Montesquieu La Bruyère Voltaire

|La Commune. |mondiale. | |Henri III, Henri IV au |Auteurs : |• Voltaire |• 1886-1889 : Le « boulangisme » menace la |• 1940 : Défaite de la | |pouvoir. |• Honoré d’Urfé |• C. de Montesquieu |République. |France. Gouvernement de | |• 1598 : Édit  de Nantes. |• Théophile de Viau |• J

|Auteurs : |• A. de Lamartine |• Marcel Proust | |• Louise Labé |Auteurs : |• Voltaire |• Alfred de Musset |• Paul Claudel | |La Pléiade |• Nicolas Boileau |• C. de Montesquieu |• Alfred de Vigny |• André Gide | |• Joachim du Bellay |• Pierre Corneille |• J.-J. Rousseau

théâtral. ecrits mythiques ou utopiques,cite ideale, monde utopique cité idéale imaginaire récits de voyage. De Fénelon avec son Télémaque (1699) à Diderot (Supplément au voyage de Bougainville, 1796) en passant par Montesquieu dans les Lettres persanes (épisodes des Troglodytes) Voltaire et son Candide dans l'épisode en Eldorado (1758), Fontenelle et sa République des philosophes (1768) Rousseau peut-être avec sa Nouvelle Héloise (1761), Bernardin de Saint-Pierre (l'Arcadie, 1781)...., l'Utopie, à

Fontaine (1621-1695), La Bruyère (1645-1696), Boileau (1636-1711), Pascal (1623-1662). Contexte historique : Prépondérance de la monarchie absolue avec Louis XIV, conformisme religieux, l'effet d'ordre et de rationalisation de la pensée va de pair avec la diffusion de la pensée de Descartes, philosophe qui a écrit notamment le fameux Discours de la méthode. Le XVIIIe siècle -Les philosophes : Auteurs représentatifs : Montesquieu (Les Lettres Persanes) (1689-1755), Voltaire (1694-1778), Diderot

deux courants à la fois (comme Pierre Corneille). Mais dès la fin du siècle se dessine en littérature un courant de pensée qui annonce déjà les Lumières (avec La Bruyère par exemple). Les grands noms de la littérature de cette époque sont : Corneille, Jean Racine, Molière, Pascal, La Rochefoucauld, La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, Mme de La Fayette, Mme de Sévigné, Le Cardinal de Retz. Littérature française du XVIIIe siècle. Le XVIIIe siècle est appelé siècle des Lumières. Par cette métaphore

   Rejet des dogmes mais pas rejet de Dieu. La plupart des intellectuels éclairés restent néanmoins déistes : pour eux, l'Univers est une mécanique admirablement réglée, dont l'ordre implique une intelligence ordonnatrice. « Je ne puis imaginer, dit Voltaire, que cette horloge marche et n'ait pas d'horloger. » RECOURIR À LA RAISON EXPÉRIMENTALE Buffon L'expérience occupe une place centrale dans la théorie de la connaissance du XVIIIe s. Cette méthode procède par l'observation, l'analyse, la comparaison

étonné», Les Liaisons dangereuses (1782), (p360-361) - Texte 2 : Mme du Châtelet, Discours sur le bonheur (1779), (p352-353) - Texte 3 : Olympe de Gouges : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791), (p362-363) - Texte 4 : Montesquieu : Lettre CLXI, Les Lettres Persanes (1721) (la lettre entière) Lectures complémentaires : - Jean-Jacques Rousseau, Discours sur L’inégalité. (1755, (p359) - Choderlos de Laclos, Des Femmes et de leur éducation. (p358) Lecture d’images

universelles et éternelles. La beauté est une et absolue - l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter - auteurs : * tragédie : Corneille, Racine * comédie : Molière * philosophie : Pascal * satire : La Bruyère, La Fontaine * roman : Madame de La Fayettte XVIIIème : Les Lumières Les Lumières - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. - combat contre

1666 Molière Le Misanthrope 1667 Racine Andromaque 1669 Pascal Les Pensées (posthume) 1669 Racine Britannicus 1671 La Fontaine Fables (Livres I à VII) 1674 Boileau Art poétique 1677 Racine Phèdre 1678 Madame de Lafayette La Princesse de Clèves 1688 La Bruyère Les Caractères XVIIIe siècle Les Lumières Préromantisme 1715 Mort de Louis XIV / Régence de Philippe d’Orléans 1723 Louis XV 1733-1735 Guerre de Succession de Pologne / Paix de Vienne 1740 Frédéric II Roi de Prusse 1752-1754 Querelle des Bouffons

n’ont pas de réelle épaisseur psychologique ; ils incarnent une idée ou un type de comportement. Le conte philosophique développe, en passant par le récit, des idées qui pourraient aussi bien faire l’objet d’un essai philosophique. Ainsi, Candide de Voltaire propose une réflexion sur l’optimisme et constitue en fait une sorte de réponse au philosophe Leibniz. De plus, la trame narrative est prétexte à passer en revue les grands thèmes sur lesquels porte la réflexion des philosophes des Lumières : fanatisme