Moutarde

rapidement dans une guerre défensive alors que tous pensaient qu'il ne devait pas durer. La mise au point d'une aviation, de tanks, le recours systématique à une artillerie lourde de plus en plus performante et à de terribles armes chimiques (gaz moutarde (ypérite), par exemple) contribuent également à faire de la Première Guerre mondiale le premier conflit « industriel » de l'histoire. • L'association de différents facteurs (nouvelles technologies, ampleur inédite du conflit, stratégies développées)

le développement fulgurent de l’aviation, celle des sous marin ou encore des armes légères (Lewis Mark, le BAR, le Maschinenpistole 18…), du lance flamme, et d’une arme redoutée de tout combattant ; les gaz (comme le chlore, le phosgène ou le gaz moutarde). Et comme dans toute guerre, la médecine fait des progrès remarquables et rapides : chirurgie d’urgence (suture précoce pour éviter les amputations immédiates, laparotomie exploratrice rapide lors de toute plaie de l’abdomen, préconisée par Samuel

celles des Indes. En juillet 1917, arrive le premier contingent de l'armée Américaine. Ces troupes auront besoin de nombreuses armes. De nouvelles armes sont inventées comme par exemple les chars d'assauts (Renault), les sous marins, le gaz moutarde ou encore les lances flammes II Mais cette guerre est aussi une guerre économique et industrielle Faute d'hommes, le gouvernement demande aux femmes de construire des armes, notamment des obus, pour les soldats du front. Ces femmes sont appelées

chanson de Craonne). En 1914, la Première Guerre mondiale instaure une nouvelle façon de se battre : c’est une guerre longue, une guerre mondiale, meurtrière et traumatisante avec un nouvel armement (obus, explosifs, gaz toxiques, notamment le gaz moutarde). La guerre mobilisera tout le monde, d’où le nom guerre totale. Les femmes contribueront à la guerre en remplaçant les hommes dans les usines d’armement, elles seront alors appelées munitionnettes. Quant aux civils, ils donneront de l’argent

pacifisme : idéologie ou ensemble d'actions qui ont pour objectif de défendre la paix et donc de refuser la guerre. arrière : zone qui n'est pas touchée par les combats, contrairement au front. front : zone de combat entre les belligérants. « Gaz moutarde » (ou ypérite) : gaz de combat testé pour la première fois par l'Allemagne à Ypres (Belgique) en 1917 ; agissant sur la peau, il rend inefficace 9 / 9 la protection des masques à gaz. « Gueules cassées » : nom donné aux 14 000 combattants

armes nouvelles. La guerre de 14-18 n'échappera pas à cette règle avec l'arrivée des gaz toxiques, et des obus. Le 22 avril 1915, les Allemands emploient pour la première fois des obus au gaz asphyxiant contre les Français. ce gaz sera appelé "gaz moutarde" d'après son odeur. Il faudra rouvrir des usines et organiser la production pour satisfaire des commandes massives d'obus, de masques à gaz, de munitions etc ... | Conclusion : La bataille de verdun a fait plus de 700.000 victimes : 306.000

un véritable corps à corps extrêmement meurtrier. * Cette guerre nécessite l’adoption d’armes nouvelles : adaptation à ce type de guerre : * Fusils à baïonnette, fusils à répétition. * Obus, grenade, mortier * Gaz ypérite = « gaz moutarde », gaz extrêmement dangereux qui provoque des brûlures particulièrement dangereuses, ce qui oblige les soldats à se munir de masques a gaz. * Lance-flammes qui brûlent le corps de l’ennemi Ces armes sont extrêmement meurtrières Document photocopié :

rapidement dans une guerre défensive alors que tous pensaient qu'il ne devait pas durer. La mise au point d'une aviation, de tanks, le recours systématique à une artillerie lourde de plus en plus performante et à de terribles armes chimiques (gaz moutarde (ypérite), par exemple) contribuent également à faire de la Première Guerre mondiale le premier conflit « industriel » de l'histoire. L'association de différents facteurs (nouvelles technologies, l'ampleur du conflit, les stratégies développées)

morts par jours sans compter les gazés à vie. Cette arme chimique ne connait pas les frontières, surtout s'il y a du vent ce qui engendre des complications. Français et Anglais s'y mettent donc aussi avec des gaz tout aussi nocifs. Contre le gaz moutarde qui brule la peau et les yeux les soldats sont sans défense. Les symptômes de ces gaz : aucune visibilité, incompréhension total avec son coéquipier attitudes de tirs faussé. Cette utilisation massive des gaz empire d'avantage les conditions de

sera embauché Bernardino (usine se situant sur les bords de la Durance, près de Gap, dans les Bases Alpes à Château-Arnoux /Saint-Auban qui embauche des Portugais pour fabriquer du chlore, un des composants de la fabrication de l'Ypérite ou gaz moutarde) . Dans cette entreprise, l'explosion de gaz du 13 décembre 1926 plongera dans le deuil de nombreuses familles d'émigrés : «ce sont des morceaux de chair qui sont rentrés au Portugal » (page 148). Catastrophe que Christian Lacroix relie aux désastres