Monologue Sur La Solitude

par les narratologues tels Gérard Genette, avec changement de point de vue. Une comparaison détaillée minutieuse montre que le récit du narrateur est non seulement beaucoup plus long et détaillé, mais beaucoup plus "personnel" : il comporte quatre monologues intérieurs d'Ulysse, phénomène exceptionnel d'Ulysse avec cette densité et qui paraît paradoxal dans cette situation, si ce n'était justement le moyen qu'a le narrateur homérique de décrire la tempête intérieure qui agite l'âme du personnage. Ulysse

barrissements : malgré les exhortations éperdues de Bérenger, Daisy répond à leur appel. La dernière scène présente alors un monologue de Bérenger, hésitant, déchiré jusqu'à un ultime sursaut de résistance qui fait de lui " le dernier homme "... La pièce présente donc un rythme très soutenu, faisant alterner des dialogues restreints à deux ou trois personnages (voire un monologue) et des passages mouvementés. Les conversations collectives regroupent de nombreux personnages qui symbolisent l'opinion

main, mais au moment où il essaya de la lui prendre, l’homme disparu brutalement. Ensuite le narrateur s’aperçut que quoi qu’il fasse, l’ombre était toujours derrière lui et il comprit que cette ombre n’était que la création de son esprit face à la solitude et qu’elle ne disparaitrait qu’une fois qu’il ne sera plus seul chez lui, qu’une fois qu’il sera marié. « La Chevelure » : Au début de la nouvelle, on nous explique qu’un homme est en prison. Il raconte dans son journal intime qu’il se baladait dans

propagande. Révéler la solitude de l’homme. Bérenger est le seul personnage à ne pas se transformer en rhinocéros, et incarne ainsi la solitude de l’homme en général. Il perd d’abord ses amis, puis tout son entourage. L’amour lui-même ne résiste pas à la rhinocérite. En effet à la fin de l’acte III, alors que Daisy et Bérenger sont tombés amoureux l’un de l’autre, la jeune femme préfère rejoindre les rhinocéros plutôt que de leur résister aux côtés de son compagnon. Le monologue final du héros est un

Hernani, Acte IV, scène 2 (monologue de Don Carlos) : Avant son élection en tant qu’empereur, Don Carlos (futur Charles Quint) est pris de doute et d’angoisse et se réfuie auprès du tombeau de Charlemagne. • Qui parle à qui ? Don Carlos soliloque, et il s’adresse également à Charlemagne. • Axes de lecture : I. Un personnage exalté : A) Des sensations : vertige, malaise « éblouissant », « faillir » B) Des sentiments : doute, solitude, angoisse C) Un héros

résigner à des conditions d’existence particulièrement pénibles. Dans la première partie de son monologue, Madeleine ne fait pas un bilan positif de sa vie marquée par l’ennui, la maladie et l’angoisse. Au départ, elle confie à Claude : « Quand ton père est disparu depuis des jours pis que ta soeur est partie travailler, ça m’arrive de m’ennuyer. C’est sûr. » (l. 5-6) Elle témoigne d’une solitude qui la laisse inactive : « La télévision est plate, la lecture m’a jamais beaucoup intéressée… »

avons l'impression qu'il s'adresse au lecteur car il n'apostrophe pas directement Rieux, il l'appelle par le pronom personnel « vous » et cette impression est rendue encore plus réelle par le fait que Rieux ne lui répond pas : Tarrou utilise un monologue. Ensuite, nous nous intéressons au déroulement de la fusillade. On repère le champ lexical de la guerre avec les termes « fusiller », « grosses balles », « peloton de fusilleurs », « soldats », « tirs », « fusils », « condamnés ». C'est une description

III) Les conflits intérieurs: 1) Les monologues sont de véritables délibérations. Le personnage analyse rationnellement une situation pour déterminer son action. Exemples: Le Cid, Ruy Blas 2) Les symboles notamment les objets comme dans Mademoiselle Julie (La bouteille de vin, les bottes, le rasoir,...) ou dans Les Bonnes (les robes, les bijoux sont des objets de haine) 3°) Les éclairages: une lumière moins vive évoque la solitude morale, la réflexion, la recherche de solution

qui à travers le journal, qui révèle sa profonde solitude, et l’écriture des Faux-Monnayeurs également par celui-ci, peut ainsi faire passer ses propres pensées, son avis et ses questionnements dans le livre. Cependant le personnage de Boris est lui aussi une mise en abime de Gide. Dans son journal qui révèle sa profonde solitude, Edouard ouvre l’extrait sur le suicide du petit

d'exercer son "droit du seigneur" sur Suzanne, le jour même de leur mariage. La scène 3 du dernier acte propose un célèbre monologue de Figaro : se croyant trahi par Suzanne et dans l'attente du rendez-vous odieux, le héros se met à douter de lui-même et porte un regard lucide sur sa vie, nous permettant de le découvrir ainsi que la société qui l'entoure. L’atmosphère nocturne et la solitude vont donner une nouvelle tonalité à l’œuvre, plus dramatique et pathétique - Enjeux et annonce du plan : Le récit qu'il