Nécropole

combat. -On enseveli les restes d’ossements. A Verdun, les ossuaires de Douaumont mais les corps des Allemands et des Français sont mélangés car on ne peut pas savoir a qui appartient tel ou tel os. Les corps identifiés sont enterrés dans des nécropoles (immenses cimetières), cité des morts, ou on aligne des croix par confession croissant, étoile de David…) et par nationalité (Allemand, français, Algérien, Américain...) C’est a partir de ce moment la qu’on décide de faire un monument au mort dans

Art gothique : la révolution du chœur de Saint Denis • Chœur élevé en 1140 par l’abbé Suger (repris ultérieurement) • Première architecture gothique : structures gothiques complètes et recherche manifeste de la lumière • Influence immédiate : nécropole royale France : CHRONOLOGIE GOTHIQUE Architecture gothique en France : périodes • 1140-1190 • 1190-1250 Gothique primitif (ou de transition) Gothique lancéolé gothique international calqué sur le modèle français jusqu’à la fin du XIII° ensuite

mais pas seulement), incinération : Australiens ou Sioux exposaient les corps sur des plateformes dans un arbre, Sibérie abandonnaient les cadavres dans endroits isolés, certains peuples mettaient les enfants dans des urnes en position fœtale, nécropoles (cimetières) naissent dans les civilisations urbaines, en Inde on incinère les morts et recueille les restes. Certaines cultures ont essayé de soustraire le cadavre à corruption : Egypte, Pérou (Paracas et Incas, Polynésie, processus de décomposition

installés au nord de la Gaulle pour défendre la frontière du Rhin. Les peuples fédérés dans les régions proches du Rhin et du Danube sont appelées régions du Limes. Cette présence de troupes Germaniques est repérable dans l'archéologie avec les nécropoles car les rites étaient différents. L'Empire s'ouvre donc aux barbares de façon pacifique (peuples fédérés, Lètes, ...) car les barbares sont globalement fidèles au pouvoir romain et à l'empire. Cependant, l'élite culturelle juge très sévèrement

offraient des hommages chers et sophistiqués à leurs morts.[11] Les funérailles avaient pour but principal d'identifier le défunt au Dieu Osiris et se déroulaient en quatre étapes : le deuil et les pleurs, la traversée du Nil, la procession vers la nécropole et l’arrivée au tombeau.[12] Chaque étape avait sa propre signification et son propre prêtre. Dans le cortège, il y avait le sarcophage porté avec un vase canope étoilé et une statue du défunt. Puis venaient les prêtres, la famille, les amis et les

utiliser l’ensemble des sciences humaines - sociologie, économie -pour rendre l’histoire vivante :   « Entre l’action et la pensée, il n’est pas de cloison. Il n’est pas de barrière. Il faut que l’histoire cesse de vous apparaître comme une nécropole endormie, où passent seules des ombres dépouillées de substance. Il faut que, dans le vieux palais silencieux où elle sommeille, vous pénétriez, tout animés de la lutte, tout couverts de la poussière du combat, du sang coagulé du monstre vaincu –

DocumentOutre le travail manuel, les esclaves accomplissaient de nombreux services domestiques et pouvaient être employés à des emplois et professions hautement qualifiés. Les comptables et les médecins étaient souvent des esclaves. Les esclaves d'origine grecque en particulier peuvent être très instruits. Les esclaves non qualifiés ou condamnés à l'esclavage comme punition travaillaient dans les fermes, dans les mines et dans les moulins. La plupart des esclaves ne seront jamais libérés.Au

monuments, véritables temples funéraires sont érigés sur les rivages de l’Atlantique et de la Manche occidentale. Ces tertres géants, allongés, ovales ou rectangulaires, mesurent jusqu’à 125 mètres de long. Ceux de la région de Carnac sont célèbres. La nécropole de Bougon dans les Deux-Sèvres constitue un ensemble, unique en Europe, de six tumulus géants, qui datent de la fin du IVe millénaire. Les menhirs érigés par les Hommes du néolithique symbolisent peut-être des êtres humains et sont souvent ornés

La révolution almohade : Almohades : l’unitarisme et la berbérité En 1147, des montagnards de l’Atlas s’emparent de Marrakech, capitale des Almoravides. C’est l’acte de naissance de l’Empire almohade (« unitarien »), ou mu’minide, du nom de la dynastie qui va le diriger jusqu’à sa disparition en 1269. Pour la première et dernière fois de l’histoire, le Maghreb est unifié politiquement, de la Tripolitaine jusqu’aux rives de l’Atlantique, sous l’autorité de souverains

des symboles nationaux auxquels ont préfère la feuille de chêne, la croix de fer ou une symbolique christique, l'Allemagne ayant perdu la guerre et l'Empire ayant disparu. Les soldats des différentes nations reposent dans des cimetières et des nécropoles comme l'Ossuaire de Douaumont. Différentes associations s'occupent des tombes et de la mémoire des soldats. Pour la France, le Souvenir français, pour l'Allemagne le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge qui s'occupe en France de 192 lieux de