Montagnes russes en métal

disait la première phrase de cette préface. Gould comprit qu’elle faisait partie intégrante du texte et que le courageux Wilde n’avait pas faibli face à l’ennemi : elle explosait littéralement comme un soleil, et il ne l’en admira que davantage. — La Montagne magique de Thomas Mann, elle aussi, commençait par un long « Dessein » à propos duquel Gould arriva à des conclusions identiques : la préface était déjà le texte, et Mann avait affronté l’appréhension de l’attaque avec toute la bravoure qu’on est

dit-il en ouvrant la porte voisine. Là, c’est le bureau. » J’y vois un bureau en verre avec ce que j’imagine être un ordinateur, même s’il a l’air ridicule, il est tellement petit, on dirait presque un jouet. À côté se trouve un meuble de rangement en métal gris surmonté d’un grand calendrier. Tout est bien en ordre, chaque chose à sa place. « Je travaille ici, de temps en temps », dit-il avant de refermer la porte. Nous nous retournons et il ouvre une autre porte. Un lit, une coiffeuse, encore des armoires

Théâtre. 45 p. 1994 Paris, ISSN 0045-1169 L'Avant-scène, L'Avant-Scène-Théâtre, n° 954. En écrivant avec... Fatima Gallaire. Théâtre et nouvelles. 1994 110 p. Mohammedia, Impr. du Fedala, A vérifier. LONGPRE, Alain. (Ill.). Le Chant de la montagne. 1994 86 p. Gamma, Paris, ISBN 2-7130-1622-3 Coll. Plus. Molly des Sables. Théâtre. 45 p. 1994 Paris, ISSN 0045-1169 L'Avant-scène, L'Avant-Scène-Théâtre, n° 954. KALOUAZ, Ahmed. Algérie http://real.paris.netia.net:8080/ramgen/~medi1///F0224493

s'expliquer ni par la température, l'électricité statique ou un courant d'air. Cette énergie émane de l'homme et l'opérateur peut en avoir le contrôle mentalement. Elle traverse, sans déviation ni perte, le verre, l'eau, le bois, le carton et tous les métaux. » En France, un ingénieur radio-électricien, L. Turenne, a mis en évidence ce qu'il appelle des « ondes de forme » montrant le pouvoir de focalisation qu'ont certaines formes. Une équipe de chercheurs étudie ces ondes à Saclay, à titre de violon

» Miss Debenham, d'un ton calme, reconnut que le voyage semblerait en effet moins long. Hercule Poirot remarqua que le colonel accompagnait la jeune fille jusqu'à son compartiment. Un peu plus tard, le train passa devant la chaîne de montagnes du Taurus. Debout dans le corridor, Miss Debenham et l'officier anglais contemplaient le paysage farouche et magnifique. Poirot qui se trouvait non loin d'eux, entendit la jeune fille soupirer : — Oh ! que c'est beau ! Je voudrais... je voudrais

Casimir IV Jagellon et la conquête de la basse Vistule. — II. La mainmise polonaise sur la Bohême. — III. La mainmise polonaise sur la Hongrie. — IV. L’orientation nouvelle de l’État polonais à la fin du XVe siècle et la Scandinavie. — V. Les pays russes. — VI. L’arrière-plan asiatique. — Bibliographie. Chapitre VII. — L’Empire ottoman et les peuples musulmans du bassin de la Méditerranée. I. L’achèvement des conquêtes ottomanes. — II. L’organisation de l’Empire ottoman. — III. Les pays islamiques

C'est de la vie directe, fraîche, qui jaillit de toutes parts sur le terrain, comme des sources, au printemps, en tels coins de montagne, ceux qu'on appelle un fer à cheval ou un bout du monde. Un bout du monde, peut-être, aussi, de la littérature, au-delà duquel il semble qu'il n'y ait pas de route, qu'on ne puisse plus avancer, qu'on ne trouve que chaos de montagnes inaccessibles et inhumaines. Chez un Mallarmé, chez un Valéry, même chez un Gide, on éprouve ce même sentiment d'être arrivé à un

russe. Oh ! dix lignes seulement. " Alors, il tendit la main, le russe étant resté sa spécialité, lui seul le traduisant couramment, au milieu des autres traducteurs du quartier, qui vivaient de l'allemand et de l'anglais. La rareté des documents russes, sur le marché de Paris, expliquait ses longs chômages. Tout haut, il lut la lettre, en français. C'était, en trois phrases, une réponse favorable d'un banquier de Constantinople, un simple oui, dans une affaire. " Ah ! merci " , s'écria Saccard,

russe. Oh ! dix lignes seulement. " Alors, il tendit la main, le russe étant resté sa spécialité, lui seul le traduisant couramment, au milieu des autres traducteurs du quartier, qui vivaient de l'allemand et de l'anglais. La rareté des documents russes, sur le marché de Paris, expliquait ses longs chômages. Tout haut, il lut la lettre, en français. C'était, en trois phrases, une réponse favorable d'un banquier de Constantinople, un simple oui, dans une affaire. " Ah ! merci " , s'écria Saccard,

langue russe. Oh ! dix lignes seulement. Alors, il tendit la main, le russe étant resté sa spécialité, lui seul le traduisant couramment, au milieu des autres traducteurs du quartier, qui vivaient de l’allemand et de l’anglais. La rareté des documents russes, sur le marché de Paris, expliquait ses longs chômages. Tout haut, il lut la lettre, en français. C’était, en trois phrases, une réponse favorable d’un banquier de Constantinople, un simple oui, dans une affaire. – Ah ! merci, s’écria Saccard, qui