Nazisme Conséquences

«Les totalitarismes nazi et stalinien, mise en place, idéologie et accomplissement.» Le nazisme et le stalinisme, deux totalitarismes différents? 1) Les fondements et les objectifs. Le nazisme est un parti unique qui repose sur le guide du Reich, le «Reichsfürer» : Hitler (au pouvoir depuis le 30 janvier 1933). C'est un chef charismatique, qui use de son pouvoir pour imposer un culte de la personnalité. Pour les nazis, les pays et territoires germaniques avaient vocation à dominer le reste

l’espace de 15 ans, Adolf Hitler passe de l’anonymat total au poste de chancelier de l’Allemagne. Quelle fut sa stratégie de conquête du pouvoir ?  En quoi le contexte économique et social a-t-il pu favoriser cette ascension ? 1. Les débuts du nazisme a. Les difficultés de la république de Weimar Issue de la révolution à Berlin et donc de la défaite allemande, la république de Weimar est pénalisée par ses origines. L'armée qui n'accepte pas la défaite, développe très vite l'idée d'un « coup de

métaphore de la couleur indique qu'un nouveau jour se lève, une nouvelle ère sombre, dominée par le brun. Tout est devenu uniforme. A travers ce "brun" qui se répand partout – et qui rappelle les "chemises brunes" des S.A. et la "peste brune" du nazisme –, c'est la pensée unique et le conformisme qui s'étendent. Cette société est contrôlée par des "milices", l'information est filtrée par la censure et les organes affiliés au régime ("Radio brune", p. 10; "les Nouvelles brunes", p. 4), la propagande

contemporains l’expression même de « banalité du mal ». Et cette indignation justement, rend utile la réflexion sur ce sujet. Nos deux auteurs sont proches par l’irruption dans leur vie et dans leur chair de la catastrophe historique que constitue le nazisme. Devant cet événement, elles ne pouvaient pas l’une et l’autre ne pas poser la question du mal. La comparaison des deux approches est éloquente. Hannah Arendt (1906-1975) est fille de son époque, engagée. Simone Weil (1909-1943), en dépit de ses engagements

ailleurs, l'organisation nouvelle du parti contribue aux échecs successifs des Chanceliers en place. Si les ouvriers rejoignent le parti communiste (KPD), une partie de la paysannerie, et surtout les petite et moyenne bourgeoisies se rallient au nazisme. Un programme simple et concret, ainsi que l'appui de plusieurs industriels et une propagande bien faite, assurent le succès des campagnes d'Hitler et l'amènent à remporter plusieurs victoires électorales au Reichstag, le parlement allemand. L'année

d’usure a été aussi une guerre idéologique : tous les moyens de communication et de la « guerre psychologique » ont été mobilisés pour enrôler les masses, attiser l’ardeur patriotique, engendrer le défaitisme chez l’ennemi. v Les conséquences de la guerre ? o Un monde meurtri et en ruines. La guerre a fait entre 50 et 60 millions de morts avec une forte proportion de civils. Aux victimes directes du conflit, il faut ajouter les effets d’une surmortalité due aux

une élite, d'une masse jugée moins apte. Nous pouvons prendre l'exemple du colonialisme, du nazisme et du fascisme. Tout d'abord, en Australie, au XIXème siècle, les colons blancs, commencèrent à penser que le contact entre la race dite « supérieure » blanche et la race considérée comme « inférieure » des aborigènes d’Australie, amènerait inévitablement à une disparition de cette dernière. En conséquence, dès 1869, la loi autorisa la saisi des enfants « métisses » et à les introduire dans la société

crimes des régimes communistes totalitaires, adoptée par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe le 26 janvier 2006, - vu sa déclaration sur la proclamation du 23 août comme journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme, adoptée le 23 septembre 2008, - vu ses nombreuses résolutions précédentes sur la démocratie et le respect des libertés et des droits fondamentaux, notamment sa résolution du 12 mai 2005 sur le soixantième anniversaire de la fin de la deuxième guerre

l'auteur et sa période la plus féconde. A Salzbourg où il est à présent installé, sont écrites les œuvres les plus florissantes de l'auteur comme"Vingt-quatre heures de la vie d'une femme", "Amok", "La Confusion des Sentiments", "La Peur". La montée du nazisme en Allemagne à partir de 1933 avec Hitler puis la déclaration de la Seconde guerre mondiale suscite un profond bouleversement pour Zweig qui voit le cauchemar de la 1ere guerre mondiale se reproduire. Poussé à l'exil, il parcourt une nouvelle fois

expressionnisme, il fonde en 1920, la Nouvelle Objectivité avec Georg Grosz et Max Beckmann pour prendre position par rapport à la cruauté de cette guerre et la montrer de manière sordide.     Son engagement artistique contre la guerre et ses conséquences, lui valent d’être renvoyé de son poste d’enseignant aux beaux-arts. Il est l’un des premiers enseignants à être persécutés comme « bolchévique de la culture. » En 1937, les nazis déclarent ses œuvres « dégénérées ». Ses œuvres seront détruites