Naïades

dressent à ce son mille souvenirs tumultueux ! Ah ! son image est là vivante devant moi, comme dans les premiers jours de son allégresse et de sa joie ! Oh, magnifique et pourtant fantastique beauté ! Oh ! sylphe parmi les bocages d’Arnheim ! Oh ! naïade parmi ses fontaines ! Et puis, – et puis tout est mystère et terreur, une histoire qui ne veut pas être racontée. Un mal, – un mal fatal s’abattit sur sa constitution comme le simoun ; et même pendant que je la contemplais, l’esprit de métamorphose

représenter les rapports impossibles de l'homme et de la femme. Une ondine (ondin au masculin) est un génie des eaux dans la mythologie germanique (où elle est également désignée sous le terme de nixe) ou alsacienne. Ondine est une nymphe ou naïade (équivalent de la mythologie grecque). À l'inverse des sirènes, les nymphes ne fréquentent pas la mer, mais les eaux courantes, rivières, fontaines, et n'ont pas de queue de poisson. Durant l'été, elles aiment se tenir assises sur la margelle des

bassins et de cascadesTombant dans l'or mat ou bruni; Et des cataractes pesantes,Comme des rideaux de cristal,Se suspendaient, éblouissantes,À des murailles de métal. Non d'arbres, mais de colonnadesLes étangs dormants s'entouraient,Où de gigantesques naïades,Comme des femmes, se miraient. Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues,Entre des quais roses et verts,Pendant des millions de lieues,Vers les confins de l'univers; | C'étaient des pierres inouïesEt des flots magiques; c'étaientD'immenses glaces

dans l’or mat ou bruni ; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal, Se suspendaient, éblouissantes, À des murailles de métal. Non d’arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s’entouraient, Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient. Des nappes d’eau s’épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l’univers ; C’étaient des pierres inouïes Et des flots magiques ; c’étaient

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son Paris idéal durant son sommeil mais soudain, il se réveille et il retrouve l'horreur de cité. Dans cette conjecture, nous retrouvons le champ lexical de la nature tout au long de cette description : « bassins et de cascades; arbres ; étangs ; naïades; flot ; glaces ; océan ; soleil » qu’il définit comme « un trésor », des « mouvantes merveilles » et « des prodiges ». C’est pourquoi le phantasme cérébral du poète peut être considéré comme un voyage et la nature en un paradis merveilleux. La cherche

libertine : Rosanette est la figure même de la lorette, à l'instar de la Vatnaz, et souvent représentée de façon érotisée et associée au désir (p.239 : « puis se lavait à grande eau le visage, en se renversant la taille comme une naïade qui frissonne. […] sa beauté, sa gaieté éblouissaient Frédéric, et lui fouettaient les nerfs ») ou encore : Elle mordait dans une grenade, le coude posé sur la table ; les bougies du candélabre devant elle tremblaient au vent ; cette

homme. Il participa à l'expédition des Argonautes au cours de laquelle il triompha des sirènes et se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce avant de rentrer chez lui en Thrace. Une fois de retour, le jeune poète fut charmé par la beauté de la Naïade Eurydice avec qui il se maria peu de temps après. Cependant, le bonheur ne fut de courte durée car, en effet, la jeune femme, poursuivie par Aristée (amoureux d'Eurydice), mourut le jour de son mariage, mordue au pied par un serpent. Orphée, emplit

s’affairent et rangent les cordages, préparent le mât et les voiles pour la manœuvre. e) Je suis Ulysse, j’ai beaucoup souffert, à errer sur les mers pendant dix ans. J’ai connu la peur, la faim, la soif et la solitude. f) Ulysse a rencontré les Naïades, ces déesses belles et joyeuses comme les vagues qui dansent sous le soleil et le vent doux. Appren-dre les synthè-ses par cœur. Lire les chap 14 et 15. 11 vocabulaire Connaître le vocabulaire de la navigation. Idem. Mots croisés.  Questionnaire

que des mugissements dont elle est épouvantée. Elle se présente aux bords de l'Inachus, jadis témoin de ses jeux innocents ; à peine a-t-elle vu, dans les eaux du fleuve, sa tête et ses cornes nouvelles, elle est effrayée et se fuit elle-même. Les Naïades ignorent qui elle est ; son père même, Inachus, ne peut la reconnaître. Cependant elle suit son père, elle suit ses sœurs ; elle s’offre à leurs regards étonnés de sa beauté ; elle se laisse caresser de la main. Le vieil Inachus arrache des herbes