Montagnes de Brume

et une fille. Ses genres préférés sont les paysages, les montagnes et la mer especiallement. Il est très réaliste dans sa façon de peintre, il s’inspire de paysages existant pour ses peintures. Il crée son propre style, où les représentations de la nature sont des métaphores pour des états d’esprit. Dans Voyageur contemplant une mer de nuages, représente un homme, de dos, monté sur un rocher qui regarde un infini de sommets de montagnes et de nuages qui les couvrent. Il est au centre de l’image

prototype de robot géant nommé Talos, un géant de bronze et meurt après avoir réussi à le détruire. Tout en étant attaqués par des guerriers squelettes au barrage Hoover, Percy rencontre Rachel Elizabeth Dare, une fille qui peut voir à travers la brume. Elle sauve Percy en embrouillant les squelettes, permettant à Percy et ses amis de s'échapper. À San Francisco, ils apprennent que Bessie, l'Ophiotaurus, est le monstre qu'ils recherchent car son sacrifice et la combustion de ses entrailles leur

clochers, les villages, les collines et les montagnes, la ville ne possède pas d’horizon et semble être écrasée. La lumière y est bouchée. : 23, 24, 25 à cause de la pollution. La pollution = obstacle à la lumière , elle bouche l’horizon.  « fleuve de naphte et de poix » : fleuve n’est pas un fleuve naturel, fleuve de déchets industriels, fait de pollution qui est le seul élément visible de la ville. mystère de cette ville, danger. brouillard + brume du port empêchent la lumière de passer Univers

du magma qui provient du centre de la Terre remonte et créer des fissures. C’est ce qui cause cet effet de fragilisation. La croûte océanique va alors se bomber à cause de la chaleur et créer une chaîne de montagnes sous-marines, dont ici, une partie va être émergée. Cette chaîne de montagnes sous-marines, aussi appelée dorsale océanique, peut, elle aussi, subir des changements. C’est le cas de la formation des Îles Galápagos, tout comme celle de l’Islande par exemple. Le magma en fusion va alors

par les larmes. La Lorraine arrivait, lancée à toute vitesse dès sa sortie du port, par ce beau temps clair, calme. Beausire, la lunette braquée, annonça : "Attention ! M. Pierre est à l'arrière, tout seul, bien en vue. Attention !" Haut comme une montagne et rapide comme un train, le navire, maintenant, passait presque à toucher la Perle. Et Mme Roland éperdue, affolée, tendit les bras vers lui, et elle vit son fils, son fils Pierre, coiffé de sa casquette galonnée, qui lui jetait à deux mains des

et la mort (?) Visage mis en relief grâce à des effets d’ombre et de lumière pour donner à la chair plus de réalisme. Cheveux libres, recouverts d’un voile léger et transparent. Lac de montagne 2. Deuxième plan : paysage humanisé (couleurs dominantes : roux, ocre). Chemin relié au lac de montagne. A la Renaissance, motif conventionnel pour suggérer la profondeur Mains sans bijoux, croisées avec grâce sur un bras du fauteuil: relâchement, tranquillité. Cou sans collier, ni parure

mouvement dit «  Nouvelle Objectivité ». Description : (Partie par partie) Volet de gauche : Dans une brume matinale, on distingue des soldats dont les plus visibles sont de dos et revêtent l’uniforme de la Première Guerre Mondiale. Au centre, on remarque le Soleil levant mais les nuages qui le surplombent sont inquiétants. Quant à ce qu’on présume être de la brume, elle est également inquiétante car y beigne la file de soldat de l’extrémité gauche du tableau. Dans le coin gauche se

bord d'un précipice, appuyé sur une canne et surplombe les nuages, il peut ainsi admirer les montagnes et se confronter à la nature. Il semble ainsi se pencher sur le monde. Au second plan se trouve une étendue brumeuse de nuage d'où émergent d'autres rochers, la montagne du Rosenberg, et un paysage qui s'étend à perte de vue, créant une profondeur, une impression de vide ou de vertige. L'effet de brume atténu les formes et les repères spatiaux ce qui corrompt le spectateur sur la présence d'un

1. Décrivez rapidement le tableau. Quelles lignes et formes dominantes expriment l'immensité de la nature. Le tableau représente au premier plan un voyageur au sommet d'une montagne. Il surplombe une mer de nuages dont on ne voit émerger que quelques sommets plus sombres. Au loin, on distingue d'autres sommets et le ciel qui donne une impression d'infini. L'immensité de la nature est représentée par des formes floues et indéfinies. Ce genre de formes ne permet pas de voir la fin d'un objet délimité

CHAPITRE 9 De: "Haut comme une montagne […] à fin du roman. INTRODUCTION Maupassant a écrit 6 romans dont Une Vie (1883) ou encore Bel-Ami (1889). Pierre et Jean (1888) est son 4e roman. Il comporte en guise de préface un essai intitulé Le Roman dans lequel l'auteur y explique qu'il prend ses distances par rapport au naturalisme de Zola car, d'après lui, l'écrivain réaliste ne fait que présenter sa vision personnelle du monde réel. Pierre et Jean est composé de 9 chapitres. Le texte présenté