Mémoire Al Baraka Bank

ISLAMIQUES 3.1 AL-MUDARABA (Financement du travail) 3.1.1 Définition et conditions 3.1.2 Applications actuelles 3.2 Participation Terme Certificates (PTC) 3.3 3.3.1 3.3.2 3.3.3 AL-MUSHARAKA (Financement de participation) Définition et principe de fonctionnement Différents types de Musharaka Applications 3.4 AL-MURABAHA (Financement avec marge bénéficiaire) 3.4.1 Définition et principe de fonctionnement 3.4.2 Critiques 3.5 3.5.1 3.5.2 3.5.3 AUTRES FORMES DE VENTES Vente à terme (Bay Al-Ajam) Bay Mujjal

personne. C'est pourquoi, nous remercions par avance ceux dont le nom n'apparaît pas dans cette page et qui nous ont aidés d'une manière ou d'une autre. La première personne que nous tenons à remercier c’est Mr. JAMAL DIWANI, notre Directeur de mémoire, sans lequel ce travail n'aurait pu voir le jour ni même s'enrichir. Un remerciement particulier pour ses efforts, sa disponibilité, sa générosité et pour avoir bien voulu partager ses connaissances théoriques et acquis pratiques. Nous n'oublions

(par exemple : la Zakat). Les banques régies par les principes islamiques disposent d’un système comptable particulièrement autonome et en parfaire harmonisation avec les principes de la chariâ. On reprend les documents de présentationde la Shamil Bank of Bahrein, on constate qu’ils mettent en bonne place la promesse de la banque, dont les principaux éléments sont les suivants : atteindre un haut niveau de services conformes aux principes de la charia et aux attentes de ses clients ; assurer que

banques islamiques rendrait la concurrence plus rude dans le secteur. De ce fait, Bank Al Maghrib a autorisé le lancement de 3 produits « alternatifs » conforme à la Chari’a pour ne pas dire islamique à savoir : Moucharaka, Mourabaha et Ijara Wa Iqtina sur le fondement de l’article 19 de la loi bancaire, après avoir rejeté plusieurs demandes d’installation de banques islamiques sur le territoire marocain. Attijariwafa Bank est considéré aujourd’hui comme le premier groupe bancaire et financier du Maghreb

musulmans se sont interrogés. En 1965, une commission de juristes musulmans venus de 36 pays s'est réunie en Egypte, à al-Azhar, afin de statuer sur la question de l'intérêt. Ils confirmèrent unanimement cette prohibition. | "en Islam, tout prêt à intérêt est prohibé, quel que soit son taux". | Des avis particuliers (fatwa) ont cependant été énoncés par certains savants, dont Youssouf al-Qaradâwî, qui autorise les musulmans vivant en occident, et qui ne peuvent bénéficier de prêts sans intérêt, à avoir

précieuse qui nous a été apportées pour guider notre démarche. A cet égard, nous tenons à formuler notre profonde gratitude à M.BIADE qui nous a encadré tout au long de notre travail et nous a fourni tous les conseils nécessaires à l’élaboration de ce mémoire. Nos remerciements vont également à tous nos proches qui nous ont soutenus durant toute la période d’étude à l’ISCAE, nous les saluons pour leur compréhension et leur amabilité. Nous tenons à remercier également le corps professoral et administratif

financière est de faciliter et d’accélérer le développement économique et social, nous sommes chez Attijariwafa bank investis dans la voie du développement durable, forts de nos valeurs d’éthique, d’engagement, de leadership, de solidarité et de citoyenneté. Contribuer à la société civile marocaine .60 p où les référentiels et les certitudes sont mis à l’épreuve. Avec ce rapport, Attijariwafa bank expose de manière large sa vision et ses actions pour le développement durable. Bien que millésimé 2012

UNIVERSITE ABDERRAHMANE MIRA DE BEJAIA FACULTE DE DROIT ET DES SCIENCES ECONOMIQUES Département des Sciences Economiques MEMOIRE En vue de l’obtention du diplôme de Magister en Sciences Economiques Option : Monnaie, Finance et Globalisation Thème Contribution à l’étude de l’apport de l’implantation des banques étrangères en matière de financement des investissements en Algérie Présenté par : ZIANI Leila Sous la Direction de : Dr. KAID TLILANE Nouara Jury de soutenance Président : Pr. CHARABI

Ministère de l’Enseignement Supérieurde la Recherche Scientifique et de la technologieUniversité de Sousse ECOLE SUPERIEUR DES TECHNOLOGIES D’INFORMATIQUE ET DE MANAGEMENT MEMOIRE DE FIN D’ETUDES POUR L’OBTENTION DU MASTER EN FINANCE ISLAMIQUE Sujet : | La gestion de risque de contrepartie dans les banques Islamiques en Tunisie : Cas de la Banque Zitouna | | | Présenté et publiquement soutenu parBABA SarahSous la direction du maitre

l'horizon 2008 «  sur 3 ans donc ». Quels objectifs ? Sur quelle base juridique ? Quelles cibles ? Qui s'en chargera de la concrétisation ? Comment ? Des questions auxquelles on répondra tout au long du premier chapitre de ce mémoire. En deuxième chapitre, place alors est aux fruits du programme, à l'arrêt bilan et aux ajustements qu'il convient de faire. Première partie Chapitre I : Présentation générale du programme d'appui à la création des entreprises, baptisé