Musée juif de Berlin

qui aux yeux de tous est celui qui casse des codes, rend compte seulement d'humeur subjective, ne s'inscrit dans aucune tradition. Or, lors d'un séjour à Barcelone, quelle ne fut ma surprise de découvrir les premiers travaux de ce peintre dans le Musée qui lui est consacré. Une série de « à la manière de » se révélait à moi, je découvrais que pendant des années, le peintre s'était épuisé à copier les Hollandais, les Espagnols qui l'avaient précédés, les Français..., avant de s'autoriser à advenir

qui aux yeux de tous est celui qui casse des codes, rend compte seulement d'humeur subjective, ne s'inscrit dans aucune tradition. Or, lors d'un séjour à Barcelone, quelle ne fut ma surprise de découvrir les premiers travaux de ce peintre dans le Musée qui lui est consacré. Une série de « à la manière de » se révélait à moi, je découvrais que pendant des années, le peintre s'était épuisé à copier les Hollandais, les Espagnols qui l'avaient précédés, les Français..., avant de s'autoriser à advenir

qu’à un patriotisme abstrait, de simple adhésion à des normes. En France, un débat fait rage autour du projet de musée de l’histoire de France. Parmi ceux que ce projet indigne, pour utiliser un verbe à la mode, je retiens la position d’un des grands historiens de l’affaire Dreyfus, Vincent Duclert. Selon ce dernier, il faudrait créer, non un musée de l’histoire de France, mais un musée de l’histoire en France. La France, autrement dit, doit être un contenant susceptible d’accueillir tous les contenus

____________________ 1. Voir en particulier: Th. Fischer, Utudien üler, dans Petermanus Mitteilungen, Ergäunzungsheft LVIII, 1879, p. 44-46 ; le même,dans Petermanus,Mitteil., XXIX, 1883, p. 1-4 ; Partsch, dans Verhandlungen des arhten deutschen Geographentages (Berlin. 1899), p. 116-123 ; Cat, Essai sur la province romaine de Maurétanie césarienne, p. 40-48; La Blanchère, dans Nouvelles Archives des missions, VII, 1897, p. 23 et suiv. ; Carton, Climatologie et agriculture de l’Afrique ancienne, dans Bulletin de

en train de mourir de l’apnée du sommeil. Je ne saurais dire s’il m’entendait l’appeler et s’il comprenait mon inquiétude. Puis tout à trac, il s’est penché vers moi pour me dire entre les dents, un peu entre nous : « Schiller, c’est quoi… anglais… juif ? » — C’est un passeport français que vous tenez en main, monsieur. — Pourquoi tu veux aller en Algérie ? — Cher monsieur, mon père et ma mère sont algériens, ils vivaient en Algérie, à Aïn Deb, jusqu’au 24 de ce mois, jour maudit qui a vu leur village

réserves des Britanniques quant à la légitimité du mouvement olympique. En outre, son ambition d’en faire un levier de la paix entre nations ne tient pas un instant devant la force des événements politiques : les Jeux olympiques de 1916, prévus à Berlin, ne pourront évidemment avoir lieu. De l’autre, Coubertin, qui souhaite pour l’olympisme hexagonal une structure indépendante du mouvement sportif, met en place en 1907 un comité pour assurer la participation de la France aux Jeux de Londres l’année

permettrait, s’il est porté par l’Europe, de transformer l’imposante Casa del Fascio de Predappio (ancienne « Maison du peuple et de l’hospitalité », qui accueillait dans les années 1930 le siège régional du parti fasciste), abandonnée depuis 1965, en musée. Pour que « Mussolini soit définitivement récupéré par l’administration publique et que tous les citoyens puissent en bénéficier», réaffirme Giorgio Frassineti. Pour les collectivités territoriales, la voie est étroite : trouver des fonds pour se réapproprier

le concerne de près. 1 . L’homme a survécu jusqu’ici parce qu’il était trop ignorant pour pouvoir réaliser ses désirs. Maintenant qu’il peut les réaliser, il doit les changer, ou périr. I Les victoires trompeuses 1 A la chute du mur de Berlin, un vent d’espoir avait soufflé sur le monde. La fin de la confrontation entre l’Occident et l’Union soviétique avait levé la menace d’un cataclysme nucléaire qui était suspendue au-dessus de nos têtes depuis une quarantaine d’années ; la démocratie

l’ivoire, les esclaves et l’or d’Afrique, le sucre et le bois du Brésil, le sucre des Antilles, l’argent du Mexique et des mines du Potosi dans l’actuelle Bolivie, et l’or de l’actuel Pérou. Vue de Séville au XVIe siècle. Tableau de Francisco Pacheco,musée des Amériques, Madrid. Ce tableau permet d’évoquer le développement, à partir des grandes découvertes, des ports de l’Atlantique, et en particulier Séville. On fera observer l’activité intense et fébrile qui semble y régner en faisant relever le nombre

Belgique par des revues, des cercles de conférences, des groupes de jeunes poètes : le reflux fut la gratitude efficace de ces écrivains devenus influents. Photographie La Lecture, T. van RysselbergheThéo van Rysselberghe, La Lecture. Huile sur toile. Musée des Beaux-Arts, Gand. Assis, de face (à droite), André Gide, l'auteur des Nourritures terrestres (1897) et desFaux-Monnayeurs (1926), et Maurice Maeterlinck, le poète symboliste d'origine belge.  Crédits: E. Lessing/ AKGConsulter Ensuite, la marche