Nébuleuse de la Lyre

dinscrire lœuvre littéraire dans la conscience collective de lhumanité. Pour Georges Perros, « cest le trajet écrivain lecteur quon appelle littérature » (Papiers collés II). A lavis de Jérôme Roger, ce trajet « nest jamais totalement spontané. Une nébuleuse de lecteurs, très proches ou très lointains, escorte le lecteur naïf comme le lecteur savant. En dautres termes, nous ne lisons jamais seule : une lecture privée nest jamais féconde que si elle est doublée dune mémoire, sans laquelle il nest pas

Histoire de l'astronomie Aller à : Navigation, rechercher Nébuleuse M17 : photographie prise par le télescope Hubble. Vieille de plusieurs milliers d'années d'histoire, l’astronomie est probablement une des plus anciennes des sciences naturelles, ses origines remontant au-delà de l'Antiquité, dans les pratiques religieuses préhistoriques. L'astronomie est la science de l'observation des astres et cherche à expliquer leur origine, leurs éventuelles évolutions et aussi l'influence qu'ils ont

Engels (1883) Dialectique de la nature 27 honneur l' « hypothèse de la nébuleuse 1 ». D'autres découvertes la firent enfin triompher ; les plus importantes d'entre elles ont été : le mouvement propre des étoiles fixes ; la démonstration de l'existence d'un milieu résistant dans l'espace de l'univers ; la preuve, grâce à l'analyse spectrale, de l'identité chimique de la matière dans l'univers et de l'existence de nébuleuses incandescentes telles que Kant les avait supposées 2. Mais il n'est pas sûr

tête L'aigle fond de l'horizon en poussant un grand cri Et d'Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pihis longs et souples Qui n'ont qu'une seule aile et volent par couples Puis voici la colombe esprit immaculé Qu'escortent l'oiseau-lyre et le paon ocellé Le phénix ce bûcher qui soi-même s'engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits Arrivent en chantant bellement toutes trois Et tous aigle phénix et pihis de la Chine Fraternisent

fond de l'horizon en poussant un grand cri Et d'Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pihis longs et souples Qui n'ont qu'une seule aile et qui volent par couples Puis voici la colombe esprit immaculé 8 Qu'escortent l'oiseau-lyre et le paon ocellé Le phénix ce bûcher qui soi-même s'engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits Arrivent en chantant bellement toutes trois Et tous aigle phénix et pihis de la Chine Fraternisent

Allemagne Et que je ne reverrai plus Voie lactée ô soeur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts suivrons-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses... Les démons du hasard selon Le chant du firmament nous mènent A sons perdus leurs violons Font danser notre race humaine Sur la descente à reculons Destins destins impénétrables

Balzac, La Peau de Chagrin (1831) LL 11 : Extrait 1 : chapitre 1Au premier coup d’œil les joueurs lurent sur le visage du novice quelque horrible mystère : ses jeunes traits étaient empreints d’une grâce nébuleuse, son regard attestait des efforts trahis, mille espérances trompées ! La morne impassibilité du suicide donnait à son front une pâleur mate et maladive, un sourire amer dessinait de légers plis dans les coins de sa bouche, et sa physionomie exprimait

situe son royaume dérisoire parmi les astres sans nombre que lui révèlent les télescopes : comment se prendrait-il encore au sérieux, sous quelque aspect qu'il s'envisage, une fois qu'il a jeté le regard dans les gouffres glacés où se hâtent les nébuleuses spirales ! Quel sort, au demeurant, peut-il prédire à son œuvre, à son effort ? De tout cela, que restera-t-il, un jour, sur le misérable grain de boue où il réside ? L'espèce humaine passera, comme ont passé les dinosaures et les stégocéphales

fond de l'horizon en poussant un grand cri Et d'Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pihis longs et souples Qui n'ont qu'une seule aile et qui volent par couples Puis voici la colombe esprit immaculé Qu'escortent l'oiseau-lyre et le paon ocellé Le phénix ce bûcher qui soi-même s'engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits Arrivent en chantant bellement toutes trois Et tous aigle phénix et pihis de la Chine

manger de la confiture; par le docteur Mondor qu’il prisait haut et réanimait les petites formes tombées en quenouille, rondeau, rondeau redoublé, lai, virelai, vilanelle, chant royal; par Mallarmé qu’il n’était pas quelqu’un, mais le son même de la lyre; et que ce quelqu’un qui en somme n’était personne aimait en bon bourgeois, en bon poète, se promener dans le Luxembourg cher au passant, et de là sans doute sous les feuilles louchait vers la coupole du Panthéon tout proche, croyant, ne croyant pas