Mélancolie Dans Alcools

l'affectèrent profondément. Dans de nombreux poèmes présents dans Alcools comme dans Le Voyageur, il se remémore ses amours passées et son bonheur envolé. Deplus, Apollinaire exprime à plusieurs reprises l'attente du retour de l'être aimé et de l'amour qui ne change pas malgré le temps qui passe. La femme reste pour lui inaccessible, à cause des nombreux obstacles, l'amour n est qu'un douloureux souvenir, car il n'y a pas d'amour heureux. La mélancolie envahit alors le poète, la femme lui échappera donc toujours

description des mouvements de l’âme sont tels que ses écrits ne ressemblent en rien à ceux de ses contemporains. Chez Chateaubriand, l’ennui des personnages est si représentatif du mal du siècle que Gautier a dit de lui qu’il avait « inventé la mélancolie moderne ». Germaine de Staël a aussi contribué à faire pénétrer le mouvement en France avec de la Littérature (1800) et de l’Allemagne (1810), où elle exalte le rôle de l’inspiration et du génie et où elle affirme que la littérature de l’avenir

que j'aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu'on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles 
Qu'on foule 
Un train
 Qui roule 
La vie
 S'écoule Guillaume Apollinaire, Alcool Lourde légèreté Le temps passe
 Nos jours se remplissent De choses légères
 Et de tout ce qui est si important Libre de penser comme on veut
 On finit par ne penser que comme on peut Comme un flocon de neige
 Qui tremble dans l’ai

demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure "Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912) Melancholia  Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de

Désespoir - Désir - Elle - Enfant - Enfer - Envie - Espoir - Fille - Fin - Haine - Histoire - Illusion - Indifférence - Je t'aime - Joie - Larme - Larmes - Liberté - Love - Lui - Mal - Malheur - Maman - Manque - Moi - - Mort - Mourir - Mutilation - Mélancolie - Nature - Noir - Nous - Nuit - Oublier - Paradis - Paris - Partir - Passion - Passé - Peine - Pensée - Pensées - Peur - Pleurer - Pleurs - Poème - Regret - Rencontre - Rupture - RÊVER - Réalité - Rêve - Rêves - Sang - Sentiment - Sentiments - Silence

mouvements artistiques d'avant-garde, il deviendra l'un des précurseurs de l'art et de la poésie modernes du 20ème siecle.Il est l'auteur de Caligramme publié en 1918 et le Bestiaire ou Cortége d'Orphée publié en 1911.Le poème "Mai" est extrait du recueil Alcools, publié en 1913. Il appartient à la section « Rhénanes » constitué de 9 poèmes, il est en deuxième position et renvoie au séjour d'Apollinaire en Allemagne, plus précisément au périple qui lemène, au printemps 1902, de Nuremberg à Honnef. C'est à

chanson du Mal- Aimé f) alcools « cors de chasse » g) Correspondances h) Tout est plein d’âmes i) La musique 4) Ma préface: 2) Les biographies des poètes: a) Verlaine: Paul Verlaine (1844-1896). « Ecoutez la chanson bien douce / Qui ne pleure que pour vous plaire ». Ces vers - au-delà des péripéties d’une vie marquée par l’aventure avec Rimbaud ou l’alcoolisme - définissent l’univers poétique de Verlaine, auteur de recueils où la mélancolie et une sensibilité aiguë

fait penser à la schizophrénie et aux crises hallucinatoires de Musset) -un reflet de l'âme du poète -le lecteur, identique à Musset avec les mêmes questions et les mêmes problèmes. Le double est toujours vêtu de noir : symbolise le deuil, la mélancolie, la déprime et référence au spleen. -1ere apparition : enfant studieux (souligné par le champ lexical de l'étude), nostalgique du passé, une image de l'innocence enfantine mais déjà un peu mélancolique. -2eme : poète adolescent (période de trouble

demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure "Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912) Melancholia  Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de

d'autres termes doué de pouvoirs quasi surnaturels, par lesquels il accédait à une autre réalité. Pour se faire voyant, il devait se soumettre à un « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », comprenons vivre des expériences, drogue et alcool, susceptibles de lui faire perdre ses repères habituels : une fois désindividualisé par ce « dérèglement », le poète n'était plus que la voix exprimant la vérité du monde. Dans Oraison du soir, il est bien clair l’effet que la drogue a dans le poète