Negresse Blonde

continued to draw support until the Great War. Fernand Fleuret (1883–1945) imitated the satirical poets of the Renaissance (Le Carquois du sieur Louvigné du Dézert, 1912) and the early poetry of Max Jacob included a strong element of burlesque. In La Négresse blonde (1909), Georges Fourest (1867– BEYOND ‘LITERATURE’ 475 1945) parodied both classical French theatre and recent poets like Verlaine, Laforgue and Mallarmé. Prose writers like Pierre Louÿs (1870–1925) and Anatole France wrote fictions ‘in

ce que j'avais vu et entendu, arriva au grand trot de sa jument, au moment de prendre le thé, pour tâcher de se faire donner toutes sortes de détails ; et la simple vue de cet imbécile, avec ses yeux de poisson, sa bouche ouverte, ses cheveux d'un blond ardent, dressés par une attente curieuse, et son gilet, soulevé par sa respiration mathématique, ne firent que renforcer mes réticences. «Eh bien ! mon garçon, commença l'oncle Pumblechook, dès qu'il fut assis près du feu, dans le fauteuil d'honneur