Mumbai Bidonville

conséquence d’une quelconque surpopulation ou d’une terre peu nourricière. Elle est en premier lieu le produit de la pauvreté :600 millions de paysans aux parcelles de terres insuffisantes, victimes de la baisse des prix agricoles, habitants incatifs des bidonvilles, en sont les premières victimes. La question essentielle aujourd’hui est donc bien celle de l’accès à l’alimentation. 2) Famines et aide alimentaire Au XX s, plus de 100 millions de personnes sont mortes lors de famines particulièrement

potable, les pas les plus pauvres étant les plus touchés, en Afrique sub ‘ surtout. Les constates de richesses et de pauvreté dans chaque pays explique l’inégale situation face à l’eau. C’est principalement dans les campagnes pauvres et dans les bidonvilles des grandes métropoles d’Afrique et d’Asie que l’eau potable est défaut. A Dehli (capital de l’Inde), par exemple, un habitant des quartiers riches dispose de 10 fois plus d’eau qu’un habitant des quartiers pauvres.

Abdelaziz Adidi La question de l'intégration sociale dans les programmes de lutte contre l'habitat insalubre au Maroc Abdelaziz ADIDI Mots clés : Bidonville - Habitat insalubre - Habitat non réglementaire -Habitat social - Maîtrise d'ouvrage sociale - Stratégie d'intervention La croissance démographique, le fort mouvement d'exode ruralconsécutif aux années de sécheresse, la faiblesse de la capacitéd'intégration des villes marocaines, la faiblesse du pouvoir d'achatd'une frange importante de

que sucite la « vue » du paysage chez le lecteur ? Dans son roman « La Frontière », paru en 2002, Patrick Bard raconte l’histoire d’un journaliste, Toni Zambudio, qui découvre un bidonville entourant Ciudad Juarez, une ville Mexicaine, au cours d’une enquête. Dans l’extrait proposé, le lecteur découvre le bidonville, véritable vision d’horreur. Dans notre analyse, nous allons tout d’abord étudier la découverte progressive du paysage par le journaliste. Ensuite, nous allons nous pencher sur la description

immobilière chassent les plus modestes des centres vers la périphérie (même si la pauvreté n’est pas absente des centres) De plus en plus de quartiers sont cloisonnés en fonction de l’origine sociale ou ethnique de leurs habitants. Dans le sud, les bidonvilles s’étendent. 3) La croissance des mobilités La ville est d’abord l’espace de l’automobile dans le Nord (plus de 85% des déplacements à Los Angeles mais des nuances à apporter car Vienne et Madrid : 50% des déplacements ne sont pas motorisés)

références à la Cité grecque politiquement et socialement très élaborée, mais plutôt unbidonville, une non-ville à la marge d’une vraie ville (Tanger), ironie de la Cité. C’est une description avec une métaphore où la Cité est un archétype de tout bidonville dont les habitants n’ont aucunavenir, n’offre rien sinon une attente, celui d’une vie meilleure qui se refuse aux pauvres des pays de Sud. 2-L’absence de liens sociaux et de vie véritable Le fait que les groupes soientprésents de manière énumérative

des classes a travers l’étude des problèmes fonciers de Los Angeles , le développement des bidonvilles et la militarisation de la vie sociale à travers les mesures sécuritaires. Ouvrage : L'auteur présente le livre de la manière suivante : "Pour mortels et dangereux qu'ils soient, les bidonvilles ont devant eux un avenir resplendissant." Des taudis de Lima aux collines d'ordures de Manille, des bidonvilles marécageux de Lagos à la Vieille Ville de Pékin, on assiste à l'extension exponentielle des

savons que 2/3 des habitants vivent dans des bidonvilles. D’après mes connaissances, Lagos est une ville marquée par une forte ségrégation socio-spatiale (contraste important bidonvilles/quartiers aisés). Elle a également un étalement urbain non maitrisé par les autorités (urbanisations anarchique : bidonvilles en périphéries). III. Que les autorités nigériennes tentent de résoudre Le document 1 nous montre une urbanisation anarchique à cause des bidonvilles installés en périphérie, donc ainsi l’impossibilité

cocina. Le Vide, Sevilla. La deuxième bidonville en Europe. Voici 1250 personnes vivent sans installations de base. Et ici, il a vécu pendant 21 jours, un journaliste. Dans ces lignes transmettre leur expérience, qui sera affiché dans un rapport le vendredi Quatre. On estime que dans le monde entier plus d'un milliard de personnes vivent dans des bidonvilles. Villages de ce genre, Les vides moins de cinq minutes du centre de Séville, le deuxième bidonville en Europe et la plus ancienne en Espagne

de transport en commun. On retrouve donc très souvent des minis-bus ou taxi usés, de vieux modèles, très polluants, mais souvent nécessaires pour regagnez les bidonvilles, dans des zones difficiles d’accès, et qui participent à l’étalement urbain. Les transports ont aussi des conséquences sociales : les quartiers périphériques ou bidonvilles ne sont souvent pas desservis ou ne sont pas accessibles, ce qui accentue leur exclusion au sein de la ville les obligeant à se déplacer à pied. La mobilité fait