Nationalisme révolutionnaire

entrer l’affaire Dreyfus dans les guerres franco-françaises qui ont progressivement dessiné le profil de la France contemporaine. Mais cet affrontement déchire la nation de manière singulière. Il ne s’agit pas comme dans les profondes fractures révolutionnaires du 19ème siècle d’un événement qui mobilise les masses et oppose entre eux jusqu’au fin fond des campagnes des groupes sociaux devenus irréconciliables. L’Affaire relève avant tout de la sphère du débat politique. Il s’y ajoute toutefois une

n’existait pas au XVIIIème siècle. Aujourd’hui, c’est une des plus grandes villes du monde. Au sein de cette bourgeoisie est apparue une intelligentsia qui a adapté les idéologies occidentales (nationalisme, marxisme) qui allaient lui permettre de conduire les mouvements de libération, par des guerres révolutionnaires si nécessaires. 2) Les mouvements nationalistes Ils se sont souvent déjà manifestés dans l’entre-deux-guerres, sans réellement inquiéter les métropoles. Ces mouvements ont d’ailleurs été

poignard dans le dos ». On constate donc une montée de nationalisme revanchard, ainsi que d’antiparlementarisme. Q.2 : Les revendications du NSDAP : -combattre le communisme -exclusion des juifs, antisémitisme -antiparlementarisme -création d’un pouvoir fort Q.3 : Le NSDAP et le parti communiste profitent de la crise qui nourrit leurs revendications au dépend du parlementarisme en place. Q.4 : Il y a un élan de nationalisme, une volonté de revanche suite au diktat. La population

l’adhésion de Ch. Maurras donne au mouvement son maître et l’ancre définitivement dans le camp monarchiste. La monarchie selon Ch. Maurras prenait un tour résolument antidémocratique et antiparlementaire. L’Action Française pratique un « nationalisme intégral », qui la pousse à écarter impitoyablement tous les obstacles qui s’opposent à la mise ne place de la monarchie. Tout ce qui revêt une dimension internationale est exclut. Cette organisation est également xénophobe et antisémite, cependant

la SFIO, les socialistes aux niveaux internationaux essaient de s’organiser depuis l’époque de Marx. Il avait crée une première international qui ne fonctionne pas alors une seconde se créé. La SFIO est divisé en 2 grands courants, le courant révolutionnaire (se rapprochant le plus de Marx => révolution violente) et le courant réformiste qui veut changer la société capitaliste mais sans violence, incarné par J.Jaurès. Cette gauche est très diverse sans unité et jusqu’en 1914 elle arrive à avoir

c’est-à-dire à partir de la III République ; cette nouvelle république fait apparaitre dans toutes les institutions, un certain nationalisme pour imprégner chez les français un certain sentiment d’appartenir à la République. De plus, beaucoup de personnes sont en rage depuis la perte de L’Alsace-Lorraine au profit des Allemands, c’est dans ce contexte que se développe le nationalisme, avec notamment des hommes comme Dumot, Barrès et Mauras. Les nationalistes vont par la suite faire parler d’eux, avec par

un ancien combattant qui a été journaliste et instituteur. Il réussit à réunir dans son parti, les Faisceaux italiens de combat, créé en 1919, des mécontents de tous bords : anciens combattants comme lui, nationalistes, et même syndicalistes révolutionnaires. Les Faisceaux n'ont de ce fait pas de ligne idéologique précise, ils semblent même se rapprocher des idées socialistes en militant pour moins d'inégalités sociales, mais ils défendent en fait des principes démagogiques tirés des différentes

de la République. C’est la première opposition au régime, ensuite il y en a une deuxième importante qui regroupe l’extrême gauche et l’extême droite, des forces contestent le régime : L’Action française prône un nationalisme royaliste et xénophobe. Alor que le syndicalisme révolutionnaire vise l’extinction de l’Etats, et qu’une partie des socialistes envisage une révolution violente qui placerait le prolétariat ouvirier au pouvoir. Mais aucune de ces forces n’est assez puissante électoralement pour

avaient subi les modifications du congrès de Vienne. L’influence de la Révolution française a opéré de façon positive (par diffusion de l’idéologie nationale) et négative (par l’apparition de nationalismes rejetant l’occupation française). D’autre part, dans certains pays une idéologie nouvelle – le nationalisme – a accompli des progrès, indépendamment de l’ombre portée de la « Grande Nation » (la France). Ainsi la période 1815-1848 est-elle traversée de crises nationales ayant de fortes résonances

d'influence à la mort de celle ci, ce qui peut être lié avec l'emprisonnement puis la mort de Maurras en 1952, personnage illustre de l'AF et qui a influencé ses thèses. Pb=Dans quelle mesure l'AF peut etre considérée comme un élément structurant du nationalisme francais de 1898 à aujourd'hui? (ce n'est qu'une proposition...) plan I/Diffusion des thèses de l'AF 1898/1914 II/ Le temps des remous 1914/1945 III/ Une postérité? Après 1945 I/ Diffusion des thèses de l'AF 1898/1914 1/ héritage et fondation