Naples

persistante de l’Idéal insaisissable 2) Le mythe italien a) Rapprochement Myrtho/Pausilippe NERVAL unit le personnage éponyme et le lieu - Le Pausilippe (Posilipo) est une colline à l’Ouest de Naples - Il offre une vue magnifique sur le Vésuve et la baie de Naples → pour N un lieu privilégié, à cause du bonheur vécu Naples: rencontre avec 1 bohémienne Octavie.elle ressemble à Jenny : le poète se sent coupable d’avoir trahi Jenny, part avec l’idée du suicide, le retour à Octavie qui le dissuade de se jeter

est originaire de l'Italie du sud (Mezzogiorno). On a pu identifier ce type d'organisation au XIXème siècle. Plusieurs organisations mafieuses sont recensées en Italie méridionale : Cosa Nostra et Stidda (en Sicile) la Camorra (en Campanie : Naples) la 'Ndrangheta (en Calabre) la Sacra Corona Unita (dans les Pouilles)   Comment est née la mafia en Italie : On dit que la mafia a commencé comme une société secrète au XV ème siècle ayant pour but de protéger la population sicilienne

principale, selon moi) est la Via del Corso qui relie la Piazza del Popolo et Piazza Venezia. Le célèbre Colosseo ce n'est pas très éloignée de Palazzo Venezia.) TURIN Il est la quatrième ville italienne de la population, après Rome, Milan et Naples, et est le troisième centre économique du pays. L'agglomération, qui comprend les villes proches de la ville de Turin, couvre une superficie d'environ 1100 km ², créant ainsi une zone urbaine qui est estimée par Eurostat à 1.700.000 habitants et une

poèmes de la littérature anglaise. La fin du poète Sa maladie commence alors à s’aggraver sérieusement et, sur le conseil de ses médecins, il quitte l’Angleterre pour l’Italie, accompagné de son dernier ami, Joseph Severn. Après un séjour à Naples, il s’installe à Rome, dernière étape de sa courte vie. Il y rend son dernier soupir. On l’enterre au cimetière protestant (cimetière catholique) où Shelley le rejoindra bientôt. Sur la stèle, on grave cette épitaphe qu’il a composée lui-même : « Here

général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773‑1828) et de Sophie Trébuchet (1772‑1821). Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Ainsi, en 1811, il est, avec son frère Eugène, pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid, le Collège des Nobles. Vers 1813, il s'installe

un Sud qui n’a pas complètement chuté. Naples reste, jusqu’au début du XVII° siècle, un grand centre de travail de la soie comme en témoigne une information rédigée par le consul de « l’arte de la seta » en 1624 assurant que 5 000 personnes sont inscrits sur la liste de la corporation : marchands, maîtres tisserands, apprentis, filateurs. Dès 1580, un vénitien, exagérant peut être mais significatif, affirme que 4/5 de la population vit de la soie à Naples. De même à Salernes et en Campanie où un

flammes, et la chute de l’Empire (1814) ruinent définitivement sa situation et ses projets. Dès août 1814, Stendhal s’installe à Milan. Il se met à écrire avec frénésie. Il écrit son premier ouvrage qu’il signe du pseudonyme de Stendhal : Rome, Naples et Florence. Suspecté de « carbonarisme », il est expulsé d’Italie en 1821 et revient en France. Désappointé, Stendhal se réfugie dans l’écriture et publie en 1827 son premier roman, Armance. Le 13 novembre 1830 paraît Le Rouge et le Noir. A

lieux d'intérêt culturel et esthétique comme Rome, la Toscane ou les Alpes, et les capitales européennes. Nombre d'artistes britanniques et européens dès le xvie siècle faisaient le « voyage en Italie » comme par exemple Claude Lorrain. Si Rome, Naples et Florence attiraient depuis longtemps les visiteurs étrangers, c'est l'influence des poètes romantiques comme Lord Byron et William Blake qui rendirent la campagne, les Alpes, les torrents et les gorges de montagnes, populaires. Les aristocrates

l’atelier de Louis Lamothe, un ancien élève de Ingres. Ce dernier était un peintre qu’il a rencontré et auquel il a toujours voué une admiration sans borne, tout comme à Delacroix. Il voyage en Italie de 1856 à 1859, où il étudie à Florence, Naples et Rome, les grands maîtres classiques tels que Raphaël. Il étudie à fond l’art ancien, tout en programmant dans ses carnets toute une liste de motifs de la vie contemporaine qu’il projette de traiter : musiciens, danseuses, cafés... autant de thèmes

garnison dans le Doubs au moment de la naissance de son fils – et de Sophie Trébuchet (1772‑1821). Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Ainsi, en 1811, il est, avec son frère Eugène, pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid, le Collège des Nobles. Vers 1813, il s'installe