Musée des beaux-arts de Nancy

d'enseignants, Jean Nouvel passe sa jeunesse à Sarlat. Alors qu'il souhaite être peintre, ses parents l'orientent vers les études d'architecture[1]. Il s’inscrit en architecture à l'École des Beaux-Arts de Bordeaux en 1964, et est admis en 1966, premier au concours d’entrée, à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris dont il sort diplômé en 1972[2]. Influencé par Paul Virilio et Claude Parent, dont il est l'assistant entre 1967 à 1970[3], il fonde en 1970 sa première agence avec François

[pic] Rachid Khimoune Peintre - Sculpteur Lauréat du Prix de la Fondation de France (1980) Chevalier des Arts et Lettres (2002) Grande Médaille de la Ville de Paris (2004) Chevalier de la Légion d’Honneur (2007) Rachid Khimoune est né en France en 1953 à Decazeville (Aveyron) de parents d'origine berbère. Diplômé de l'Ecole supérieure des Beaux-arts de Paris en 1974, il pratique d'abord la peinture avant de se tourner vers la sculpture. Avec ses nombreuses réalisations

1. Sens général : Dans les arts figuratifs, le « naturalisme », employé comme un synonyme de « réalisme », qualifie un type de représentation mimétique de la nature par rapport à d'autres types de représentation, comme l'idéalisme ou le symbolisme. 2. Sens particulier : Au xixe siècle, en peinture, le terme « naturalisme » a servi pour désigner un mouvement artistique en Occident entre, approximativement, 1880 et 19001, et faisant suite au réalisme en peinture. Il en reprend les traits en accordant

les arts occidentaux à partir de 1860. Cette influence s'intensifia en 1868 quand débuta l'ère Meiji caractérisée par la rupture avec l’isolationnisme nippon, le sakoku. Le japonisme devint alors un tsunami artistique. Parmi les inspirateurs et les promoteurs du mouvement, il y eut des collectionneurs, des marchands et des voyageurs. Edmond de Goncourt ( 1822-1896 ), amateur des maîtres français du dix-huitième siècle s' intéressé au Japon après la visite qu'il effectua au musée Siebold

Souper à Emmaüs Huile sur toile - 204 x 154 cm Nantes, Musée des Beaux-Arts Photo : RMN/G. Blot La première moitié du parcours toulousain10 est consacré à l’école d’Utrecht, avec plusieurs chefs-d’œuvre de ter Brugghen (Christ aux outrages du Musée de l’Assistance Publique11), Honthorst, et Baburen. De ce dernier peintre (le moins connu des Français, le Louvre n’en possédant pas, hélas), on verra le Fumeur de pipe du Musée Marmottan que ce musée n’expose pas, et l’admirable Couronnement d’épines conservé

montres, et de Marie-Charlotte Amélie Jeanneret-Perret, musicienne. 1900 : Ecole primaire de La Chaux-de-Fonds Formation de graveur ciseleur à l'Ecole d'Art où enseigne Charles l'Eplattenier 1902 : Diplôme d'honneur à l'Exposition internationale des Arts Décoratifs de Turin pour une montre de poche ciselée. 1904 :  Entrée au cours supérieur de décoration (annexe de l'Ecole dirigé par Charles L'Eplattenier, lequel dirige Le Corbusier vers l'architecture). 1905 : Commande d'une villa à La Chaux-de-Fonds

ans), il souhaitait, en faisant de la musique, son étude préférée, acquérir quelques notions de peinture, et par son oncle Henri Riesener il se fit présenter à Guérin; mais il inspira peu de sollicitude à son maître, et les palmarès de l'École des beaux-arts furent sur son nom d'un mutisme peu encourageant. Pourtant une toile, Dames romaines se dépouillant pour la patrie (1818), offre déjà un certain intérêt. Vers cette époque, il gagnait quelque menu argent à faire des lavis industriels et en 1819

Présentation : « Les amoureux » est l’un des tableaux les plus réussis d’Emile Friant. En effet il a reçu l'accueil le plus enthousiaste du public au salon de 1888 et la Commission du Musée en a fait l'acquisition immédiatement. Aujourd’hui il est exposé à Nancy, Musée des Beaux Arts et est classé dans le naturalisme sentimental. Analyse : Ce tableau représente une scène en plein air, qui se passe dans un des lieux favoris de l’auteur : le site nancéen des Grands Moulins, un

en direction de Paris et, selon la légende, fait le trajet à pied, en passant par Budapest, Vienne, Munich, Zurich, Bâle... A Paris, pour gagner sa vie, il travaille comme plongeur au restaurant Chartier puis chez Mollard. Il entre à l’École des Beaux-Arts dans l’atelier du sculpteur Antonin Mercié en 1905. En 1906, Brancusi participe à différents Salons. Sur la recommandation de Mercié, il expose trois plâtres au Salon d’Automne où Rodin, président du jury, remarque son envoi. Brancusi continuera

du Centre Pompidou – l’innovation, l’ouverture à tous les publics, la pluridisciplinarité – et en s’appuyant sur son savoir-faire, son réseau et sa notoriété. Le Centre Pompidou-Metz bénéficie d’un atout unique, un accès privilégié aux trésors du Musée national d’art moderne, qui avec près de 65 000 œuvres, conserve la plus importante collection d’art moderne et contemporain en Europe. Chefs-d’œuvre ?, en rassemblant une sélection rare et exceptionnelle d’œuvres majeures, certaines très rarement