Monstre marin

changement de religion. On remarque ici qu’en raison de la différence de religion entre la famille et le reste de Toulouse, les civils accusent directement la famille, sans jugement ni réflexion. « Ce peuple superstitieux et emporté; il regarde comme des monstres ses frères qui ne sont pas de la même religion que lui. » (p.33) C’est l’utilisation propre du mécanisme du bouc émissaire. Puisque selon eux, un catholique ne peut se suicider, il faut trouver un coupable. Voltaire, lui, n’est pas d’accord. Selon

Mangez donc, la Belle, lui dit le monstre, et tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j’aurais du chagrin si vous n’étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, lui dit la Belle ; je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j’y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh ! Dame, oui, répondit la Bête, j’ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je

la première personne. Un regard distancié de l’auteur dans la cadre de l’utopie garantir la crédibilité. b) L’image que donne le narrateur de ce nouveau monde : une merveille - Une description dans les détails : sur la lune se trouvent les monstres, ce sont des « bêtes hommes » « qui avait la taille la figure et le visage comme nous » -Ceci est le deuxième topos de la relation de voyage. c) Un monde qui suscite l’étonnement -Susciter la surprise ou encore la stupéfaction est aussi un

------------------------------------- 1- Ambroise paré : Des Monstres et prodiges --------------------------------------- I- Le discours d'un scientifique humaniste --> Choix discours -> Explique tout les aspects de la nature humaine est la volonté d'Ambroise Paré. --> Un raisonnement scientifique en apparence rigoureux -> Raisonnement inductif présent de vérité générale -> Précision des descriptions et nombreux exemples --> Une volonté d'explication = monstruosité châtiment

« victime », « sang » (l.9), « haine »(l.10) ,« arrachés » (.11) ,« rageur » (l.14), « châtiment » (l.15), « infirmité » « mort » (l.16), « prisonniers amaigris » (l.18), « souffrants » (l.20), « faibles » (l.21), « sceau du mal » (l.24), « mal » (l.25), « monstre » (l.26), « atrocités » (l.33), « violents » (l.35) « tuait » (l.40) , « furieusement » (l.43), « sadisme affreux » (l.46), « assassinait » (l.51), « martyre » (l.53), « frappant » (l.53), « plaies » (l.54) etc. De plus, l'auteur le décrit presque

de sa création. La créature disparaît. Mais quand des proches de Frankenstein sont tués, le savant comprend que la créature le provoque, et il recherche le monstre pour se mettre en contact avec lui. Lors d'un face à face, le monstre raconte son histoire à son créateur. Il le supplie de lui donner une compagne, et en contrepartie, le monstre arrêtera de tuer. Frankenstein hésite, puis refuse. La créature continue alors à tuer les proches du savant. Ce dernier passera donc le reste de sa vie à traquer

discours argumentatif débouchant sur une exhortation au lecteur. Dans ce cadre, le rôle de la poésie est non plus de refabriquer le monde (texte précédent) mais de changer les représentations habituelles et de transformer le regard des hommes sur les monstres et d’ouvrir leur coeur à la compassion par solidarité avec les formes les plus méprisées du vivant. Pistes d’exploitation pour une approche du texte En observant l’énonciation, mettre en évidence l’affirmation du poète dès le premier vers, affirmation

scorpions, les vautours, les serpents, Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la ménagerie infâme de nos vices, Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris Et dans un bâillement avalerait le monde ; C'est l'Ennui ! — l'œil chargé d'un pleur involontaire, Il rêve d'échafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat, — Hypocrite lecteur, — mon

conflits et cataclysmes, qui tentaient seulement de sauver des personnes sans contrepartie. Monstres froid : Pour expliquer ce terme Prenons d’abord monstre : est une personne ou entité qui suscite la crainte par sa cruauté, perversion, difformité etc. … Dans ce texte je citerai Nietzsche : L'État, c'est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement, Donc lorsqu’ils utilisent l’expression monstres froid dans le texte ils veulent mettre en avant l’absence d’empathie, de bonté, ou

vers6 qui va être décrit avec un ch lex de la monstruosité « V7l’horreur contemplait la splendeur ». Hugo donne à cette expression une dimension ironique en montrant que le crapaud va être victime de son innocence. Ce crapaud va être décrit comme un monstre  « V19,25,43,44,50,52,60 ». Cependant, Hugo va utiliser des termes mélioratifs pour le crapaud V17,24 --> accumulation de termes «  sans hontes » « doux » « tendre » : péjoratif mais avec négation : méjoratif L’episode narratif