d’affaires, juif, lutte pour chaque économie qu’il peut réaliser Virginie Walter : hésite jamais à dire quelque chose, calme, gracieuse, un peu grasse, encore belle (40 ans)

ordonne la mort du traître de Cawdor et l’attribution de son titre à Cawdor. (Ils sortent). Scène 3 :  (Une lande déserte. Tonnerre. Entrent les trois Sorcières.) La 2e sorcière est allée égorger les porcs ; la 1ère a demandé des marrons à la femme d’un marin qui lui a dit de s’en aller : son mari est parti pour Alep, il est patron sur le Tigre. La sorcière ira jusque là-bas. Les deux autres sorcières lui donneront un vent. (43) La 1ère sorcière prendra tous ces vents et le marin « brisé de tempête

sot et que la vieille mère est une honnête femme » ou par des PERIPHRASES : « je réponds de la petite », « Voir dans un enfant de quinze ans la rouée à venir… ». Le spectateur comprend progressivement qu’ elle a été séduite, que sa morale n’était pas solide : « point de fonds dans les principes » (l.26) et que la mère a vendu sa fille pour une forte somme, ce qui est suggéré l.7. En revanche, le frère, Maffio est attaché à ses principes. Son monologue (à partir de la l.38) indique qu’il est inquiet

le dévore. Enfin, les leçons qu'ils donnent à Eugène concordent. Ce dernier remarque ainsi que « Vautrin lui a dit crûment ce que madame de Beauséant lui disait en y mettant les formes ». La vicomtesse lui révèle qu'il ne sera rien si une « jeune femme » ne s'intéresse pas à lui, mais surtout qu'elle doit être « jeune, riche et élégante », et Vautrin, plus succinctement, mais plus abruptement aussi, l'invite à la « chasse à la dot », précisant implicitement que la « richesse » est décisive, plus

créanciers » (l. 42). Elle tente de les fléchir et implore leur pitié. Votre adopterez le registre pathétique, en tenant compte des détails fournis dans le texte de Hugo. m 4. « Elle passait des nuits […] à songer » (document B, l. 35). Écrivez le monologue intérieur de Fantine qui viendrait s’insérer à cet endroit du texte de Hugo. m 5. Lily, qui a vieilli, décide d’écrire son autobiographie intitulée « Mon combat quotidien » (v. 46). Sélectionnez dans la chanson de Perret un « épisode » de la vie

FALLAIT PAS NOUS TRAITER DE BLANCS-BECS ! UN DÎNER PARFAIT… ENFIN PRESQUE ! (co-écrit avec Patrice LEMERCIER) Comédies publiées (non disponibles par téléchargement) - page 6 LES ANGES NE PORTENT PAS DE NŒUD PAP ! * MOI, MARTIN – TOI, MA FEMME * LA FIN DES POMMES DE TERRE* LA FIN DES POMMES DE TERRE* (Version québécoise de Georgette SABLE) Comédies courtes - page 8 CE QUI DISTINGUE LA MACHINE DE L’HOMME 1000 SECONDES TÉLÉ-FOOTUE TÉLÉ FOUTUE (Adaptation québécoise de Télé-footue)

souvent connoté péjorativement et désigne une littérature de seconde zone. L’apparition du corps dans la production littéraire féminine apparaît comme la transgression suprême. Mais le tabou commence à s’effriter. Même dans les pays du Golfe « où la femme est assujettie à d’importantes contraintes » (cf. Les aspirations féministes chez quelques écrivaines de la Péninsule arabe de Isabelle Camera d’Afflitto), les femmes s’attaquent à des sujets inédits, jamais abordés par les hommes. L’écriture féminine

d’amour. Transformé par cette expérience, il souhaite faire le bonheur d’Angélique mais elle refuse car c’est l’autre Don Juan dont elle est amoureuse. Don Juan part pour une nouvelle vie. Personnages: Don Juan la duchesse de Vaubricourt (belle femme âgée) Angélique de Chiffreville ou “la petite” (jeune fille) Chevalier de Chiffreville ou “le jeune homme” (frère de Angélique) La contesse de Laroche-Piquet Mademoiselle de la Tringle Hortense de Hauteclaire ou “la religieuse” Madame Cassin

dramatique, c’est de l’action ; ce que les femmes y veulent avant tout, c’est de la passion ; ce qu’y cherchent plus spécialement les penseurs, ce sont des caractères (c’est-à-dire des hommes). […] La foule demande surtout au théâtre des sensations ; la femme, des émotions ; le penseur, des méditations. Tous veulent un plaisir ; mais ceux-ci, le plaisir des yeux ; celles-là, le plaisir du cœur ; les derniers, le plaisir de l’esprit ». Quelques idées : Le théâtre est un spectacle vivant qui divertit, qui

monter. Il y a une analogie entre le fleuve qui grossit et le ventre de la mendiante qui, lui aussi, grossit à cause de l’enfant qu’elle porte. La jeune femme exprime le désir ardent de tuer l’enfant, comme le fleuve tue les bambous (p. 19). La grosse faim qui la dévore dans cette phase est évoquée par une métaphore aquatique : « La jeune femme est sous la faim trop grande pour elle, elle croit que la vague va être trop forte, elle crie » (p. 19). Finalement, la mendiante accouche de son enfant et