Mystères d'Osiris

L’écrivain milanais Pier Capra a consacré à « Cagliostro il Taumaturgo » (ed. M.E.B., Turin, 1979) huit années de recherches. Il le considère comme le prophète de la chute du pouvoir temporel de l’Eglise catholique romaine. Il tente d’élucider le mystère de son origine et de sa fin. « Le comte de Cagliostro » de Denyse Dalbian (Robert Laffont, 1983) du CNRS, marque une étape sur la voie menant à une meilleure connaissance du thaumaturge à partir de sources nouvelles. Les détracteurs ne manquent

Hayyat, Yedoudah : commentaire sur la 'structure de la divinité'. Halfan, Elie Menahem Hirsh Trèves, Naftali Hanim, Yedoudah : le Livre de l'Arbre de Vie (Sefer 'Ets ha-Hayim) Halewah, Yedoudah : le Livre de Gloire (Sefer ha-Kavod), le décrypteur des Mystères (Tsafnat Pa'aneah) Horovitz, Isaïe (1550-1630) : les Deux Tables de l'Alliance (Chné Louhot ha-Brit) Hayim Luzzato, Moïse (1707-1747) Ha-Lévy, Benjamin Ha-Cohen de Réggio, Benjamin Haï Ricci, Immanuel : la Michnah des Fervents (Michnat Hassidim)

Topographie  des  Enfers.  La  traversée  du  Styx,  Achéron,  les  enfers,  le  Tartare,  les  Champs  élyséens.  Hermès,  Charon,  Déméter/  Cérès,  Perséphone/  Proserpine,    Hadès  /  Pluton.  Cerbère  et  autres  monstres.  Les  mystères  de  l’antiquité  païenne :  Mystères  d’Eleusis.           « Hymne homérique à Déméter ». Gustave Courbé, L’Origine  du  monde.    Edward Burne Jones, Proserpine. Les magiciennes et les sorcières : Héphaïstos, Asclépios, Hermès, Isis, Hécate, Séléné, Baubô ; Médée

historiens actuels qui affirment qu'ils ne suscitent l'intérêt que sur le plan de l'historiographie de l'Afrique et non sur celui de la connaissance de son passé. Diop lui-même, dans l'avant-propos de Nations nègres et culture, ne faisait pas mystère de la difficulté qu'il avait rencontrée pour faire preuve de rigueur face à l'immensité de la tâche à laquelle il s'était attelé. La remise en contexte de son œuvre incite à rappeler l'isolement de ce chercheur qui remet en cause, avec très peu d'aide

mur de sa chambre : « Trop est juste assez pour moi », fit paraître des dessins dans une revue, entra dans la poésie «comme on entre dans les ordres», commença à publier des poèmes où il explorait les territoires immenses de l'envers des choses, du mystère de l'au-delà, de l'imaginaire de la mort, de «l'étrange proximité du visible et de l'invisible» (“La poésie ou l'invisibilité”) : ____________________________________________________________ _____________________ “La lampe d’Aladin” (1909)

mosaïques, parchemins montrant les efforts fait par les hommes et les femmes artistes pour raconter en image. Le soucis étant d'informer, d'éduquer, d'émouvoir soit simplement, soit en combinant tout cela. Ex : - Papyrus Egyptiens : Livre des morts d'Osiris (livre pour sortir au jour) datant d'environ 4400 av. JC. Il vient du musée Egyptologique de Turin. - Bas relief grec (Athènes), frise du Parthénon de Phidias (Ve siècle av. JC). Elle représente les Panathénées. - La geste du guerrier Mochica, raconte

maîtresse de Julien de Médicis, le peintre gardant le tableau inachevé puisque son commanditaire Julien de Médicis meurt en 1516 sans avoir payé la totalité de la commande[36]. Daniel Arasse, dans son livre Histoires de peintures, écrit que le « mystère » de La Joconde date du début du xixe siècle, avec l'attribution erronée, à Léonard de Vinci, de la tête de méduse du Musée des Offices, en fait peinte par un Flamand du xviie siècle. On a fait de la méduse le revers de La Joconde, en supposant qu'un

physique, c’est la manifestation de la métaphysique. Dans l’évocation de la Lumière il y a toujours une part du phénomène physique éblouissant et une part du phénomène physique transcendantal, mais quelle que soit sa tonalité, la Lumière demeure un mystère inexplicable et inexprimable. Pour le physicien, elle se propage en ligne droite, traverse l’espace et ne se perd jamais. La lumière n’a pas peur des années qui portent son nom, pour parvenir jusqu’à nous sans s’épuiser, et même lorsqu’elle provient

l’histoire, dans l’ode comme dans l’épopée. Que restait-il encore à renouveler ? Le drame. L’un avait dit : A moi la prière et ses ailes de séraphin ! 3 Un autre : - A moi le monde et ses trésors de poésie ! Un troisième : - A moi l’ame et ses mystères ! Il fallait qu’un quatrième vînt qui dit : - A moi l’homme et ses passions ! Et il ne suffisait pas de le dire ; ici surtout, il fallait que la volonté fût inébranlable et le génie patient. En se plaçant sur le terrain des passions humaines, on devait

ravissant. On trouve là des restes de morceaux d’opéras, du seizième siècle, peut-être, — ou d’oratorios du dix-septième. 5 10 15 DELPHINE. J’ai assisté autrefois à une représentation donnée à Senlis dans une pension de demoiselles. On jouait un mystère, — comme aux temps passés. — La vie du Christ avait été représentée dans tous ses détails, et la scène dont je me souviens était celle où l’on attendait la descente du Christ dans les enfers. Une très-belle fille blonde parut avec une robe blanche