Musée des beaux-arts d'Orléans

: L’autre encore craintive Taschant s’évertuer, Veut, pour n’estre captive, Librement se tuer.1 Toutefois, force est de constater que Cléopâtre demeure une reine au prestige peu commun, qui accède à la postérité grâce à la littérature et aux arts. Sa représentation est marquée du sceau de l’ambiguïté : Cléopâtre est double. Ses qualités physiques et intellectuelles – nous pensons surtout à son génie politique – lui confèrent un charme singulier, qui suscite fascination bien sûr, mais aussi

quoique ressentie et exprimée intuitivement, du même imaginaire (dont ce n’est point la bibliographie qui nous fasse défaut !)… C’est dans cette double perspective que nous avons conçu cette thèse. Précisons que, du côté de la littérature (ou des arts), « la mécanique » de cette troisième direction de recherche est, selon une fameuse expression bergsonienne, « plaquée sur du vivant », donc en permanente mobilité et évolution : comme une langue vivante, par exemple, qui condamne, dès le début, toute

mouvements nationaux, libéraux et sociaux un peu partout dans l’Europe Le mécontentement social En France, en Juillet 1830, connaît une période de révolution : En effet, le roi actuel (Charles X) est mis dehors et est remplacé par Louis Philippe d’Orléans qui établit une monarchie constitutionnelle, et s’auto-proclame « Roi de français » (>< avant : « Roi de France »). C’est une manière de montrer qu’il y a eu une certaine évolution de la monarchie. Mais ce qui se passe en France n’est pas un Etat

« syndical national autonome du personnel de la Banque de France contre Banque de France »). - L’institut de France (créé par la Convention en 1795) : comme les 5 Académies qui le composent (Académie Française, Académie des Sciences, Académie des Beaux Arts, Académie des Belles Lettres, Académie des Sciences Morales et Politiques), sont « des personnes morales de droit public à statut particulier placées sous la protection du Président de la République » (titre IV de la loi du 18 Avril 2006 pour la

l'Opéra-Comique, le jeudi 2 mai 1790. Pitoyables chansonnettes débitées à une bien triste époque. 3° Asgill ou le Prisonnier anglais, drame en cinq actes et en vers, par Benoît Michel de Comberousse, représentant du peuple et membre du lycée des Arts, an IV (1795). Cette pièce, dans laquelle un certain Washington fils joue un rôle ridicule, ne fut représentée sur aucun théâtre. 4° Washington ou l'Orpheline de Pensylvanie, mélodrame en trois actes, à spectacle, par M. d'Aubigny, l'un des auteurs

ajouter qu'il lui était arrivé plus d'une fois de dire: --Je renoncerais difficilement à manger dans de l'argenterie. Il faut ajouter à cette argenterie deux gros flambeaux d'argent massif qui lui venaient de l'héritage d'une grand'tante. Ces flam-beaux portaient deux bougies de cire et figuraient habituellement sur la cheminée de l'évêque. Quand il avait quelqu'un à dîner, madame Magloire allumait les deux bougies et mettait les deux flambeaux sur la table. Il y avait dans la chambre même de l'évêque

chanson de geste Lyric poetry to Rutebeuf Romance Comic realism Le Roman de Renard The fabliau The literature of devotion, moral reflection and information Learning and ideas Theatre Later lyric poetry Fifteenth-century ‘modernism’ Chartier Charles d’Orléans The anti-courtly reaction ‘Rhétoriqueurs’ Villon Conclusion xxii 1 1 2 2 3 4 6 7 10 12 17 17 18 19 22 23 25 26 27 27 28 29 29 30 vi 2 CONTENTS THE RENAISSANCE The Age of François I The restitution of letters and the renewal of faith

une seule nuit. Que vous dirai-je ? j’ai des romains, des romaines (ici un mot illisible), et toute la suite. Madame Magloire a débarbouillé tout cela, et cet été elle va réparer quelques petites avaries, revernir le tout, et ma chambre sera un vrai musée. Elle a trouvé aussi dans un coin du grenier deux consoles en bois, genre ancien. On demandait deux écus de six livres pour les redorer, mais il vaut bien mieux donner cela aux pauvres ; d’ailleurs c’est fort laid, et j’aimerais mieux une table ronde

nuit. Que vous dirai-je ? j’ai des romains, des romaines (ici un mot illisible), et toute la suite. Madame Magloire 88 a débarbouillé tout cela, et cet été elle va réparer quelques petites avaries, revernir le tout, et ma chambre sera un vrai musée. Elle a trouvé aussi dans un coin du grenier deux consoles en bois, genre ancien. On demandait deux écus de six livres pour les redorer, mais il vaut bien mieux donner cela aux pauvres ; d’ailleurs c’est fort laid, et j’aimerais mieux une table ronde

seule nuit. Que vous dirai-je ? j’ai des romains, des romaines (ici un mot illisible), et toute la suite. Madame Magloire a débarbouillé tout cela, et cet été elle va réparer quelques petites avaries, revernir le tout, et ma chambre sera un vrai musée. Elle a trouvé aussi dans un coin du grenier deux consoles en bois, genre ancien. On demandait deux écus de six livres pour les redorer, mais il vaut bien mieux donner cela aux pauvres ; d’ailleurs c’est fort laid, et j’aimerais mieux une table