Nathalie Sarraute Portrait De La Mère

flottement, flotter ; cerne d'erreur et de doute ;inversion, décalage, confusion.. b) Plus grave encore : déshumanisation du personnage, réduit à une marionnette : pas d'identité (seul une fonction : "le patron"). Le portrait n'est que le portrait de l'image renvoyée par le miroir (pas le portrait véritable). Les objets bougeraient d'eux-mêmes : "les douze chaises descendent". Pourtant, ils n'ont aucune valeur particulière ; ils ne renvoient pas à l'homme (négation de l'anthropomorphisme prêté aux objets

DU COTÉ DE CHEZ SWANN Le premier volet, Du côté de Chez Swann se compose de trois parties : - Combray - Un amour de Swann - Noms de pays : le nom « Combray » est inoubliable : celle de la madeleine, bien sûr mais surtout de l’enfance, de la mère. L’esprit , la sensation est si bien décrite, si magnifiquement servie par cette écriture que nos propres états d’âmes, se perdent avec ceux de Proust. Génial, pas d’autres mots. « Noms de pays : nom » est de la même veine. Le premier amour, le

ses idées. Enfin, Hervé Bazin, dans Vipère au poing, premier roman d’une trilogie à forte dominante autobiographique, décrit sa mère au travers du personnage de « Folcoche », contraction de « folle » et « cochonne ». Le personnage de Jean Rezeau, second enfant de la famille, est très proche de l’auteur. Bazin détaille les actes cruels, malveillants de sa mère ( qui le gifle, lui fait porter une valise trop lourde pour lui dès son arrivée, lui plante sa fourchette dans la main ), et justifie

d’Hermann Hesse permet à l’auteur de se souvenir de son passé, qu’il décrit comme étant « une mer houleuse où remuent des choses énigmatiques ». De plus, le livre Enfance est une autobiographie dans laquelle Nathalie Sarraute admet à ses lecteurs, par le biais de son dialogue avec elle-même, qu’elle désire se retrouver. L’écriture sur soi-même permet donc à l’auteur lui-même de se lire pour la toute première fois, et parfois même pour la dernière fois.

Dans une première partie, nous éclaircirons le fait que l'autobiographie favorise la connaissance de soi. D'une part, le dialogue avec soi même, une sorte d'examen de conscience, permet de s'analyser, de dresser son propre portrait, comme par exemple Rousseau à travers son roman autobiographique «  les confessions » prend du recul par rapport à sa vie et pose un regard analytique. Nous nous proposons d’étudier plus particulièrement l’incipit de son roman, l’incipit d’un livre

Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux d’une personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II : « Ce prince était

marqué par la permanence et non le changement: “On y vivait l’été, on y lessivait; on y fendait le bois l’hiver, on y besognait en toute saison [...]” Sacralisation de la nature → Au milieu du jardin, au centre des quatres points cardinaux, trône la mère, connaissant tout de la faune et de la flore, vouant un culte aux forces élémentaires de la nature, capable de parler aux nuages et de prédire le temps qu’il fera Un rapport à la nature plus ambivalent chez les autres personnages → Colette: gratte

Michel Brutor, Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet vont essayer de déconstruire l’intrigue traditionnelle en brouillant les repères habituelles du récit : psychologie des personnages, description. Ils revendiquent la liberté de style, le monologue intérieur, le travail sur la mémoire et l’absence de narrateur omniscient tous ceux-ci ouvre la voie a une nouvelle matière romanesque. Elle a donné lieu a des ouvrages tel que La jalousie d’Alain Robb-Grillé et tropisme de Nathalie Sarraut. Il conservera

, 2009. Apprenant la mort de son père, l’auteur décide de retourner à Haïti. Ce sont des retrouvailles avec sa terre natale pour cet homme qui a été contraint à l’exil. L’écrivain enquête sur ses racines – l’histoire de son père, de sa mère e de sa famille -, observe une terre pauvre et joyeuse et réfléchit sur le sens de l’exil. Christine Arnothy, J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir , 1955 Budapest, 1945. L’histoire vraie

profite de la vieRédaction : pastiche du texte de Montaigneun pastiche : une imitationEcrire un autoportrait de vous à la manière de Montaigne avec une 1ère partie sur un défaut physique et une 2ème partie sur un trait, un aspect de votre caractère (portrait moral).Ecrire pour se rappeler son enfancephotocopie Texte B Michel Leiris, Gorge coupéeIl raconte de manière dramatique une opération banale mais réalisée sans anesthésie à l'époque : l'opération des végétations.Vocabulaire