Nazisme Conséquences

mémoire, un impératif moral Le XXe siècle a été tellement sanglant qu'il est impossible de l'oublier. Ce serait même une faute morale, tant les totalitarismes ont toujours parié sur la dissimulation et la négation de leurs crimes — qu'il s'agisse du nazisme, du stalinisme ou du fascisme. Prenons par exemple la mémoire de la Shoah, cette extermination systématique des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée durant la Deuxième Guerre mondiale à aujourd'hui une grande place dans l'Histoire. En effet

l'armée allemande, et c'est durant la guerre qu'il commence à peindre de multiples œuvres, sur le front. La plupart d'entre elles sont jugées choquantes et trop réalistes, ses œuvres en effet, laissent à montrer le carnage de la guerre et ses conséquences en y témoignant son expérience de soldat.Les nazis les qualifient d’œuvres «dégénérées». Il entre à l'école des Arts décoratifs de Dresde en 1910 ou il découvre Van Gogh, les futuristes italiens et les expressionnistes allemands. Il a un style

donnez-moi la mémoire, sa dernière fureur, sa dernière douleur ». Isaïe Spiegel, Donnez-moi la mémoire[1]. La littérature de la Shoah est constituée par les ouvrages littéraires qui témoignent directement ou évoquent l'anéantissement des Juifs par le nazisme entre 1939 et 1945. Cet événement, qui est souvent considéré comme une marque distinctive du XXe siècle, a reçu différents noms (« génocide juif », « Holocauste ») avant que le terme Shoah ne s'impose dans le monde et plus particulièrement en France

possédant une valeur absolue. Pour Hegel, l’histoire, dans toute son ampleur négative, a donc un sens : elle serait « la marche rationnelle et nécessaire de l’Esprit du monde » permettant ainsi d’ « accéder à la conscience de sa liberté et, en conséquence, à la réalité de sa liberté ». Il convertit donc tout le mal de l’Histoire en positif, qui ne s’acquiert pas sans ce travail du négatif, c’est-à-dire en passant par la violence et la souffrance. Il précise que la réalisation de l’Esprit passe par

la Résistance, ou « mythe résistancialiste », est une mémoire historique, c’est-à-dire instrumentalisée par les politiques, qui va commencer à être remise en cause dans les années 1970. Nous pouvons nous demander quelles sont les causes et les conséquences de la fin du mythe résistancialiste, et quels sont les enjeux de la transmission des mémoires aujourd’hui en France. Tout d’abord, nous étudierons la contestation de la politique mémorielle qui a lieu dans les années 1970, puis nous nous intéresserons

et le déclenchement d'une crise économique sans précédent Le nouveau régime connaît donc dans les 1ères années de son existence des difficultés immenses qui font basculer l'Allemagne dans la dictature. La république en péril et l'avènement du nazisme A la fin de 1923, l'ordre est partout rétabli, mais l'avenir de la république est loin d'être assuré, même si le retour de la prospérité et la paix sociale font reculer les extrêmes pour un temps. C'est la droite qui tire profit de cette situation

vingt et trente" [2] - car elle a procédé, selon eux, à une histoire victimisante de la guerre, une histoire-bataille "vue d'en haut", où la violence de guerre est aseptisée, posant un "écran conceptuel" qui rend la Première Guerre mondiale et ses conséquences sur les sociétés belligérantes incompréhensibles. Les années 1970 et 1980, marquées par l'ouverture progressive des archives, correspondent au renouveau historiographique de la Première Guerre mondiale, avec notamment les thèses de J. J. Becker

- les séquelles de la seconde guerre mondiales sont liquidées : la RFA reconnaît l’intangibilité des frontières orientales (ligne Oder-Neisse) dans les Traîtés signés avec l’URSS et la Pologne en 1970. W. Brandt reconnaît l’horreur des crimes du nazisme devant le mémorial juif de Varsovie. - le statut de Berlin est normalisé : l’intégration de fait dans la RFA est avalisée par l’accord de 1971 entre les quatre anciens alliés. - la reconnaissance mutuelle RFA-RDA est effective par le Traité signé

en novembre 1942 et alors que Hitler refuse toute retraite, les troupes allemandes sont faites prisonnières en février 1943. L’impact de la défaite de Stalingrad n’est pas seulement militaire. Il est idéologique car il est porteur d’espoir pour les ennemis du nazisme : l’armée nazie n’est pas invincible. L’essentiel La bataille de Stalingrad montre les limites de la puissance invincible de l’armée nazie. La capitulation allemande à Stalingrad a un double impact, militaire et idéologique. I-3) : La victoire

 semble-­‐t-­‐il,  n'est   pas  placé  là  par  hasard  :  il  signifierait  que  la  jeunesse  est  l'avenir   de   l'Allemagne   (grâce   au   regard)   ainsi   que   le   Nazisme   (grâce   à   l'encerclement  des  deux  drapeaux).       8      Revenons   à   présent   à   notre   petite   fille.   En   regardant   de   plus   près,   on   dirait