Mémoire Gens Du Voyage

MEMOIRE ET FICTION AUTOUR DE LA RAFLE DU VEL D’HIV Introduction : Notre thème correspond à la conquête et à la défense des libertés publiques. En particulier aux privations de liberté. Nous allons aborder ce qui s’est déroulé autour de l’événement de la rafle du Vel d’Hiv. En se basant sur les écrits des personnes ayant vécu cela et par l’intermédiaire d’une fiction également. La rafle du Vel d’Hiv a eu lieu les 16 et 17 juillet 1942 à Paris dans le quinzième arrondissement, rue Nélaton où

entre autres des œuvres littéraires telles que : - Mémoires d’un fou en 1838, - Madame Bovary en 1857, - Salammbô en 1862, - L’Education Sentimentale en 1869, - La Tentation de Saint-Antoine en 1874. - Décède le 8 mai 1880 à Canteleu. 2. Résumé de l’intrigue : L’intrigue du livre est la suivante : tout au long du livre, Félicité recherche l’amour sans jamais être payée de retour. En effet, tous les gens ou animaux auxquels elle s’attache la quittent ou meurent

Lumières. Jeune homme passionné par les sciences et à l'aise avec l'esprit de la Régence, Montesquieu publie anonymement Lettres persanes (1721), un roman épistolaire qui fait la satire amusée de la société française vue par des Persans exotiques. Il voyage ensuite en Europe et séjourne un an en Angleterre où il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages

quand il est sur la Terre. a) Quand il vole Dans le ciel, il est vu d’une manière méliorative* (positive, valorisante). On le voit au vers 2 : « vaste oiseaux des mers » → le mot évoque la grandeur. On a aussi la mention des « indolents compagnons de voyage » qui renvoi à l’idée de liberté. Le poète utilise des périphrases* (Figure de rhétorique qui substitue au terme propre et unique une suite de mots qui le définit ou le paraphrase de manière imagée (par exemple la Ville Lumière pour désigner « Paris »)

vieil homme, Onysos, mi-homme, mi-dieu qui va entamer le récit de sa vie : , il raconte une longue succession de pleurs et de cris de jouissance, de larmes, d'orgies et d'incendies. Le temps d'une nuit, sur ce quai anonyme, Onysos se rappelle à la mémoire des hommes. Cette pièce est jouée, en 2000, au Théâtre national de Strasbourg, «Pluies de cendres» qui raconte l’histoire d’une ville assiégée. Bombardements. Asphyxie. Incendies. Il pleut sur les maisons. Une pluie de cendres qui embrase le ciel

vieil homme, Onysos, mi-homme, mi-dieu qui va entamer le récit de sa vie : , il raconte une longue succession de pleurs et de cris de jouissance, de larmes, d'orgies et d'incendies. Le temps d'une nuit, sur ce quai anonyme, Onysos se rappelle à la mémoire des hommes. Cette pièce est jouée, en 2000, au Théâtre national de Strasbourg, «Pluies de cendres» qui raconte l’histoire d’une ville assiégée. Bombardements. Asphyxie. Incendies. Il pleut sur les maisons. Une pluie de cendres qui embrase le ciel

du moins, la plus parfaite possible. En effet, ligne 8, on voit qu'ils décident de recevoir le roi aussi « honnêtement qu'il serait possible à la ville de le faire. » De plus, on remarque qu'ils ont fait « ranger en bon ordre les religieux et autres gens de l'Église, ainsi que les enfants portant des écussons ». Par la notion de rangement et par les écussons que certains enfants portent, on voit donc qu'il s'agit pour la ville de faire la meilleure impression possible au roi, de montrer sa fierté en

ténèbres, le malheur. Apollinaire a brouillé l’ordre chronologique par une volonté de raconter mais aussi de perdre le lecteur dans ce récit en désordre. Des sauts se font dans le temps par des sortes de fondus enchaînés, selon les caprices d’une mémoire qui procède par associations d'idées. Les souvenirs en désordre envahissent l'esprit dans des juxtapositions alternent des précisions géographiques extrêmes et des notations des plus larges, comme les noms de pays. des images captées au hasard de

qui sont indépendantes l’une de l’autre). Le titre est à considérer avec un « ? ». • Rapport à la mémoire - p 35 : « Aimer la religieuse sous la forme d’une actrice […] Et Sylvie que j’aimais tant, pourquoi l’ai-je oublié depuis trois ans » C’est la conscience de l’oubli qui lui permet de se rappeler de son oubli. Donc l’oubli n’existe pas. Il ne sert qu’à se rappeler. A travers la mémoire, tel qu’elle est éprouvée, c’est quelque chose de continu. C’est la continuité de quelque chose qui ne

contagion mentale. Gabriel Tarde (1843-1904), dans les foules il y a un phénomène d’imitation, abaisse son niveau intellectuel pour être à celui de la foule. Pour lui l’imitation est une réalité social. Il s’intéresse aux modèles copiés, et remarque les gens imitent plus les leaders d’opinions. Il montre que l’imitation est sélective. La foule est le premier groupe social étudié Auguste Comte, Durkheim, Freud vont montrer que l’individu a un mode de pensée spécifique mais est influencé par son environnement