Natixis

DM de SES : parties 2 et 3 de l’épreuve composée Etude d’un document : Document statistique établi par Flash Economie, Natixis présentant l’évolution de la productivité globale des facteurs de la France et de l’Allemagne entre 1998 et 2013 en indice (base 100). Réunies et mis en forme en septembre 2013, ce document nous montre que jusqu’en 2007 la croissance de la productivité globale des facteurs de l’Allemagne est plus rapide que celle de la France

sur évalué ; pour que les allemands réduisent leur déficit commercial il ne faut pas réévaluer le yuan mais dévaluer le dollar par rapport à l’euro. L’euro reste donc une monnaie forte. Peut-on mener une politique budgétaire déficitaire ? Document Natixis, Patrick Arthus. Les politiques macroéconomiques (politiques monétaire expansionnistes, déficits publics avec hausse des transferts aux ménages, dépenses de travaux publics …) peuvent-elles aujourd’hui résorber les problèmes économiques des Etats-Unis

d’endettement des ménages des Etats Unis est beaucoup plus importante (14% de revenu brut disponible(4)), contre 92% en Europe soit une différence de 50 points. Selon Patrick Artus, économiste français et directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis, la différence de relance économique qu’il y a entre le Vieux Continent et les Etats Unis est justifiée puisque le choc subi par l’Europe est trois fois moins important. Guillaume Duval juge selon lui cette conclusion trop hâtive puisque les fondamentaux(5)

établissements français ont malgré tout généré près de 6 milliards de perte en 2008 et ont annoncé des diminutions d’effectifs de 3500 postes, en particulier sur les métiers de marché (dont 735 chez Crédit Agricole BFI, 1000 pour BNP Paribas, 850 chez Natixis). Les atouts des BFI françaises sont nombreux : ce sont des banques de taille suffisante pour répondre aux besoins des grandes entreprises à l’international, elles ont des infrastructures de qualité, etc… Le secteur des BFI a été très touché par

appel à l'importation.](file:///C:wikiSikhisme) [D'après Edgardo Torija Zane, économiste chez Natixis (groupe d'épargne français pour les entreprises): ](file:///C:wikiSikhisme)["La hausse des subventions aux aliments jointe au ralentissement de la croissance est à la base d'une dégradation marquée du déficit budgétaire, qui sera proche de 10% au cours de cette année". (extrait de l'étude de Natixis, article du 16 novembre 2009 "Chronique Recherche Economique")](file:///C:wikiSikhisme) [En outre

échéant, de nouveaux efforts de capitalisation. L'ÉVALUATION SERA-T-ELLE CRÉDIBLE ? « Le fait que l'exercice relève de la BCE, et non des régulateurs nationaux lève la question de tout possible favoritisme », souligne Alan Lemangnen, économiste chez Natixis. Au- delà, c'est la méthode utilisée qui sera scrutée. En apparence, la Banque centrale ne pousse pas très loin le curseur des fonds propres durs exigés, reproduisant les exigences de Bâle III (7 % de fonds propres durs «core» Tier-1, voire 8 % pour

concurrents) · des refontes des entités de production dans le sens de l’industrialisation: automatisations étendues, externalisations (dans le but de sous-traiter les taches a faible valeur ajoutée stratégique) par ex. fusion des filiales de monétique, Natixis Paiements et GCE Paiements, création des plateformes communes entre le réseau Société Générale, Crédit du Nord et Boursorama dans la monétique les services, ou le crédit. b. Economies de main d’œuvre Selon une étude récente d’Eurogroup Consulting

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Jean Arthuis (UDI, union centriste) : « Basculer sur la TVA 50 milliards de cotisations » André Chassaigne (GDR, Gauche Démocrate et Républicaine) : «Réformer vraiment l'imposition des sociétés» (impôts que payent les entreprises) Patrick Artus (Natixis, banque) : «Baser davantage l'effort sur les dépenses» Olivier Duha (CroissancePlus, réseau français de dirigeants de PME) : «Arrêter de ponctionner les entreprises» Jean-Claude Mailly (FO, Force Ouvrière) : «Lancer un grand débat sur les missions

décidé une hausse de prix de 6% en août dernier afin de compenser la baisse en volume des ventes qu'Altadis estime à 3% pour 2008. «Tout est une question de dosage. Passer la bonne hausse de prix au bon moment», note Virginia Héeribout analyste chez Natixis. À l'instar de l'industrie du disque confrontée aux affres du piratage, les cigarettiers s'adaptent aux réalités du marché par la concentration. Altadis vient d'être racheté par le britannique Imperial. Quelques mois plus tôt, Japan Tobacco (Camel