Mots croisés

Figures de styles I. Les figures de mots Allitération : répétition de consonnes. Assonence : répétition de diphtongues ou voyelles. Homeotelete : mots qui finissent par le même son. Paromamase : mots qui se ressemblent beaucoup. Annagramme : on compose un mot avec les lettres de l'autre. Contrepétrie : jeux de mots dans lequel on intervertie les lettre ou syllabes. Dérivation : utiliser dans une phrase des mots du même radical. Archaïsme : on emploi un mot ancien. Véologisme : creer un

* Le Misanthrope, Molière * * * Le Misanthrope ou l’Atrabilaire amoureux est une comédie de Molière en cinq actes et en vers. * Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris en 1622 et mort en  1673, (17ème ) est un dramaturge auteur de comédies, il se moque et critique sa société par le rire et la moquerie Le misanthrope qualifie celui

Raymond Devos matière à rire Auteur : Devos Sketchs de 542 pages parus en juin 2006. La particularité de Devos et de jouer avec les mots, d’en faire des jeux de mots Il trouve toujours les mots amusant, qui vont faire rire, il arrive à faire vivre des objets, des plantes (comme dans le sketch l’étrange comportement de mes plantes)… Devos à un avis sur tout, il crée ses sketchs en fonction de son expérience au fur et à mesure du déroulement de sa vie. Tout ce qu’il à vu ou entendu consiste

début de phrase. –tu, tu, tu, tu, tu. 11 points exclamation! Lèvres libertines -> femmes qui veulent que le sexe Lèvres vénales -> femmes intéressé que par l’argent Un narrateur qui intervient indirectement. Calembour : jeu de mots qui consiste à employer des mots homophones et de sens différents à des fins humoristiques. Champs lexicaux du maître et de l’esclave. Emma est encore plus cliché que les autres femmes de Rodolphe. Il est plein de pratique, mais sa pratique fait qu’il ne réalise

plupart des victimes sont des filles et notre but était d’attirer votre attention. Le slogan est un peu direct, nous voulions dire la vérité. Lors de la création de notre slogan, nous avons eu recours à deux procédés stylistiques soit la déformation des mots et une figure jouant sur la sonorité. Nous avons réussi à bien intégrer les figures de styles malgré le fait que nous les avons personnalisées et qu’ils ne se retrouvaient pas dans le document de références. Notre affiche a été conçue pour choquer

forment un ensemble cohérent et renvoient terme à terme au contenu signifié. V. métaphore filée. La Mort, lorsqu'elle est représentée comme un squelette armé d'une faux. allitération F- (phon.) = répétition de sons identiques dans une suite de mots. V. harmonie imitative Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue et que j'aime et qui m'aime. (P. Verlaine) anacoluthe , F - (synt.) = rupture ou discontinuité dans la construction d'une phrase. La phrase commencée

fondu-enchaîné. Ainsi telle situation suggère "l’image fuyante" d’un pantin, d’une poupée ou d’un diable à ressort. Le vivant est comme hanté par la machine ; à chaque instant il peut susciter l’hallucination de son propre devenir-mécanique. Dans le jeu de mots lui-même, le processus métaphorique s’explique encore à partir de ces enchaînements ou superpositions d’images, par une sorte de projection, sur le plan du langage, des procédés du comique gestuel. En conclusion, la thèse exprimée par l'auteur

• Comique. Etymologie : grec comodia, chanson de fête :Provoque le rire, Caricature, parodie, absurde, jeux de mots,…. Il peut faire appel à l'humour, au comique verbal, à la parodie, au burlesque, à la caricature, à la parodie ou encore au travestissement. Le comique peut naître d'une situation (par exemple une situation absurde), d'un comportement, d'un caractère ou encore de gestes. Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage

 • Les champs lexicaux de la fatalité, du devoir, de la faute… • Les allusions à l’autorité de Dieu. > Le registre comique Le registre comique est associé au genre de la comédie. On distingue différentes formes de comique : le comique de mots (jeux de mots, calembour, polysémie, jeu sur les sonorités) ; le comique de répétition (le dialogue de sourds, répétitions d’expressions, de situations) ; le comique de caractère ou de geste (on peut alors être attentif à la rapidité du rythme) ; le jeu sur

», à la fois « figure de style » et « figure érotique ». Certes. Mais l’abondance de ces équivoques pourrait n’être qu’amusante, voire lassante. Or il semble bien, nous le verrons, que l’effet parodique tienne à autre chose qu’à de simples jeux de mots : nous verrons en particulier que la parodie porte moins ici sur des textes antérieurs que sur un type de discours, le discours prescriptif. Et nous verrons que montrer les impasses du discours prescriptif, ses insuffisances, c’est aussi précisément