Nationalisme flamand

Au lendemain de la première guerre mondiale, en raison de troubles sociaux, de la crise économique et du nationalisme chauffé à blanc (en Italie on parle de "histoire mutilée" car les terres irrédentes n'ont pas été obtenues (trentin, istrie) et en Allemagne on dénonce le traité de Versailles), l'Italie fasciste et l'Allemagne nazie voient le jour. Nous disposons de deux documents. Le premier est une affiche de propagande du NSDAP datant de 1930. Le second est un article sur Mussolini et le parti

Dans ce tableau de 1926, Grosz dénonce les « piliers de la société » que constituent l 'élite intellectuelle , le bourgeois militariste et revanchard  le personnage au monocle, avec la cicatrice sur la joue qui démontre qu'il fait partie d'une corporation d'étudiants 1 , qui a un sabre à la main et la croix gammée sur la cravate . U n cavalier , rappelant les joutes médiévales et l'idéal militaire prussien , surgit de son c rane vide  il rêve du temps où les militaires

républicains, il a en outre 2 autres « défauts » le premier est qu'il est d'abord républicain, il est alsacien (défaut dans le contexte de la perte de l'Alsace Lorraine, et il peut apparaître plus allemand que français) et dans un contexte d'un nationalisme antisémitisme il est juif. Aux yeux des supérieurs Faits: en septembre 1894 une lettre est intercéptée issue de l'armée française à destinationde l'armée allemande. On dit un espion au sein de l'armée française, le ministre de la guerre est

la Révolution française provoque des bouleversements à l’intérieur des institutions politiques au tournant du XIXe siècle au Canada. En effet, la démocratie à la cote, les élections se succèdent au Bas-Canada. On distingue une certaine forme de nationalisme libéral naissant, le politique stimule et trouve l’appuie chez la bourgeoisie : notaires, avocats, médecins et marchands s’assemblent et soutiennent le Parti Canadien. Cette classe bourgeoise récupère les principes et l’entendement des Lumières

Propos du Film Le film Incendies traite principalement de deux thèmes qui s’entremêlent tout au long du long métrage. D’abord, l’action se déroule au milieu du conflit Israëlo-palestinien, principalement au Liban, ou l’on voit que la guerre entre les nationalistes chrétiens et musulmans bat son plein. Puis au fil du film, on voit qu’un lien étroit se tisse entre cette réalité et la famille démentibulée émotionnellement qu’est les Marwan. En effet, Nawal Marwan, femme éprouvée et mère plutôt dépourvue

en anglais, qui correspond à la signature d’un nom). ertains graffitis relèvent de la communication pure et servent donc à diffuser un message, par exemple un message politique, souvent (mais pas uniquement) un message politique clandestin : nationalismes régionaux en Irlande du nord, en Bretagne ou en Corse, "V" de la victoire et de la liberté sous l’occupation nazie, etc. Le graffiti relève parfois de l’art visuel, de la littérature ou encore de l’humour. Il constitue alors une manifestation

des problèmes territoriaux, comme les guerres précédentes : l'Alsace-Lorraine pour la France, l'influence dans les Balkans pour les Russes et les Autrichiens. Les combattants ont été formés pendant des années à l’idée d’une guerre inévitable. Le nationalisme a formé l'arrière-plan idéologique des années précédant la guerre ; la force de cette idéologie est à la fois ancienne et nouvelle : ancienne, car on la retrouve dans les guerres napoléoniennes, mais nouvelle par son ampleur : la guerre est aussi

et s’insurgent contre ce qui fut qualifié de tentative de “christianisation” des Berbères. Ces réactions émanant des serviteurs du Sultan, sont hautement révélateurs de “la suspicion profonde et de l’illégitimité foncière dans lesquelles le nationalisme arabo-islamique a toujours tenu les Berbères” (voir Salem Chaker, Berbères aujourd’hui, page 65). Sur ce fondement, sera combattu toute référence au berbère. Nous y voyons également les sources de la discrimination que subiront les populations

bien des endroits, menacée lorsqu’elle n’est pas totalement bafouée au cours de la période qui sépare les deux guerres mondiales. D'abord, les partis communistes combattent la démocratie occidentale. La vie démocratique est aussi menacée par le nationalisme de type dictatorial, que l’on identifie comme le fascisme. Le fascisme est un mouvement ultranationaliste de droite qui inclut aussi des politiques socialistes. La doctrine est basée sur l’ordre, la soumission totale de l’individu à l’État

sédentaire. Pour le cosmopolite contre l'indigène. […] Pour le marginal contre la société qui rejeta longtemps les Badinter. Pour l'assassin contre l'assassiné. » Présent se réfère dans son argumentation aux figures de la contre-révolution et du nationalisme contre-révolutionnaire français : Louis de Bonald, Edmund Burke, Joseph de Maistre, le cardinal Pie, Mgr Freppel (évêque violemment opposé à la Révolution française, notamment à l'occasion des célébrations de son centenaire, en 1889), Charles Maurras