Nationalisme serbe

accompli grâce à la complicité du Gouvernement serbe. En jugeant que lʼ Empire des Habsbourg ne pouvait pas tolérer la très grave provocation serbe, après sʼêtre assuré lʼappui de lʼAllemagne, il envoya cet ultimatum à la Serbie, les termes duquel, inacceptables, provoquèrent, quelques jours plus tard, le début de la première guerre mondiale. Le Gouvernement se voit dans lʼobligation (Le I. R. Gouvernement) dʼexiger une assurance officielle du Gouvernement serbe quʼil condamne la propagande adressée contre

habitants de Sarajevo au nombre de 416 000 en 1991 sont principalement d'origines bosniaques (50 %), mais aussi d'origines serbe (26%) ou encore croate (7.5%). Ce qui en fait une ville multinationale du fait de sa grande diversité ethnique. Durant le siège, la population va subir des pertes conséquentes, notamment à cause du blocus imposé par les milices serbes. La milice serbe pour affaiblir la population de Sarajevo mis en place un blocus pour bloquer tout approvisionnement en nourriture et

arrivent à résister mais ne sont pas « assez forts pour gagner la paix ». De ce fait la guerre va sans doute durer longtemps. Il se montre plutôt optimiste car ses derniers mots sont porteurs d’espoir car il pense que même si actuellement le président serbe ne veut pas reconnaitre la Bosnie. Il pense qu’un jour il la reconnaitra. Question n°3 : Les peuples serbes qui vivent en Bosnie revendiquent le fait qu’ils veulent faire tomber la Bosnie pour la rattacher à la Serbie. Car ils ne veulent plus être

Préparation de l’attentat de Sarajevo Tout commence à Belgrade, capitale de la Serbie, où le chef des services de renseignement manipule une organisation secrète terroriste : La Main Noire. Celle-ci a pour objectif de réunir au sein d’un unique état serbe l’ensemble de territoires faisant partie de l’Autriche-Hongrie, ou de l’Empire ottoman ainsi que le Monténégro. L’assassin et ses complices sont des jeunes gens pauvres originaires de Bosnie-Herzégovine, ancienne province ottomane, (dont Sarajevo

mutuelle d’être les seuls occupants légitimes de cette région. Aujourd’hui encore, la composition ethnique du Kosovo du 15e siècle fait l’objet de nombreuses controverses, chaque partie interprétant en sa faveur les documents de l’époque. Du côté serbe, le Kosovo est décrit comme le « berceau de la Serbie[->55] », car il en était, entre le XIe et le XVe siècles, le centre politique (Pristina[->56]), économique (mines de Novo Brdo[->57]), et spirituel (monastères de Peć[->58], de Dečani[->59], de

1809 à 1814, où Slovènes et Croates, regroupés sous l'étiquette «illyrienne», font cause commune face aux influences allemande et italienne. Cette étiquette est réutilisée dans les années 1830-1840 par les patriotes croates en opposition avec le nationalisme hongrois. Le traité de Berlin (1878) freine ce mouvement en accentuant la mainmise austro-hongroise sur les Balkans. Les Slaves du Sud de la double monarchie sont morcelés sur le plan administratif, ce qui rend une action politique commune difficile

la chute du communisme en Europe orientale. ( Une succession mal maîtrisée qui engendre l’émergence des nationalismes  En 1981, une vague de manifestations a lieu au Kosovo pour réclamer le statut de république au sein la Fédération Yougoslave. Ces mouvements contestataires sont réprimés dans le sang par l’armée nationale (JNA) et ont pour conséquence l’éveil du nationalisme serbe qui ne veut pas se détacher de cette région considérée comme le berceau historique. De plus, la conjoncture

fort, l’enchevêtrement culturel est un obstacle déterminant. Ces modifications ont parfois donné lieu à des affrontements sanglants, des guerres civiles, où s’est illustrée l’idéologie nationaliste du gouvernement serbe de Milosevic : la volonté de créer un Etat yougoslave serbe s’est appuyée sur une politique d’ « épuration ethnique » en Bosnie(1991-1996), au Kosovo (1998-2000) entraînant des milliers de victimes, le déplacement de populations, l’intervention de l’OTAN et de l’ONU. Les

l’intenta était commanditer par la nation serbe qui était très actif, diriger par le premier ministre Nicola Pasic, qui n’est en tous cas pas impliqué dans l’affaire. Mais les autrichien s’en moquent. L’occasion est trop belle pour détruire froidement la Serbie une fois pour toutes.  Page 5 Saint Petersburg 30 juillet 1914 La Serbie est un petit pays autrefois puissant (moyen âge) Qui est comme une épine dans le pied de l’Autriche Hongrie de nombreux serbe sont dans l’état austro hongroie, la

sièclenote 1. Il semble qu'à l'origine ce mot ait appartenu au genre neutre, avant de devenir masculin sous l'influence de la christianisation 15. Les termes qui désignent Dieu dans les langues slaves (Бог en biélorusse, bulgare, macédonien russe, serbe, ukrainien, Bog en croate, Bóg en polonais, Bůh en tchèque) sont issus du proto-slave bogъ lui-même issu de l'indo-européen commun bhag-.