Monuments Historiques

l'empire Ottoman, victime de déportation et de massacres. Bilan humain: 10 millions de morts, 20 millions de blessés ( France : 1,5 million de morts), 3 millions de veuves et orphelins, véritable traumatisme qui débouche sur un un temps de deuil( monument aux morts à partir de 1920 dans chaque commune, célébration nationale, jour de recueillement du 11 novembre), « brutalisation des sociétés »(Georges Mossé) =>culture de la violence et des comportements brutaux qui se développent a l'issue de la

populations s'accentue. D'ailleurs, cette guerre meurtrière, présentée comme une croisade religieuse, marque un retour aux valeurs sacrées, favorisées par les horreurs des combats et la séparation des familles. C'est alors que, dès 1919, les monuments aux morts fleurissent en hommage aux « morts pour la patrie ». De plus, cinq ossuaires sont érigés sur les lieux des grandes batailles comme à Verdun. Par la suite, l'Arc de Triomphe est choisi comme lieu du souvenir avec la tombe du soldat inconnu

partir de 1985 la série des monuments. Il collecte et utilise des objets dérisoires du quotidien, fil de fer, bricolage, boites en fer rouillées, photos d'amateurs, des reliquaires, les linges. Le Monument vivant de Biron Le Monument vivant de Biron est une œuvre de Jochen Grez , inaugurée le 13 juillet 1996, situé dans la commune de Biron , dans le Périgord , en Dordogne . C'est une rénovation de l'ancien monument aux morts du village de Biron. Ce monument s'adresse à deux publics :

programme de portée universelle. - un monument réel, doté d’une grande force esthétique et symbolique, à un moment où s’imposent de plus en plus des formes immatérielles de commémoration avec la constitution de bases de données informatiques. -En comparaison les monuments aux morts se localisant dans les villes françaises rendent hommage seulement au victime qui habitait dans la ville et non aux victimes qui ont combattu dans la ville. Par exemple, le monument aux morts se situant dans le centre de

Justine Fleurquin Histoire des Arts Monument contre le racisme Il s’appelle monument contre le racisme ou monument invisible, il a été fait en 1990 et inauguré en 1993. Il fait hommage à toutes les personnes victime de la Shoah. Il se trouve en Allemagne à Sarrebruck sur un place renommée en 1993 « place du monument invisible » en face d’un château. Les travaux ont duré 2 ans et demi. L’artiste Jochen Gerz, qui a beaucoup travaillé sur la Seconde Guerre Mondiale appartient à un mouvement d’art

Manuel Belin 2012 L’espace du génocide Manuel Belin 2012 Les massacres vus par un journal français en 1915 Source Belin 2012 Une GUERRE TOTALE la mobilisation de toute la population : les hommes La mobilisation des hommes sur le monument aux morts de la ville de Ferté Macé (Orne) Une GUERRE TOTALE la mobilisation de toute la population : les femmes L’appel à la mobilisation des femmes par le gouvernement français en 1914 Une GUERRE TOTALE la mobilisation de toute

Article 1 : Les premiers monuments aux morts en France sont apparus après la guerre de 1870. Ils furent construis sous l’initiative de l’œuvre du Souvenir français et des sections de vétérans dans le but de rendre hommage aux morts et aux familles pur ne pas les oublier. Mais aussi pour se souvenir de l’affront que les allemands nous ont fait subir. Un monument aux morts est un monument utilisé pour commémorer et honorer les soldats[] ou les personnes, tuées ou disparues durant une guerre. Il

romantique. Comme pour le théâtre, la prose trouve dans le romantisme un épanouissement exceptionnel. Le romantisme est aussi l’âge d’or de la prose. Trois principaux types de romans marquent cette époque : le roman autobiographique, le roman historique ainsi que le roman social. Dans les années 1800-1820 apparaissent les « romanciers du moi » : il s’agit entres autres de Senancour, Madame de Staël, B. Constant et de Chateaubriand. Les romanciers parlent à la première personne et s’attachent à

Sommaire: Monuments au morts P 1-19 Biographie + Analyse P 20-Fin 1) Monuments au morts 1er Monument En 1927, le colonel Rollet veut célébrer avec faste le centenaire de la création de la Légion étrangère. Il décide d'ériger un monument en souvenir de ses morts. La conception artistique du monument est confiée au sculpteur Pourquet, celui-ci travaille sur des esquisses du peintre Mahut. Le 28 janvier 1928, Pourquet présente au colonel Rollet la première maquette du monument: un cénotaphe

commémoration des disparus considérés comme victimes de la Première Guerre Mondiale, notamment avec les monuments érigés dans 30 000 communes françaises au lendemain de la guerre. Un sentiment patriotique en ressort principalement. De plus, au lendemain de la guerre, naît la volonté de ne plus revivre ces malheurs, comme le démontre par exemple l'inscription « A bas la Guerre » sur le monument aux morts de Gentioux, dans la Creuse. En effet, la population française, traumatisée par cette Grande Guerre