Myrtaceae

Les HE n’existent quasiment que chez les végétaux supérieurs. Les genres capables d’élaborer les constituants qui composent les HE sont répartis dans un nombre limité de familles. (ex : Apiaceae, Asteraceae, Cupressaceae, Lamiaceae, Lauraceae, Myrtaceae, Poaceae, Rutaceae, etc.). Les HE peuvent être accumulées dans tous les types d’organes végétaux par exemple des fleurs (oranger, rose, lavande) mais aussi des feuilles (citronnelle, eucalyptus, laurier noble) et, bien que cela soit moins habituel

Les HE n’existent quasiment que chez les végétaux supérieurs. Les genres capables d’élaborer les constituants qui composent les HE sont répartis dans un nombre limité de familles. (ex : Apiaceae, Asteraceae, Cupressaceae, Lamiaceae, Lauraceae, Myrtaceae, Poaceae, Rutaceae, etc.). Les HE peuvent être accumulées dans tous les types d’organes végétaux par exemple des fleurs (oranger, rose, lavande) mais aussi des feuilles (citronnelle, eucalyptus, laurier noble) et, bien que cela soit moins habituel

cynorrhodon. Partie souterraine. Partie aérienne. En l'état Araliaceae En l'état En l'état En poudre Estragon. Eucalyptus. Eucalyptus globuleux. Fenouil amer. Fenouil doux. Aneth fenouil. Fenugrec. Févier. Voir Gléditschia. Asteraceae Myrtaceae Feuille. En l'état Apiaceae Fruit. En l'état En poudre En l'état En poudre En l'état En poudre Apiaceae Fruit. Fabaceae Graine. Figuier. Frêne. Ficus carica L. Fraxinus excelsior L., F. oxyphylla M. Bieb. Fraxinus

familles des Myristicaceae (Haematodendron, Brochoneura, Mauloutchia), Euphorbiaceae, Rubiaceae, Araliaceae, Ebenaceae (Diospyros sp.), Sapindaceae, Anacardiaceae, Elaeocarpaceae (Echinocarpus), Lauraceae (Ocotea, Ravensara), Guttiferae (Ochrocarpus), Myrtaceae, Malpighiaceae, Monimiaceae (Tambourissa), Flacourtiaceae, Loganiaceae, Leguminosae (Dalbergia, Cynometra) et Proteaceae (Dilobeia), ainsi que le Ravenala madagascariensis (Strelitziaceae) sont les plus abondantes. Pour la strate moyenne, elle est

essential oil and packaging treatments on fresh Mediterranean swordfish fillets during storage at 4 _C, Greece (Elsevier Ltd, 2008) 29. Olayemi Ayepola .O et B.A. Adeni Yi , The Antibacterial Activity of Leaf Extracts of Eucalyptus camaldulensis (Myrtaceae), Journal of Applied Sciences Research, 4(11): 1410-1413, 2008 30. Mlle Marie HOMMEL : La régulation transcriptionnelle de l’expression génique dans le fruit de tomate : caractérisation fonctionnelle de promoteurs fruit-spécifiques et d’un co-facteur

LABAT J. N., MUNZINGER J. & PASCAL O. 2000. - Une nouvelle espèce du genre Nesogordonia Baill.(Sterculiaceae) de Mayotte, Archipel des Comores. Candollea, 55, pp. 293-296. LABAT J. & SHATZ G. E. 2002. - New combinations and a new name in Syzygium (Myrtaceae) from Madagascar and the Comoro Islands. Novon, 12(2) : 201-205. LABAT J. & BEENTJE H. 2004. - A new species of Psiadia (Compositae) from Mayotte. Kew Bull., 58(4) : 971-975. LARTIGAU-ROUSSIN C. & PIGNAL M. 2002. - Une systématique, des systèmes

alimentaire entre les différentes espèces de tamarins lions. Cependant il existe quand même des différences en fonction de la zone géographique qu’ils habitent. S’ils vivent en forêt primaire ils mangeront principalement des plantes de la famille des Myrtaceae, et s’adapteront en forêt secondaire en mangeant des Melastomataceae. Ceci est - 27 - particulièrement vrai pour L. rosalia et L. chrysomelas qui vivent dans les deux types de forêts. (Dietz et al., 1997 ; Raboy et Dietz, 2004) d) ET

produites dans des cellules glandulaires spécialisées recouvertes d’une cuticule. Elles sont alors stockées dans des cellules à huiles essentielles (Lauraceae ou Zingiberaceae), dans des poils sécréteurs (Lamiaceae), dans des poches sécrétrices (Myrtaceae ou Rutaceae) ou dans des canaux sécréteurs (Apiacieae ou Asteraceae). Elles peuvent aussi être transportées dans l’espace intracellulaire lorsque les poches à essences sont localisées dans les tissus internes. Sur le site de stockage, les gouttelettes

était révolu depuis de nombreuses années et la conversation entre les deux hommes âgés avait le caractère d'un rituel entourant un mystère que personne d'autre au monde qu'eux n'avait à cœur de résoudre. de la plante était Leptospermum rubinette (Myrtaceae). Une plante au port buissonnant, relativement quelconque, avec de petites feuilles rappelant celles de la bruyère, et une fleur blanche de deux centimètres, dotée de cinq pétales. Longueur totale : environ douze centimètres. On la trouvait dans

Tourgueness sur l’île de Djerba [Lambinon J. Soc. Ech. Pl. Vasc. Eur. Bass. Médit., Bull., 28: 135 (2000)]. Ce taxon, introduit (ornement) dans le Bassin méditerranéen, est désormais subspontané, ou même naturalisé, dans plusieurs pays de la région. Ajout MYRTACEAE Myrtus communis L., Sp. Pl., ed. 1, 471 (1753) subsp. communis Myrtus boetica Mill., Gard. Dict., ed. 8, n°4 (1768). Myrtus italica Mill., Gard. Dict., ed. 8, n°5 (1768). Note: Incluant les var. baetica et italica, citées par P.-A. [Fl. Tun. 1: 553